Une nouvelle saison pour une mauvaise série
Notre système de santé publique avait presque failli nous oublier !
Heureusement que Castex nous rassure avec le fait qu’il va falloir bientôt s’injecter un peu de Pfizer dans ses veines (probablement juste après les élections) pour continuer d’être.
Bien entendu, il n’encourage que les plus vulnérables (c’est-à-dire les plus de 80 ans) à courir chez leurs marchands de santé le plus proche.
« Jean Castex a annoncé samedi l’ouverture de la quatrième dose de vaccin « aux plus de 80 ans ayant reçu leur dose de rappel depuis plus de trois mois », face au léger rebond de l’épidémie de Covid, dans une interview au Parisien.
Concédant qu’il y avait actuellement une « reprise des cas », Jean Castex a cependant exclu de « changer de stratégie », alors que la plupart des restrictions doivent être levées lundi, comme le pass vaccinal. « Le conseil scientifique, que j’ai sollicité, nous dit que c’est surtout le sous-variant BA2 qui est à l’origine de ce rebond épidémique. » »
Apparemment le gouvernement va changer de stratégie. Comme là, il s’agit du variant BA2, il va falloir être beaucoup plus stratège, c’est une bonne nouvelle.
Personne ne comprend plus rien à un langage hermétique à base d’acronyme.
Mais si notre gouvernement semble peut-être dépassé par ces événements, qu’en dit alors notre homme d’affaire et philanthrope Albert Bourla, le PDG de Pfizer ?
Pfizer toujours à l’affût du profit, pour votre bien
« Dans une interview accordée à CBS News, Albert Bourla, le directeur général de Pfizer, a déclaré qu’une quatrième dose de vaccin contre le covid serait nécessaire dès cette année. Il estime en effet que le virus ne disparaîtra pas dans les prochaines années. Un rappel du vaccin doit donc devenir un rendez-vous, a plaidé l’homme d’affaires. Il a ajouté que le laboratoire travaillait sur un vaccin offrant une protection accrue. »
Mince alors, il semblerait que les complotistes de 2021 soient les anticipateurs des évènements de 2022.
Les rendez-vous habituels chez nos « vaccinants » semblent effectivement être un abonnement trimestriel.
Apparemment, nous ne sommes pas encore sorti d’affaire avec ce fâcheux virus, mais Albert, dans son infini bonté, rajoute que le prochain vaccin offrira une protection « accrue » donc nous sommes sauvés.
Comment croire un homme d’affaire qui réussit à faire générer près de 1 000$ par seconde à une société qui ne réussit finalement jamais à trouver une vraie solution à cette pandémie ?
Tentons alors de croiser les différentes sources d’informations pour peser le pour et le contre dans toute cette affaire. Soyons pragmatique.
« Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a fait pression pour obtenir une quatrième dose de vaccin expérimental, bien qu’il ait reconnu la courte durée de la « protection » conférée par le vaccin et son incapacité à combattre l’infection.
Lors d’une apparition dans l’émission Face the Nation de CBS, dimanche, M. Bourla, dont la société a été accusée de « profiter de la pandémie », a déclaré : « Il est nécessaire de procéder à un quatrième rappel dès maintenant. »
Il affirme lui-même face caméra que son « vaccin » n’était pas le miracle promis mais qu’à la quatrième tentative, promis, on sera bon. C’est logique.
N’y voyons aucune volonté de générer du profit sur le dos du contribuable apeuré, au profit de l’autorité suprême qu’est la science.
« Le chef de Pfizer a ensuite déclaré à l’animatrice Margaret Brennan : « La protection que vous obtenez avec le troisième vaccin est assez bonne, en fait assez bonne pour les hospitalisations et les décès » .
Il a ensuite admis : « Il n’est pas si bon contre les infections, mais il ne dure pas très longtemps. Mais nous ne faisons que soumettre ces données à la FDA et nous verrons ensuite ce que les experts diront en dehors de Pfizer. » »
Réussir en un tour de passe-passe rhétorique, avec dans la poche intérieur de sa veste retroussable à l’infini, les meilleurs extraits de « l’art d’avoir toujours raison » pour dire une chose et son contraire en même temps, puis jeter la patate trop chaude dans la main des « experts en dehors de Pfizer » c’est du beau jeu.
Il mérite sa place dans la Macronie. C’est du grand art, nous ne pouvons plus lutter.
