Récemment Lilian Thuram s’est exprimé sur un match en Italie pendant lequel des supporters ont imité des cris de singe à l’encontre d’un joueur noir de l’équipe adverse. Il dénonce alors “l’hypocrisie des autorités qui laissent faire” et ajoute : “Il faut prendre conscience que le monde du foot n’est pas raciste mais qu’il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche (…) les Blancs pensent être supérieurs et ils croient l’être. C’est quelque chose qui dure malheureusement depuis des siècles”.
Les propos du footballer ont fait réagir bon nombre de Français et notamment les défenseurs de la théorie du racisme systémique et du privilège blanc.
En septembre 2019, Rokhaya Diallo écrit une tribune dans Libération où elle évoque le racisme systémique :
« Le racisme ne se résume pas à des interactions individuelles désobligeantes, il s’agit d’un système découlant d’une histoire. La place des minorités en France est conditionnée par un passé colonial et esclavagiste, elles ont fait l’objet de théories raciales qui les ont mises dans une condition d’infériorité. Cette condition se traduit aujourd’hui par un traitement structurellement inégalitaire dans l’accès à des biens ou à des services (logements, emplois…) et dans le traitement institutionnel (contrôles au faciès, situation des outremers…).
Si des personnes blanches peuvent être exposées à des déconvenues du fait de leur appartenance – ce qui est tout à fait condamnable – elles ne sont désavantagées ni politiquement, ni socialement par le fait d’être blanches.»
Le 19 décembre 2019, le youtubeur Bonjour Tristesse affirme sur FranceTV Slash :
« Quand tu es blanc et que t’es un homme en plus, t’es très privilégié. Privilégié par rapport à quasi-tout : le rapport aux institutions, notamment à la police, le rapport au travail parce qu’on est clairement les seuls à pas être discriminé au travail, le rapport à la recherche de logement où pareil on est les seuls à pas être discriminé du tout. Voilà, globalement dans la vie sociale, dans la manière d’interagir on est amené à croiser moins d’hostilité dans la globalité de nos rapports sociaux. »
Rokhaya Diallo affirme appuyer ses affirmations sur la parole d’un sociologue, professeur de Science politique à Paris VIII appelé Eric Fassin . Ce dernier affirme dans une interview donnée à France Culture :
« Le racisme institutionnel existe, de fait, en dépit du cadre légal. « Il y a des logiques systémiques, structurelles, qui dépassent les intentions et les idéologies. Autrement dit, il n’y a pas besoin que les individus soient racistes pour qu’on obtienne des résultats de discrimination raciale. »
Ces affirmations reposent-elles sur des études scientifiques ? Dans ce dossier consacré au racisme systémique, nous verrons par les nombres et la méthode scientifique si ces affirmations sont fondées ou s’il s’agit d’un biais idéologique néfaste.
Définition
Racisme institutionnel : Racisme pratiqué dans un cadre social et politique. Il est reflété par des disparités dans le cadre de la santé, le revenu, le logement, la justice, l’accès au logement, le pouvoir politique et l’éducation.
Mot utilisé pour la première fois en 1967 par Stokely Carmichael (socialiste américain, membre et leader du mouvement Black Power et pan-Africain, il se renomme Kwame Ture après sa remigration en Afrique) et Charles Hamilton (Professeur de Science politique), dans le livre Black Power: politics of Liberation.
Dans cet ouvrage les deux auteurs expliquent comment la communauté noire tente de s’engager en politique et les difficultés de cette communauté depuis l’esclavagisme, le colonialisme, la suprématie blanche et aujourd’hui : le racisme systémique.
Le racisme systémique ou institutionnel établit une corrélation entre la situation socio-économique et l’appartenance aux différentes communautés (noire, blanche, asiatique, etc.) ; une disparité de situation allouée à des discriminations racistes au sein de la société occidentale qui ne serait pas dénoncées mais bien favorisées par les institutions. C’est un modèle, une théorie qui se veut explicative de ces disparités où la communauté blanche serait le standard tout en haut de la société et où les minorités seraient défavorisées dans les chances de réussite socio-économique à cause de ces discriminations parfois inconscientes.
