Le 20 mars à 12h30, Nicolas Stoquer révèle comment JFK a été éliminé par une alliance entre la CIA et le Mossad, visant à protéger le programme nucléaire israélien.

Une alliance secrète entre la CIA et le Mossad dès les années 50
Dès le début des années 1950, une relation privilégiée s’établit entre la CIA et les services secrets israéliens. Cette collaboration ne se limite pas à un simple échange d’informations : elle prend la forme d’une coopération stratégique, orchestrée par James Angleton, chef du contre-espionnage américain. Angleton devient le gardien exclusif des relations entre Washington et Tel-Aviv, s’assurant que tout renseignement concernant Israël passe par lui avant d’être communiqué aux autres agences américaines.
Ce contrôle absolu permet à Israël d’accéder à des secrets d’État sans jamais être inquiété. Angleton empêche toute enquête approfondie du FBI ou d’autres organes de surveillance sur les opérations israéliennes aux États-Unis. Il garantit également que les dossiers sensibles restent cachés, notamment ceux liés à l’espionnage nucléaire et aux trafics d’armes impliquant Tel-Aviv. Ce réseau d’influence discrète protège le Mossad et lui permet d’agir en toute impunité sur le sol américain.
Lorsque Kennedy commence à remettre en cause cette relation clandestine, il devient une menace directe pour cet équilibre fragile. Son intention de réduire le pouvoir de la CIA, combinée à sa volonté de stopper le programme nucléaire israélien, le place dans la ligne de mire des cercles de pouvoir qui avaient tout intérêt à le voir disparaître.
JFK, cible pour son opposition au programme nucléaire israélien et à la CIA
John F. Kennedy représente un obstacle majeur pour Israël en raison de son refus catégorique d’accepter la prolifération nucléaire au Moyen-Orient. Dès le début de sa présidence, il exige des inspections strictes de la centrale nucléaire de Dimona, suspectée de produire en secret des armes nucléaires. Cette opposition frontale le place en conflit direct avec le Premier ministre israélien David Ben Gourion, qui finit par démissionner en 1963, incapable de convaincre Washington de relâcher la pression.
La CIA, sous l’influence de Angleton, refuse d’admettre que Kennedy puisse s’imposer contre Israël. L’agence voit également d’un mauvais œil la politique étrangère du président, notamment ses tentatives de rapprochement avec l’URSS et sa volonté de désengager les États-Unis des conflits militaires inutiles. Ces choix entrent en contradiction totale avec les plans de la CIA, qui cherche au contraire à renforcer la domination américaine par l’interventionnisme militaire et l’espionnage massif.
Après l’assassinat de Kennedy, la politique américaine change brutalement. Son successeur, Lyndon B. Johnson, abandonne immédiatement toute pression sur le programme nucléaire israélien. Dimona n’est plus un sujet de discussion à la Maison-Blanche, et Israël peut poursuivre en toute tranquillité l’élaboration de son arsenal nucléaire. Ce revirement spectaculaire prouve que l’élimination de Kennedy était une nécessité stratégique pour les cercles pro-israéliens et pour la CIA.
Jack Ruby, Lyndon Johnson et les réseaux d’influence israéliens aux États-Unis
L’assassinat de JFK ne repose pas seulement sur des intérêts géopolitiques abstraits. Il s’appuie sur un réseau concret d’hommes influents, dont certains avaient des liens directs avec Israël. Jack Ruby, l’homme qui exécute Lee Harvey Oswald en direct à la télévision, est un proche des cercles sionistes américains. Ancien trafiquant d’armes, il a travaillé pour l’Irgoun, l’organisation terroriste israélienne responsable de nombreux attentats avant la création officielle de l’État d’Israël. Son rôle dans cette affaire ne peut être réduit à un simple acte isolé.
Quant à Lyndon B. Johnson, sa montée au pouvoir bénéficie immédiatement à Israël. De nombreuses sources avancent que sa proximité avec les milieux sionistes influence profondément ses décisions politiques. Son administration est marquée par une rupture totale avec la ligne de Kennedy. Il ne remet jamais en question le programme nucléaire israélien, ferme les yeux sur l’espionnage massif de Tel-Aviv aux États-Unis et engage l’Amérique dans un alignement stratégique total avec les intérêts israéliens.
L’assassinat de JFK apparaît donc comme un véritable coup d’État, orchestré par une alliance d’intérêts entre la CIA, les services israéliens et les élites politiques proches d’Israël. Cette manipulation vise à remplacer un président qui refusait de se plier aux exigences stratégiques de Tel-Aviv par un homme totalement acquis à leur cause.
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2 réponses
Par charité chrétienne, Stoquer, tu pourrais pas faire un effort pour être plus professionnel?
C’est toujours la faute des Russes, hier je me suis fait mal en faisant du gainage, encore un coup des Russes !