Analysons plutôt la performance :
Si naturellement, lorsque vous devez être neutre vous faîtes une moue, cela ne présage rien de bon.
Les sous-titres sont absents dans cette vidéo mais voici les gros traits de cette entrevue :
« Même si certaines données suggèrent que les enfants âgés de 5 à 11 ans ont eu moins d’avantages en termes de prévention de l’infection avec ce vaccin, le vaccin reste très, très efficace pour prévenir ces enfants d’une maladie grave… Tous les enfants de ce pays devraient être vaccinés contre le coronavirus. »
Bien entendu, les enfants ne sont pas touchés par les « formes graves » de ce virus alors pourquoi vouloir TOUS les vacciner ?
Mr Bourla souhaite peut-être fidéliser ses futurs clients ? Le processus d’engagement est une technique de manipulation bien connu.
« Nous travaillons très assidûment en ce moment, c’est pour fabriquer non seulement un vaccin qui protégera contre tous les variants, y compris l’omicron, mais aussi quelque chose qui peut protéger pendant au moins un an »
Techniquement, c’est tout bonnement impossible de fabriquer un vaccin qui protégera contre un variant qui n’est pas encore apparu.
Sur quoi les scientifiques se basent ils ?
C’est comme si informatiquement, un logiciel d’anti-virus avait la solution pour vaincre un virus qui n’existe pas encore.
« Et si nous sommes en mesure de réaliser cela, alors je pense que c’est très facile à suivre et à retenir, de sorte que nous pouvons revenir à la façon dont nous vivions vraiment avant. »
Attention à l’analyse des paroles d’Albert, il parle au conditionnel, il dit bien « ‘’Si’’ nous sommes en mesure de réaliser cela » mais petit ascenseur émotionnel, de quoi nous parle t-il juste après ?
La fameuse vie d’avant ! L’argument clef pour mobiliser toutes les troupes à suivre les consignes de nos maîtres.
Derrière les promesses, la réalité des effets
Tentons d’écouter un autre son de cloche.
Que nous dit l’Etat qui prône la liberté individuelle qu’est le Texas ?
Un juge fédéral du Texas a ordonné envers la FDA (food and drugs administration) qu’elle publie les données utilisées pour l’homologation du « vaccin ».
Apparemment, ce document affiche une liste de plus 1 200 effets secondaires indésirables, sur lesquels Albert fut taiseux.
« C’est la première fois que le public est autorisé à accéder aux données que Pfizer a soumises à la FDA à partir de ses essais cliniques à l’appui de l’homologation du vaccin contre le COVID-19.
Lorsque Pfizer a demandé l’approbation de la FDA, elle était au courant de près de 158 000 effets indésirables de son vaccin et a demandé que ces documents restent scellés pendant 75 ans. »
Risqué ? Non c’est trois fois rien, voici une liste non exhaustive des éventuelles complications que vous pourrez ressentir après que votre schéma vaccinal fut griffonné sur un coin de nappe de Davos :
- Lésion rénale aiguë
- Myélite flasque aiguë
- Anticorps anti-sperme positif
- Embolie du tronc cérébral
- Thrombose du tronc cérébral
- Arrêt cardiaque
- Insuffisance cardiaque
- Thrombose ventriculaire cardiaque
- Choc cardiogénique
- Vascularite du système nerveux central
- Mort néonatale
- Thrombose veineuse profonde
- Encéphalite du tronc cérébral
- Encéphalite hémorragique
- Epilepsie du lobe frontal
- Mousse à la bouche
- Psychose épileptique
- Paralysie faciale
- Syndrome de détresse fœtale
- Amyloïdose gastro-intestinale
- Crise tonico-clonique généralisée
- Encéphalopathie de Hashimoto
- Thrombose vasculaire hépatique
Heureusement que je ne comprends pas un mot sur deux de cette liste mais apparemment, il serait préférable de tremper sa cigarette dans du dissolvant avant de la fumer.
Cigarette qui à la base n’était pas jugée dangereuse pour la santé par les médecins jusque dans les années 60 alors au final… peut-être faudra-t-il juste un peu de recul comme quelques générations pour tirer des conclusions aux sujets de ces vaccins ?
Quelques générations comme peut-être les 75 ans de scellage demandé par Pfizer pour cacher ces documents.