Une nouvelle hausse des taux est tombée
Ce qui va encore avoir des répercussions dévastatrices sur les petits emprunteurs.
Parce que oui, tout comme l’inflation, les plus touchés font partie de la classe basse et moyenne.
Les refus d’obtention de prêts n’ont jamais été aussi importants.
Les dossiers les plus fragiles ne peuvent s’acheter de l’immobilier.
Alors que devenir propriétaire est un moyen de s’exclure de la misère.
La tendance s’aggrave puisque le taux d’usure est trop proche des taux accordés.
Ce qui signifie que même avec un bon dossier, vous pouvez voir votre demande refusée.
Et dire que l’immobilier est censé refléter la bonne santé d’un pays… La BCE remonte ses taux pour espérer voir l’inflation des pays européens baisser.
Après trois augmentations, aucune baisse d’inflation n’est constatée.
Ils vont donc continuer à augmenter leur taux jusqu’à pouvoir y constater des résultats.
Le problème s’amplifie, puisqu’il touche désormais toutes les classes sociales.
Toutes les personnes ayant investi dans l’immobilier constatent une chute de la rentabilité nette.
L’exception peut se jouer dans des dossiers bien étudiés, dans le luxe ou dans les locations de courte durée.
Aujourd’hui, beaucoup d’investisseurs me contactent (dont des amis du secteur immobilier) et ils se voient perdre de l’argent à l’avenir.
À cause de différents facteurs tels que :
- La hausse des prix des matériaux de 26%
- Le bouclier loyer qui plafonne la hausse des loyers à 3,5%
- La hausse de la taxe foncière de 5%
- De longues procédures coûteuses en cas d’impayé de la part des locataires
- L’interdiction de la mise en location d’un bien possédant la lettre E et F sur un DPE
- La hausse des taux, qui sont passés de 0,5 à 3% en 1 an et demi.
Si vous empruntez 150 000€ sur 20 ans à 3% TAEG, le coût du crédit sera de 49 680€ (sans assurance de prêt).
Ce qui représente 25% du prix d’achat du bien immobilier.
Tous ces facteurs vous démontrent un environnement qui se dégrade au fil du temps.
L’achat d’un bien pour le faire louer n’est plus rentable, l’investissement immobilier locatif moyen est de 5,9% par an.
Soit un rendement inférieur à l’inflation actuelle.
(5,9% de rentabilité locative – 6,2% d’inflation = – 0,2%).
Sans même prendre en compte tous les facteurs cités précédemment, le bailleur perd de l’argent.
Comment voulez-vous qu’une hausse de 3,5% des loyers compense une augmentation de 5% de la taxe foncière,
Ainsi qu’une hausse de 26% des matériaux.
Il vous faudra donc trouver des alternatives vous permettant une importante diversification, afin de ne pas être sujet à de gros risques.
Car oui, même le marché de l’immobilier ne se porte pas bien.
Il vous faudra également bénéficier de rendements dépassant l’inflation.
Protégez-vous de l’inflation en suivant notre plan en 5 étapes.
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Amicalement,
Franck Pengam | Fondateur de Géopolitique Profonde