Mais est-ce que ce modèle explicatif est le bon ? Est-ce que les statistiques et les faits soutiennent cette théorie ? Ou y aurait-il une autre explication ? Quel modèle pourrait mieux expliquer ces disparités (comme les différences de QI moyen entre les populations) ? Pour répondre à ces questions, il faut étudier les chiffres de plus près.
Dans cet article, nous allons étudier ces disparités dans le monde occidental, à commencer par les Etats-Unis, et notamment l’une des premières sources de ces inégalités : l’accès à l’université ainsi que la réussite scolaire.
A) Le racisme systémique aux USA
Avant de comparer les situations socio-économique des différentes communautés, il est nécessaire de connaître la proportion que représente ces différentes populations au sein du peuple américain.
D’après le site Census, le Bureau du recensement américain, on peut observer les pourcentages suivants :
– les Blancs non-hispaniques représentent 60,4 % de la population
– les Afro-Américains 13,4 %
– les Hispaniques et Latinos 18,3 %
– les Asiatiques 5,9 %.
Ensemble, ces groupes représentent 98 % de la population américaine.
I) Représentations à l’université aux USA
Il est admis que la réussite scolaire est intimement liée à la réussite socio-économique. Nous allons donc commencer par observer les représentations des différentes communautés au sein des universités américaines.
Un article du New York Times intitulé « Malgré la discrimination positive, les Noirs et les Hispaniques sont davantage sous-représentés dans les meilleures universités qu’il y a 35 ans »
Cet article montre une disparité importante dans les universités de la Ivy League qui sont les meilleures universités des Etats-Unis : les Blancs représentent environ 50 % des étudiants de ces universités alors que les Afro-Américains seulement 7 à 9 % des étudiants, les Hispaniques 13,9 % en moyenne illustrant ainsi l’inégalité soulignée par la théorie du racisme systémique. Ce qui est néanmoins surprenant c’est la sur-représentation des Asiatiques dans ces universités avec en moyenne 22 % des étudiants alors qu’ils ne représentent que 5,9 % de la population américaine.
Ces résultats suggèrent que les Asiatiques échappent au modèle du racisme systémique dans l’accès à l’université. Il est alors intéressant d’observer l’effet du racisme systémique dans un État où les Blancs ne sont plus majoritaires comme la Californie où les proportions populationnelles ne sont pas les mêmes que dans le reste du pays :
En effet, en Californie, les Blancs ne représentent plus que 36,8 % de la population de l’État, les Hispaniques et Latinos représentent 39,3 % ce qui en fait le groupe majoritaire, les Afro-Américains représentent 6,5 % et les Asiatiques 15,3 %.
Les Blancs ne représentent alors en moyenne que 24,3 % des étudiants de ces universités, et la population majoritaire hispanique représente alors 30,5 % des étudiants, il ne semble pas y avoir de racisme systémique : à population égale, il y a davantage d’Hispaniques dans ces universités que de Blancs. Une fois encore, de façon surprenante, les Asiatiques représentent en moyenne 35,4 % des étudiants des universités californiennes malgré le fait qu’ils ne sont que 15,3 % de la population (soit 2,5 fois moins que les Hispaniques et Latinos).
Pourquoi cette sur-représentation asiatique au sein des meilleures universités (population étudiante majoritaire à Berkley par exemple) ?
II) Revenus aux USA
Pour les prochaines études statistiques, nous avons choisi les chiffres rassemblés par le Pew Research Center, centre de recherche américain qui fournit des statistiques et des informations sociales sous forme de démographie, sondages d’opinion, analyse de contenu. Son siège social est à Washington, D.C. et ses activités sont financées par le Pew Charitable Trusts.
Dans cet article nommé « Les découvertes clefs sur la montée des inégalités de revenus entre les races et les groupes ethniques américains »
En regardant le revenu annuel des différentes communautés et en regardant différentes stratifications de ces communautés (c’est-à-dire les revenus moyens des 10% les mieux rémunérés, le revenu médian et les 10% les moins rémunérés), on peut s’apercevoir que les Hispaniques et les Noirs ont, dans toutes les stratifications, moins de revenus annuels que les Blancs contrairement aux Asiatiques qui est la communauté dont les revenus sont les plus élevés sauf dans les 10% les moins rémunérés.
