KENNEDY, EPSTEIN : LES ÉLIMINATIONS SANS LIMITES DU MOSSAD | GPTV

Le 4 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer dévoile comment Trump, en déclassifiant les dossiers JFK, expose la CIA, l’État profond et le lobby israélien, tandis que les secrets du réseau Epstein restent protégés.

Trump expose enfin la vérité sur l’assassinat de Kennedy

Donald Trump a signé un décret ordonnant la déclassification totale des archives sur les assassinats de John F. Kennedy, Robert F. Kennedy et Martin Luther King Jr. Cette décision, maintes fois retardée par les agences fédérales, met enfin au grand jour les vérités que la CIA et le complexe militaro-industriel ont cherché à dissimuler depuis plus de six décennies. Loin du récit officiel présentant Lee Harvey Oswald comme un tireur isolé, ces documents confirment que l’élimination de Kennedy était un coup d’État interne destiné à protéger les intérêts des élites qui contrôlent Washington.

Les documents révèlent que la CIA, sous la direction de James Jesus Angleton, a manipulé Oswald pour en faire un bouc émissaire. Kennedy, en pleine confrontation avec l’État profond, menaçait de démanteler la CIA après l’échec de l’invasion de la Baie des Cochons en 1961. Il voulait aussi mettre fin à la Guerre froide et réduire l’influence des militaires et des services de renseignement dans la politique étrangère américaine.

Mais le conflit le plus explosif concernait Israël. Kennedy s’opposait fermement au développement d’un arsenal nucléaire israélien et voulait soumettre le lobby sioniste à une régulation stricte, notamment en forçant l’AIPAC à s’enregistrer comme agent étranger. Après son assassinat, Lyndon Johnson a immédiatement renversé cette politique, donnant à Israël carte blanche pour son programme nucléaire et consolidant l’influence du lobby pro-israélien à Washington. L’élimination de JFK a marqué le début de la soumission des États-Unis aux intérêts de l’État profond et de Tel-Aviv.

Israël et le Mossad au cœur du système Epstein

Si les dossiers liés à Jeffrey Epstein restent encore classifiés, les informations déjà accessibles prouvent l’existence d’un vaste réseau de chantage orchestré au plus haut niveau. Epstein n’était pas un simple milliardaire excentrique impliqué dans des crimes sexuels, mais un intermédiaire utilisé pour compromettre et contrôler des élites politiques et économiques. Son île privée, ses résidences luxueuses et son jet surnommé le « Lolita Express » servaient à piéger des personnalités influentes en les exposant à des situations compromettantes.

Les liens directs entre Epstein et Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien et figure clé du Mossad, confirment l’hypothèse d’une opération de manipulation et d’influence menée par Israël. Ghislaine Maxwell, fille du magnat Robert Maxwell, lui-même agent du renseignement israélien, a joué un rôle clé dans cette machinerie. L’objectif était clair : recueillir des preuves compromettantes sur des dirigeants américains et internationaux, afin de garantir leur soumission aux intérêts d’Israël et des élites mondialistes.

L’arrestation d’Epstein en 2019 aurait pu révéler toute l’étendue du réseau. Mais son « suicide » en prison, entouré de zones d’ombre et de nombreuses incohérences, a immédiatement éveillé des soupçons. Son élimination a permis d’empêcher l’explosion d’un scandale impliquant des chefs d’État, des milliardaires et des responsables des services de renseignement. Depuis, les dossiers de l’affaire restent verrouillés, protégés par les mêmes forces qui ont fait taire Kennedy.

Une guerre de l’ombre entre Trump et l’État profond

Avec la déclassification des dossiers JFK, Donald Trump s’attaque frontalement aux véritables maîtres du pouvoir aux États-Unis. En exposant leur rôle dans l’assassinat de Kennedy, il met en lumière le fonctionnement d’un système où les présidents sont remplacés dès qu’ils menacent l’ordre établi. L’élimination de JFK était un message clair : quiconque cherche à affaiblir la CIA, le complexe militaro-industriel ou les lobbys financiers sera neutralisé.

