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LA TERRIBLE MENACE DE L’OMS POUR CONTRÔLER VOTRE SANTÉ | JACQUEMIN-RAFFESTIN | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Accédez à l’entretien complet non censuré ici !

Le 12 mai à 18h30 pour votre rendez-vous du dimanche, nous recevrons Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, Carlo Brusa et Jean-Maxime Corneille, en direct sur Géopolitique Profonde.

Jean-Michel Jacquemin-Raffestin est connu pour ses ouvrages concernant les catastrophes sanitaires et écologiques de Tchernobyl et de Fukushima avant de s’intéresser aux mensonges de la Covid-19. Il se définit comme un passionné des mensonges d’État.

Il vient de publier le livre “Ne leur pardonnez pas 2”. Dans cette suite, l’auteur poursuit son exploration des thèmes controversés abordés dans le premier tome, en se concentrant sur la vérité cachée derrière les chiffres et les statistiques liées à des sujets de santé publique mondiale.

Son intérêt pour l’impact des organisations non gouvernementales et des groupes privés sur les politiques de santé publique est au cœur de ses recherches. Il s’efforce de comprendre comment ces entités influencent les décisions et les stratégies au niveau international, un sujet d’autant plus pertinent avec la mise en place prochaine du Règlement Sanitaire International (RSI) au sein de l’OMS.

La thématique de cet entretien en première partie touche à un sujet d’importance capitale : la mise en œuvre du Règlement Sanitaire International (RSI) par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’influence croissante des groupes privés sur les politiques de santé à l’échelle mondiale.

Le RSI est un instrument juridique international visant à « prévenir la propagation internationale des maladies tout en évitant les perturbations inutiles du trafic et du commerce international« .

L’OMS, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des questions de santé au sein du système des Nations Unies, joue un rôle crucial dans la mise en œuvre du RSI. Cependant, l’organisation fait face à des controverses concernant l’implication de groupes privés dans ses décisions. La Fondation Bill & Melinda Gates, par exemple, est souvent citée pour son influence significative et son financement de programmes de santé.

Le RSI, révisé en 2005, a pour objectif de fournir un cadre pour la gestion des urgences sanitaires qui transcendent les frontières nationales. Néanmoins, la question de l’équilibre entre l’autonomie nationale et les directives internationales reste un sujet de débat.

L’extension de l’influence des groupes privés sur les politiques internationales de santé soulève des questions éthiques et pratiques. La participation de ces groupes dans le financement et la mise en œuvre des initiatives de santé peut apporter des ressources précieuses, mais elle peut également mener à des conflits d’intérêts et à une influence disproportionnée sur les politiques de santé publique.

La gouvernance de la santé mondiale est donc à un tournant.

Avec l’adoption imminente du RSI, nous sommes témoins d’une évolution des dynamiques de pouvoir entre les acteurs étatiques et non étatiques. Cette transition vers une plus grande implication des entités privées dans les décisions de santé publique internationale est un sujet brûlant d’actualité, méritant une analyse approfondie.

Nous échangerons donc avec M. Jacquemin-Raffestin ainsi que M. Brusa – qui a réalisé la préface de « Ne leur pardonnez-pas 2 » – sur ce sujet crucial.

Pour la seconde partie de l’émission, Jean-Maxime Corneille sera présent pour rebondir sur l’actualité brûlante et présenter sa chronique.

À ce soir, le 12 mai à 18h30, en direct sur GPTV.

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6 réponses

  1. Bonjour,
    Je souhaite m’abonner aux vidéos du dimanche soir indiquées dorénavant comme « réservées aux membres » ; malheureusement, j’ai beau chercher, je ne trouve pas la procédure à suivre. Pourriez-vous me l’indiquer, s’il vous plaît ?
    Merci et bien cordialement

  2. La vidéo n’est plus accessible sur Youtube ? Y a t’il une autre plate-forme par laquelle elle serait dispo ? Même en audio…
    Merci !

  3. Raphael Besliu, vous avez la mauvaise et désagréable habitude d’interrompre régulièrement vos intervenants. C’est nocif, cher Raphael, de plus, un manque de maturité journalistique, ce qui vous rend souvent fort désagréable! Jean-Maxime dérive parfois, c’est vrai, mais laissez-le, c’est une personne avec un bagage intellectuel extraordinaire et c’est là l’intérêt d’une telle émission. De plus vu ici d’Allemagne, votre verbiage très latin n’est pas toujours clair et cohérent, et n’apporte pas toujours d’éléments importants à la conversation. Merci et bien à vous de Hambourg.

  4. Effectivement, le pardon demande repentance pour l’accorder sinon c’est de la permissivité parce que le mal continue à se propager , par exemple :

    https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/blackstone-va-aider-moderna-a-financer-le-premier-vaccin-arn-contre-la-grippe-2085570

    Un autre exemple est que l’OMS recommencera de manière encore plus efficace son scénario de pandémie car les mêmes causes produisent les mêmes effets et que les cupides travaillent pour gagner toujours plus d’argent.

    De plus, les victimes ne peuvent pas être correctement prises en charge car il faut un minimum de recherche pour cerner le mal et sans la repentance des politiques, pas de budgets, pas de propagation des savoirs, des croche pattes à tous les étages, etc…
    Le pardon n’a pas que des conséquences psychologiques ou de réparation d’âme, ça met également des forces en mouvement.
    De plus, parmi l’immense majorité de gens qui se gourent de bonne foi, il y a un noyau d’hypocrites qui savent ce qu’ils font depuis le début et qui ne se repentiront pas par définition. Ils pratiquent ce qu’on appelle « le péché contre l’esprit », leur âme est devenue nauséabonde. Ce sont ceux là qu’il faut coincer par le vrai, ce sont ceux là qu’il faut mettre publiquement devant les faits accomplis.

    Il serait hypocrite de pardonner à des hypocrites c’est pourquoi l’enfer existe. Voici un extrait pour mieux comprendre sa genèse :

    « Je vais vous raconter une histoire très importante pour vous aider à comprendre une vérité. Vous devez savoir que, quand il y a un cas de possession diabolique, un dialogue s’instaure entre l’exorciste et le diable. Satan est un grand menteur, mais parfois le Seigneur l’oblige à dire la vérité. Une fois que le père Candido libérait une personne après de nombreux exorcismes, avec son ironie habituelle, il a dit au diable : « Va-t-en, le Seigneur a créé pour toi une petite place toute chaude, il t’a préparé une jolie petite demeure où tu ne souffriras pas du froid ». Mais, l’interrompant, le diable lui a lancé :
    « Tu ne comprends rien du tout ». Que voulait-il dire ? Quand le diable interrompt en disant quelque chose comme ça, c’est que Dieu lui a imposé de dire la vérité. Et cette fois-ci, c’était d’une importance extrême. Les fidèles me demandent souvent : « Comment est-il possible que Dieu a créé l’enfer, pourquoi a-t-il pensé à un lieu de souffrance? ». À ce moment-là, le diable a répondu aux provocations du père Candido en révélant une vérité importante sur l’Enfer : « Ce n’est pas Lui, Dieu, qui a créé l’Enfer. C’est nous ! Il n’y avait même pas pensé ! ». Donc, dans le plan de la création de Dieu, l’existence de l’Enfer n’avait pas été envisagée. Ce sont les démons qui l’ont créé ! Au cours des exorcismes, j’ai souvent demandé au diable : “Avez-vous créé l’Enfer ?” Et sa réponse a toujours été la même : « Nous avons tous coopéré ». »
    https://fr.aleteia.org/2014/09/26/le-chef-exorciste-de-rome-devoile-les-secrets-de-lenfer/

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