Une fois de plus, les Asiatiques ne semblent pas souffrir d’un quelconque racisme systémique quand il s’agit de leur vie professionnelle et de leurs revenus.
III) L’accès à la santé aux USA
Comme vous le savez, dans le pays de l’oncle Sam, il est nécessaire pour un citoyen américain d’être couvert par des assurances santé afin d’être pris en charge par les services de santé en cas de souci. Afin d’observer la disparité de l’accès à la santé, nous avons cherché les niveaux de couvertures par les assurances santé selon l’appartenance à une communauté en utilisant les chiffres obtenus par la Kaiser Family Fundation qui est une fondation à but non lucratif qui se concentre sur les problèmes de santé aux Etats-Unis :
En regardant la proportion d’individus sans assurance santé parmi les différentes communautés (que ce soit les enfants, les adultes ayant moins de 64 ans ou toute la population ayant moins de 64 ans), le schéma habituel se répète de nouveau : les Noirs et les Hispaniques sont en moyenne moins couverts que les Blancs et les Asiatiques.
Une nouvelle fois, ces données suggèrent que le racisme systémique ne touche pas les Asiatiques.
IV) L’accès au logement
Le Pew Research Center a obtenu le taux de refus d’une demande d’hypothèque à la banque et voici les résultats par race :
Les Afro-Américains ont les taux de refus les plus élevés, suivis par les Hispaniques, et enfin les Asiatiques sont très légèrement en dessous des Blancs.
De plus, ces populations ne remboursent pas les emprunts avec le même taux :
On peut s’apercevoir de la même façon que dans l’accès à l’emprunt, les Asiatiques obtiennent des taux avantageux par rapport à toutes les autres communautés (incluant les Blancs).
V) Justice aux USA
Afin d’étudier la disparité face à la justice, nous avons utilisé les proportions que représentent chaque communauté dans le milieu carcéral en se basant sur les chiffres du bureau fédéral des prisons :
Race | Total Prison Population (%) | Total US Population (%) |
Blanche | 58.70 | 76.50 |
Noire | 37.50 | 13.40 |
Natif Américain | 2.30 | 1.30 |
Asiatique | 1.50 | 5.90 |
On s’aperçoit alors que les Noirs américains et les populations natives américaines sont sur-représentés par rapport aux Blancs, mais que les Asiatiques sont sous-représentés dans la population carcérale.
Toutes ces données vont à l’encontre de la théorie du racisme systémique et du privilège blanc puisqu’une minorité comme les Asiatiques ne semblent pas subir ce racisme négatif, au contraire il semble qu’un racisme positif s’applique à ces populations.
Mais qu’est-ce qui compose cette population asiatique américaine ?
De nombreuses populations composent ce qu’on appelle les Asiatiques américains, mais les ethnies majoritaires sont : les Chinois, les Indiens (à ne pas confondre avec les natifs américains, il s’agit ici d’individus originaires d’Inde), et les Philippins suivis par les Vietnamiens, Coréens et Japonais.
Parmi ces différentes populations, les Indiens, les Coréens et les Chinois sont les groupes les plus diplômés avec une proportion très importante de leur population qui possède une licence universitaire ou plus.
Et ces mêmes populations – en particulier les Indiens – possèdent un revenu médian annuel familial supérieur au score national (56 000$ en 2015).
Cela peut s’expliquer par le fait qu’une grande proportion de ces individus travaillent dans des domaines scientifiques et d’ingénierie :
Nous avons donc décidé d’observer une autre population minoritaire afin de conclure s’il s’agit d’une exception ou s’il y aurait une autre explication derrière ces disparités, nous avons pris le cas des Juifs dont l’oppression à travers l’Histoire est bien connue, notamment en regardant les chiffres de la réussite scolaire et des revenus par religion.
VI) Éducation par religion aux USA
On observe donc que parmi les 3 groupes religieux les plus éduqués aux Etats-Unis, nous avons les Hindous et les Juifs qui ont un pourcentage d’adultes diplômés du supérieur largement plus important que la moyenne des Américains.
