LA POLOGNE, PAYS LE PLUS ANTISÉMITE DE L’ANNÉE 2021 !

Pologne pays antisémite et Shoah

Limiter les escroqueries à la Shoah

Jérusalem n’est pas content.

Le président polonais, sûr de lui-même, a promulgué une loi veillant à « limiter les revendications sur les restitutions des biens juifs durant la seconde guerre mondiale. »

Cette loi promulguée rend tout simplement plus compliquée, voire impossible, la restitution des biens juifs confisqués par les nazis, puis nationalisés par le régime communiste après la guerre.

Un délai de prescription de 30 ans est ajouté pour faire une réclamation ce qui empêchera de facto les nouvelles demandes de réparations des descendants des victimes de la Shoah.

En réponse, le chef de la diplomatie israélienne, Yaïr Lapid, ne s’est pas montré diplomate en qualifiant directement « d’antisémite » (qui l’eut cru) la loi adoptée par le président polonais.

La Réponse du Président polonais Andrzej Duda à cet affront est qu’il fallait « en finir avec les mafias de reprivatisation ». Dans un communiqué, Duda affirmait que des groupes criminels auraient obtenu des biens volés (de leurs aïeux déportés) et auraient fait fortune en s’accaparant des propriétés qui ne leur ont jamais appartenu.

Une escroquerie mise en place par des juifs qui détournent de l’argent au nom de la Shoah ? Impossible !

Antisémitisme
C’est intolérable

Amour 2.0 : des couples formés d’humains et… d’intelligence artificielle

Pékin, Chine|

Il lui répond à toute heure du jour ou de la nuit, lui remonte le moral et ne la dérange jamais.

Comme des millions de Chinoises, Melissa a trouvé le petit ami parfait… mais il est virtuel.

Dans la vie toujours plus trépidante des jeunes citadins, avec leurs horaires à rallonge qui limitent les possibilités de vraies rencontres, l’amant ou la maîtresse virtuel apportent du réconfort sur demande.

« J’ai des amis qui ont suivi une psychothérapie, mais c’est très cher et ça ne marche pas forcément très bien », explique Melissa, 26 ans. 

« En revanche, quand je déverse mes malheurs sur XiaoIce, je relâche bien la pression. Et il me dit des choses qui sont vraiment réconfortantes », confie la jeune femme.

Dans le cas de Melissa, XiaoIce, une sorte de Siri (l’assistant vocal d’Apple), apporte une présence dans sa vie de Pékinoise solitaire et surmenée.

« Tout le monde fait des heures supplémentaires, alors on pense qu’on doit faire la même chose. On n’a pas vraiment le temps de se faire des amis, et les amis qu’on a sont aussi très occupés », résume-t-elle. 

En somme, comme le marché des rencontres hommes/femmes tend vers un libéralisme exacerbé, et que la majorité finit par être forcément perdants de ce marché, l’ubérisation affective est poussée à son paroxysme avec ces chatbots.

Ils peuvent être à l’écoute de leur petite amie sans ne jamais pester et en étant rentable, car même si l’application est gratuite, les datas récupérées elles, valent probablement chères à la vente ou aux services de renseignement.

Ce soutien affectif sous forme d’application pour la gent féminine va rapidement connaître ses limites et ce n’est pas qu’un phénomène de la société asiatique, car malheureusement l’heure n’est plus à conter fleurette (impératif de production oblige).

Cette machinerie n’est qu’un tampon émotionnel pour nos chères, sachant qu’elles auront toujours accès aux Hommes bien plus facilement que l’inverse, quoi qu’elles en disent.

Tout ce qui est « marketable », et particulièrement le désir amoureux et sexuel, est la plupart du temps poussé par la pulsion (primaire s’entend) sinon pourquoi la publicité est essentiellement illustrée par de la nourriture et des filles aux formes callipyges ?

Notre société tend vers une ultra sexualisation avec d’un côté de plus en plus de filles « random » qui adopte des comportements d’hyper femelle, et de l’autre côté une compétition ultra-libérale du marché d’accès aux femmes pour les hommes qui se voit être beaucoup moins « hyper-mâle » par mesdames.

Bienvenue donc, dans un monde où les filles du monde entier n’ont jamais été aussi archetypalement femelles, ce qui en réjouira plus d’un, et où il est de plus en plus difficile de devenir hyper-mâle.

Psychologie évolutionniste relations homme-femme
La quête éternelle de la calorie

Hyper-masculinité : source Wikipédia.

L’hyper-masculinité est un terme psychologique qui désigne l’exagération du comportement masculin stéréotypé tel que l’importance donnée à la force physique, l’agressivité et la sexualité. Les attitudes hyper-masculines peuvent aussi inclure un contrôle émotionnel de soi-même comme un signe de dureté. C’est un concept, un idéal, inatteignable.

Hyper-femelle : source Buss D.M « The evolution of desire ».

Comportement adopté par certaines filles en contraste avec l’hyper-mâle comme : se sentir plus petite que ses prétendants, sur-jouer la juvénilité, la fragilité, etc.
Cet archétype vers lequel tendent de nombreuses filles avec la promotion du « moi » grâce aux réseaux sociaux a pour but d’entretenir une relation de séduction avec le monde et s’accaparer ainsi le/les meilleurs partenaires de vie.

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Une réponse

  1. Il y a sémites et Sémites.
    Au commencement du Moyen Âge, les Israélites dispersés s’étaient répandus sur toute l’Europe. On les appelait Juifs, quoique les vrais Juifs eussent presque tous passé au Catholicisme, et fussent devenus les plus ardents adversaires des anciens représentants des tribus d’Israël. Ce sont les Juifs christianisés, par ironie sans doute, qui donnaient aux Israélites leur nom de Juifs qui était discrédité et détesté partout.
    Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
    La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle.
    Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Pour comprendre la persécution dirigée contre les Sémites, il faut savoir que ce sont les Israélites féministes qu’on persécute, et non les Juifs qui les ont renversés pour établir un régime masculiniste. Ces précisions sont susceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur certains évènements tragiques de l’histoire, notamment ceux ayant eu lieu au cours de ces trois derniers siècles, et aussi sur l’utilisation abusive, voire la manipulation aujourd’hui, autour de l’argument, devenu l’argutie, de l’« antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion par l’oligarchie « masculiniste » et toutes ses marionnettes.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html

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