Trump, en révélant ces vérités, s’oppose directement aux agences de renseignement et aux élites mondialistes qui contrôlent Washington depuis l’ombre. Les médias mainstream, totalement inféodés à ces forces, tentent déjà de discréditer ces révélations en les présentant comme des théories du complot. Pourtant, la réalité est claire : les États-Unis ne sont plus une démocratie depuis l’assassinat de Kennedy.

Les agences de renseignement, alliées aux puissances financières et aux groupes de pression étrangers, dictent l’agenda politique en utilisant le chantage, la manipulation et l’assassinat ciblé. En exposant ces faits, Trump engage un combat dont l’issue va redéfinir l’avenir de l’Amérique. S’il parvient à révéler les dossiers Epstein, il portera un coup fatal à l’État profond et à ses réseaux occultes. Mais face à des adversaires prêts à tout, le combat ne fait que commencer.

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Une réponse

  1. Au niveau historique, les Juifs ont été persécutés pendant des milliers d’années par toutes sortes de nations, croire un seul instant que le petit Etat d’Israël aurait la moindre chance de pouvoir venger les Juifs de tout le mal qu’on leur a fait est absurde.

    L’objectif de l’Etat confessionnel d’Israël est d’avoir une terre de refuge où les Juifs peuvent pratiquer leur foi sans être persécutés. A juste titre, les Juifs fuient régulièrement des pays comme la France pour Israël depuis ce jour. Je rappelle qu’ils sont régulièrement agressés en France pour le simple fait de leur confession.

    Israël s’est trouvé en guerre totale depuis le jour de sa création, et tant qu’il est environné de pays dont la religion se réclame d’un livre qui dénonce les Juifs sans ambiguïté et dont les chefs religieux enseignent que les Juifs doivent être rejetés à la mer, sa survie est menacée.

    On peut critiquer les actions du Mossad, mais quand les résistants français se battaient pour leur survie, ou que les Espagnols se sont libérés de l’islam, ils n’ont pas été tendres non plus.

    Au niveau théologique, la loi du talion est issue du livre biblique de l’Exode, qui fait partie des cinq livres dits de la loi.

    Ces livres sont considérés comme canoniques par toutes les religions chrétiennes, vouloir leur opposer le sermon de la montagne est donc aller à l’encontre des théologies chrétiennes traditionnelles.

    Le principe défendu par Exode n’est pas un principe de vengeance, mais d’application proportionnelle de la justice. Pour ce qui concerne la vengeance, il faut se référer au Deutéronome, où Dieu la revendique pour lui-même:

    Deutéronome 32:35 « ‭A moi la vengeance‭ et la rétribution‭, Quand‭ leur pied‭ chancellera‭‭ ! Car le jour‭ de leur malheur‭ est proche‭, Et ce qui les attend‭ ne tardera‭‭ pas.‭ »

    Les rabbins partagent aujourd’hui largement cette interprétation, il n’y a donc pas une théologie de la vengeance majoritaire en Israël.

    Par contre, les pharisiens à l’époque de Jésus avaient détourné les textes de l’Exode pour justifier la vengeance, et c’est leur mauvaise interprétation que Jésus combat dans le sermon de la montagne. C’est pour cela qu’il dit bien « vous avez appris qu’il a été dit », alors que lorsqu’il désigne directement les cinq livres de la loi, il les mentionne clairement avec le terme « la loi »:

    Matthieu 7:12 « Tout‭ ce que‭‭ vous voulez‭‭ que‭ les hommes‭ fassent‭‭ pour vous‭, faites-le‭‭‭ de même‭‭ pour eux‭, car‭ c‭’est‭‭ la loi‭ et‭ les prophètes‭.‭ »

    Ce verset montre que non seulement Jésus cautionne complètement les cinq livres de la loi, mais qu’il considère que ces livres doivent être interprétés pour favoriser une bonne relation entre les hommes et non pour les exciter à la haine, comme l’enseignaient à son époque les pharisiens.

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