On rappelle que 51% des Indiens (au niveau éducatif et aux revenus très impressionnants) sont Hindous :
VII) Revenu par religion
En corrélation avec le niveau d’éducation par religion, les Juifs et les Hindous représentent les groupes religieux aux revenus familiaux les plus importants.
Il semble que de nombreuses populations aux USA ne subissent donc pas de racisme systémique puisqu’un grand nombre d’indicateurs socio-économiques sont supérieurs à celui des Blancs, que ce soit les Asiatiques du Nord-Est, les Juifs ou les Indiens. Par ailleurs un certain nombre de ces populations ont notamment subi la colonisation dans leur Histoire (comme les Indiens), voire des répressions étatiques très violentes, pour autant, quelques décennies ont suffi à ces populations pour obtenir une situation confortable.
Alors qu’est-ce qui peut expliquer ces disparités socio-économiques entre ces différentes populations ? Pourquoi les Afro-Américains et les Hispaniques ont-ils une situation aussi peu enviable par rapport à la population de référence que sont les Blancs ? Est-ce dû à un passé de colonisation ? Pourtant les Indiens sont issus de la colonisation anglaise, les Chinois ont également subi une semi-colonisation. Peut-être que l’esclavagisme a eu un impact sur la situation socio-économique des Noirs américains, malgré tout les Hispaniques n’ont pas subi d’esclavagisme et leur situation n’est guère similaire à celui des Asiatiques par exemple.
VIII) Racisme et crime de haine
Si un sentiment de discrimination était partagé à travers le peuple américain pouvant ainsi expliquer les difficultés des populations afro-américaines et hispaniques, ce sentiment donnerait lieu à des crimes de haine ; en regardant les chiffres du FBI nous avons pu observer quelles populations en étaient les plus victimes :
En 2017, il y a eu 8 126 crimes de haine répertoriés par le bureau fédéral : 59.5% (c’est-à-dire 4 834 crimes) étaient motivés par la haine raciale, 22% (1 679 crimes) par la haine envers une religion.
Parmi les crimes de haine raciale :
- 48.8% (2 358) des crimes étaient motivés par une haine envers la race noire
- 17.5% (845) des crimes étaient motivés par une haine envers la race blanche
- 10.9% (526) des crimes étaient motivés par une haine envers la race hispanique
Parmi les 1 679 crimes motivés par une haine envers une religion :
58,1% (975) étaient motivés par une haine vers les Juifs.
Il faut rappeler qu’avec 5,3 millions de Juifs aux Etats-Unis, cette communauté représente 2,2% de la population générale. Et bien que la population afro-américaine est celle qui a subi le plus de crimes de haine en nombre total, en reportant à la taille de la population on s’aperçoit que les juifs subissent 2,5 fois plus de crimes de haine. L’antisémitisme semble donc une force d’oppression plus grande que le racisme anti noir si on se base sur les chiffres du FBI et pourtant leur situation socio-économique est l’une des meilleures des Etats-Unis.
Le FBI renseigne également sur l’identité ethnique des individus réalisant ces crimes de haine, sur 6 370 individus :
- 50.7% étaient des Blancs.
- 21.3% étaient des Afro-Américains.
- 0.7% étaient des Asiatiques.
De la même façon que la situation socio-économique, les Afro-Américains sont sur-représentés dans les crimes de haine (regroupant la haine ethnique, religieuse, de l’orientation sexuelle etc…) et les Asiatiques sont sous-représentés. Il est très difficile de comprendre comment le racisme systémique peut pousser certaines populations à réaliser des crimes de haine racistes et religieux et d’autres populations à en faire moins que les Blancs privilégiés.
Conclusion
Rappelons-nous d’abord que le racisme systémique est un modèle, une théorie qui se veut explicative de ces disparités où la communauté blanche serait le standard tout en haut de la société (« White Privilege ») et où les minorités seraient défavorisées dans les chances de réussite socio-économique, l’accès à la santé, l’égalité devant la justice, l’accès au logement à cause de ces discriminations parfois inconscientes.
