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ÉLECTIONS AMÉRICAINES : LE VÉRITABLE VISAGE DE KAMALA HARRIS | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Le 27 octobre à 12h30, Mike Borowski analyse comment le soutien des élites financières et culturelles à Kamala Harris sert une stratégie mondialiste pour influencer l’élection et imposer un modèle idéologique en Occident.

Les élites financières et culturelles prêtes à tout pour garder leur pouvoir

À quelques jours de l’élection présidentielle américaine, 80 des plus grandes fortunes mondiales et des figures de la culture telles qu’Oprah Winfrey, Beyoncé, LeBron James, et Lady Gaga se mobilisent pour soutenir Kamala Harris. Cette alliance entre l’élite financière et les icônes culturelles ne laisse aucun doute : il s’agit d’un acte délibéré pour maintenir un système mondialiste, consolidé et hostile à toute alternative. Ce soutien massif aux démocrates représente bien plus qu’un simple choix électoral. Il incarne un front stratégique pour contrôler les votes et maintenir un pouvoir qui défend avant tout les intérêts de l’élite.

Ces grandes figures, utilisées pour influencer et manipuler l’opinion, s’unissent dans une campagne médiatique puissante. Le but ? Instaurer une vision unique et conformiste, étouffant toute forme de dissidence. Les Américains sont ainsi encouragés, voire poussés, à adhérer à un modèle idéologique imposé par une coalition d’intérêts privés et d’élites mondialisées, qui aspirent à garder la mainmise sur les orientations politiques.

Un ordre mondial renforcé sous Harris

Si Kamala Harris accède à la présidence, l’impact sur la scène internationale serait extrêmement préoccupant. Sa victoire garantirait le retour d’une politique interventionniste, ouvrant de nouveaux conflits, notamment en Ukraine et au Moyen-Orient, et prolongeant ceux déjà en cours. Une présidence Harris irait dans le sens des élites qui souhaitent renforcer l’influence militaire américaine, coûte que coûte, même si cela signifie maintenir ou aggraver des tensions qui menacent directement la stabilité européenne.

Sous Harris, l’agenda mondialiste dominerait, avec des alliances interventionnistes se succédant et un retour aux politiques bellicistes de ses prédécesseurs démocrates. En l’absence d’un Trump plus isolationniste, ces élites verraient en Harris la garantie de préserver un ordre global basé sur la confrontation et l’ingérence, au détriment des peuples et des économies locales.

Le bras armé de l’idéologie progressiste en Occident

Une Amérique dirigée par Kamala Harris ne se contenterait pas d’imposer sa vision à l’international sur le plan militaire ; elle poursuivrait également sa promotion agressive de l’idéologie progressiste. Sous une présidence Harris, l’agenda progressiste prendrait une ampleur nouvelle, s’exportant à travers les alliances internationales pour façonner les normes culturelles des sociétés occidentales. L’Europe, déjà soumise aux pressions culturelles américaines, risquerait de subir un assaut renouvelé de l’idéologie dite LGBTQ+. Cette pression idéologique, souvent imposée sous couvert de diversité et de tolérance, pose une réelle menace pour les identités nationales.

Certains y voient une ingérence culturelle plus qu’une réelle démarche d’inclusivité, un levier stratégique visant à homogénéiser les valeurs à l’échelle mondiale. Harris incarne cette ligne idéologique stricte, qui ne laisse pas de place à l’exception culturelle ou à la souveraineté des valeurs locales. L’Europe, déjà fragilisée par des décennies de soumission aux dogmes progressistes, risque de perdre davantage encore son identité culturelle si elle se laisse entraîner dans ce modèle importé.

La victoire de Harris pourrait signifier une standardisation des valeurs occidentales, au mépris de la diversité culturelle et des spécificités nationales. L’Europe, si elle cède aux pressions d’une Amérique Harris, se verrait imposer une vision qui ne reflète en rien les attentes de ses peuples, mais bien les intérêts des élites progressistes qui n’hésitent pas à imposer leur idéologie sous couvert de bien-pensance. Ce modèle, loin d’être universellement accepté, agit comme un rouleau compresseur culturel, effaçant progressivement les repères identitaires de chaque nation.

Pour comprendre les implications de cette élection pour l’avenir de l’Occident, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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5 Responses

  1. Encore quelques précisions concernant le protestantisme.

    Tu parles de scissions.
    Ce n’en sont pas.
    Il y a différentes mouvances, qui correspondent aux diverses expressions de la foi.
    Dans l’église catholique, il y en a aussi, je crois, comme les charismatiques ou les traditionnalistes.

    Tu abordes aussi le protestantisme allemand.
    Je ne m’y reconnais pas.
    Je suis née et vis dans les Cévennes gardoises.
    Mes ancêtres, paysans, étaient trop pauvres pour partir pour l’Allemagne, les Pays-Bas.
    L’un, a été condamné aux galères en raison de sa foi.
    L’autre, s’est caché dans la forêt.

    Par contre, je te rejoins sur les églises évangéliques.
    Je fais partie de l’église réformée, proche de celle du début.
    Je ne supporte pas cela, j’en ai été victime.

  2. Mike, j’apprécie beaucoup tes émissions, mais j’aimerais beaucoup que tu ne fasses pas d’amalgame entre le protestantisme français et le protestantisme anglo-américain.

    Renseigne-toi sur l’histoire.

    Au 16ème siècle, Luther, qui était moine catholique, a créé le protestantisme, en réaction aux abus de l’église catholique qui avait recours, entre autres, au trafic des indulgences, qui consistait à acheter le salut des gens.

    Qui plus est, l’église catholique a torturé et envoyé au bûcher tous ceux qui ne partageaient pas ses idées.
    Il ne faut pas l’oublier !

  3. Bonsoir
    Bon si je suis votre raisonnement M Mélenchon serait capitaliste !!!!
    Y a comme un problème non ?

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