La Pologne exige des réponses après l’explosion du « cadeau » que le chef de la police a reçu des autorités ukrainiennes
Le chef de la police polonaise, Jaroslaw Szymczyk, a été hospitalisé à la suite de l’explosion d’un colis « cadeau » qu’il a reçu, selon des rapports internationaux, après une récente série d’incidents similaires d’explosion de courrier et de colis en Europe, qui seraient liés à la guerre en Ukraine.
Jeudi, le ministère polonais de l’Intérieur a confirmé : « Hier, à 7 h 50, une explosion s’est produite dans une pièce adjacente au bureau du chef de la police. » Il est dit que Szymczyk n’a subi que des blessures mineures. « Lors de la visite de travail du chef de la police en Ukraine les 11 et 12 décembre de cette année, où il a rencontré les chefs de la police ukrainienne et du service des situations d’urgence, il a reçu des cadeaux, dont l’un a explosé« , détaille le communiqué.
Mais c’est précisément ce qui est différent et plus bizarre dans cette affaire, par rapport aux paquets de menaces anonymes et, dans certains cas, aux courriers piégés qui ont été envoyés aux ambassades et aux consulats en Europe au cours du mois dernier et que les autorités se sont efforcées de retrouver : le « cadeau » qui a explosé provenait en fait de l’un des chefs des services ukrainiens, selon le gouvernement polonais.
« À la suite de l’explosion, le commandant a subi des blessures mineures et se trouve à l’hôpital pour observation depuis hier« , poursuit le ministère.
Dans un premier temps, les enquêteurs polonais n’ont pas révélé la nature exacte du cadeau, laissant ouverte la question de savoir si la partie ukrainienne lui avait intentionnellement offert un « cadeau explosif ».
Cependant, des rapports de suivi dans les médias polonais ont indiqué qu’il s’agissait d’un lance-grenades, et qu’il semble donc s’agir d’un accident dû à des munitions défectueuses ou volatiles – ou alors la police polonaise a peut-être manipulé l’arme de manière inappropriée à l’intérieur.
Le média polonais Wyborcza a rapporté : Selon des rapports non officiels, la cause de l’explosion serait le lancement d’un lance-grenades, qui était conservé dans la « pièce secrète » mentionnée par le porte-parole. Il n’y a aucune certitude quant à la cause de l’accident, mais selon les informations d’une des personnes ayant eu accès à la scène, les policiers assis dans la pièce jouaient avec le lance-grenades.
Mais ce n’est qu’une explication possible de l’incident. Les spéculations vont bon train, tant les déclarations initiales du ministère de l’Intérieur polonais sont vagues.
Le cadeau en question ?
Le plafond et le sol de la pièce où s’est produite l’explosion auraient subi d’importants dégâts.
Cependant, ce qui continue de rendre les circonstances étranges, c’est que les autorités polonaises demandent toujours à la partie ukrainienne de « fournir des explications pertinentes » sur le « cadeau » et les raisons de son explosion.
Source : ZeroHedge
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La bonne blague, personne n’envoie une arme approvisionnée, ni même n’envoie une arme + les munitions dans le même colis !
Mieux encore, personne n’envoie une arme ne serait-ce que montée, hors transport spécial on l’envoie absolument toujours démontée, en kit et si possible culasse et percuteur séparés du reste de l’arme.
Dans peu de stands de tir de France il ne serait toléré de voir le moindre tireur débarquer avec une arme 100% fonctionnelle et chargée durant le déplacement de la maison au club.
On vous ferait les gros yeux et une petite remarque pédagogique marquante.
Désolé mais le prétexte « munitions » ne tient pas la route une seule seconde.
Des « munitions défectueuses ou volatiles », ça peut exister pour des armes et explosifs datant de la seconde guerre mondiale, des trucs mal conservés, mal conditionnés et très âgés.
Donc doit-on en déduire que le cadeau ait été récupéré dans une poubelle ?
Que les policiers Polonais jouaient ou non avec l’arme n’est pas la question.
Certes, on ne joue jamais avec une arme, certes dès qu’on prend une arme en mains on vérifie par réflexe si elle est approvisionnée ou pas.
Certes, toute personne qui stocke une arme a le devoir absolu de faire ces vérifications, donc les policiers ne sont pas tant coupable que celui qui a stocké l’arme.
Là où ils sont coupables et responsables, c’est d’avoir fait confiance, on n’a pas à faire confiance quand il s’agit d’une arme, même si elle est supposée avoir été vérifiée 15 fois on vérifie !
C’est tout ce qu’on peut leur reprocher et c’est déjà beaucoup .
Par contre le crétin qui a envoyé une arme fonctionnelle, supposément chargée ou accompagnée de munitions, est soit un abruti de première catégorie pour les raisons données, soit c’est un fou dangereux qui ne vérifie même pas l’état des munitions.
Pourtant une munition dégradée ça se voit à l’œil nu, ça laisse des traces, des odeurs.
L’histoire officielle ne tient pas la route une seule minute.
Nous devrions envoyer des presse-purée de 1940 à Zelenski, on verrait si la réaction de la communauté internationale ne crierai pas au complot et à la tentative d’assassinat !