Et pourtant, en se penchant sur les chiffres qui rendent compte de ces situations socio-économiques, on s’aperçoit que certaines minorités sont au-dessus des Blancs (réfutant donc la théorie du white privilege). Que le passé colonial ou de répression étatique ne semble pas avoir d’impact sur ces situations socio-économique, puisque des minorités ayant subi la colonisation sont au-dessus des Blancs en éducation, économie, santé etc (comme les Indiens)…des minorités ayant subi des répressions étatiques par le passé et des crimes de haine encore aujourd’hui sont également au-dessus des Blancs (comme les Juifs).
Juif | Noir | Hispanique/Latino | Asiatique | |
Histoire coloniale | Oui | Oui | Oui | Oui |
Histoire esclavagisme | Non | Oui | Non | Non |
Lois raciales répressives | Oui | Oui | Oui | Oui |
Niveau SES par rapport aux blancs | Supérieur | Inférieur | Inférieur | Supérieur |
Théoriquement, il y aurait un effet additif des différentes Histoires oppressives subies ? Cela pourrait fonctionner pour les Noirs américains, mais les Hispaniques ont une histoire relativement similaire aux Asiatiques et ont pourtant un écart gargantuesque dans leur situation socio-économique.
Lorsque l’on établit une hypothèse, un modèle explicatif en science, il faut également établir les conditions pour lesquelles le modèle est faux, par exemple :
Le racisme systémique est la théorie explicative des disparités socio-économiques entre les populations ethniques en Occident ; ainsi, il existe un privilège blanc qui explique que les Blancs ne subissent pas de discrimination et que leur situation socio-économique est au sommet de la société. Cette théorie est fausse si des minorités ont une situation socio-économique supérieure à celle des Blancs. Et si cette théorie est fausse, réfutée, alors il faut un nouveau modèle explicatif.
Il existe un test dont la valeur corrèle avec : le succès scolaire, le succès socio-économiques, la longévité etc…Il s’agit du quotient intellectuel.
La puissance prédictive de ce test est importante (contrairement à la race dans le cadre de la théorie du racisme systémique).
Or les anciennes et les nouvelles publications sur le QI moyen des différentes populations aux Etats-Unis ont des résultats similaires et répétables, dont on peut réaliser un classement selon la valeur qui QI :
1) Juif : 113
2) Asiatique de l’Est : 106
3) Blanc : 103
4) Hispanique : 89
5) Afro-Américain : 85
Il semble que ce classement du QI moyen par population corrèle parfaitement avec le classement de ces mêmes populations dans les différents éléments sociaux économiques. Qu’un racisme existe dans notre société expliquant une part des disparités est possible, néanmoins elle ne semble pas suffisamment significative pour empêcher les minorités à haut QI moyen de réussir.
Dans une étude américaine financée par le Pew charitable Trusts qui vise à comprendre les mécanismes de la mobilité socio-économique, une base de donnée d’enfants noirs et blancs ayant passé le test AFQT (test utilisé à l’armée qui combine les mathématiques et la compréhension écrite) permet d’évaluer les chances pour que ces enfants faisant partie des 20% les plus pauvres sortent de cette catégorie en faisant correspondre leur score AFQT:
A score équivalent, la probabilité de sortir des 20% les plus pauvres est la même (sans différence significative) entre les enfants blancs et les enfants noirs, il semble que les capacités cognitives soient des indicateurs beaucoup plus prédictifs que la race et l’éventuel racisme dans la société.
Dans le prochain article nous verrons ce qu’il en est en France et ailleurs.
Source : https://cercle-cobalt.com/le-mythe-du-racisme-systemique/
6 Responses
Mike Borowski
« Aucun artiste, chanteur Français, de sportifs célèbres n’a eu 1 mot pour Lola. Pourquoi ce silence? »
18 oct. 2022
RÉPONSE : Hé bien par racisme institutionnel Mike, racisme au sens sémantique réel, hiérarchisation.
Si ça avait été un Georges.F (ou un Traoré) toxico, braqueur, dealer, acteur de X, qui s’était fait une overdose et une crise cardiaque à l’autre bout de la planète…. Ces mêmes dégénérés auraient fait de tous les Français les coupables de son overdose.
Ils auraient même justifié la destruction de centres villes entiers, l’homicide volontaire de plus de dix personnes innocentes pour « expier » l’overdose du taré.
Par contre, les mêmes tas de m**de (je le pense sincèrement, désolé pour le mot) sont capables de parler « d’indignité » face aux rares qui osent évoquer le cas de la fillette assassinée avec acte de viol et de barbarie.
(L’occupante Léa Salamé la Libanaise fille de banquier, n’en parlons pas, elle bat sans cesse son propre record dans l’abjecte kapo-attitude)
C’est ça le VRAI RACISME Mike, la hiérarchisation des races, donc quand certains meurent de bêtise dans un transformateur électrique c’est un drame national…. quand d’autres sont assassinés avec viol et acte de barbarie par les premier c’est quasi normal, un incident psychiatrique la faute à pas de chance même s’il a été commis en réunion et en bande organisée.
L’excuse systématique de la maladie mentale est abjecte (même venant de Charles Gave que j’apprécie ) c’est du négationnisme pur.
SI ça avait été un de ses petits-enfants je ne pense pas que Charles.G aurait évoqué le cas psychiatrique en réunion n’est-ce pas….
C’est tuer la victime une seconde fois, parce que cette ignominie s’est faite sur un long laps de temps et en bande organisée, ce n’est pas un « malheureux geste impulsif » donc pas de maladie mentale qui compte car bande + temporalité .
Mais le pire du pire dans l’histoire, c’est que les esclaves Français n’ont même pas le droit à ce que la Loi Naturelle exige, ce que ferait A MINIMA n’importe quelle société du règne humain ou animal : Chasser du groupe tous ceux qui menacent l’intégrité et la pérennité du groupe .
Ca c’est totalement abjecte, ignoble…
(au contraire on va les rechercher en Syrie, ou on leur fait caresser des petits chats, ou on leur met quelques mois de SURSIS pour des viols et des meurtres … ça c’est de l’ultra-racisme systémique !)
LEX REX : la LOI naturelle est LA LOI, la seule et unique, c’est la loi de la nature et la nature dit que chaque groupe animal CHOISIT avec qui il veut vivre ou non, de plus chaque groupe animal est TERRITORIAL et le groupe a le choix d’avec qui il veut vivre ou pas !
La loi de la raie-publique n’a en aucun cas à être respectée lorsqu’elle viole la LOI NATURELLE, LEX REX signifie cela, et là même les sectes des esclaves francs-macs qui l’ont étudiée ne peuvent rien redire à ce propos.
Ils savent qu’il est vrai et que le viol de la loi naturelle entraine systématiquement des effets catastrophiques, une punition. (exemple violer les lois de la gravité amène à s’écraser au sol )
Forcément les kapos passant leur vie à violer la loi naturelle oseraient dire que ce commentaire qui expose leur racisme (hiérarchisation des races) en pleine lumière, est lui-même du racisme.
Je leur répondrai : « La charge de la preuve revient à l’accusation pour ma part j’ai apporté la preuve de votre ultra-racisme par ce seul exemple, mais j’en ai des tonnes en stock… comme entre-autres l’obligation à un occidental d’obtenir un visa pour voyager, ce qui n’est pas le cas pour un certain continent … »
Je ne peux pas mieux vous répondre mon cher Monsieur Mike Borowski
Tout ça vous le savez déjà.
Par nature profonde je serais incapable de faire votre travail, au lieu de poser la question sur ces gens, même si ce n’est pas très malin et cela aurait des conséquences sur la chaîne : je ne pourrais m’empêcher de leur faire un procès MORAL + LEGFAL en bonne et due forme en fouinant leur passé et présent sur toutes les coutures.
(en les foutant à poil en somme, je suis assez bon à l’exercice croyez-moi)
Je n’ai pas de haine envers les parasites merdiatiques, on n’a aucun sentiment envers d’agaçants moustiques qui transmettent des maladies, on les écrase sans aucun sentiment à la première occasion sans aucun regret, rien de plus.
Ces parasites vivent en nous suçant le sang (temps + subventions) et en nous polluant l’esprit, donc oui : « paf sans aucun sentiment ! »
(A moins qu’on emploie la très pédagogique loi du talion pour éduquer les VIP tant pis pour leurs gosses qui ne valent pas plus que les gosses des autres pour lesquels ils consentent au meurtre barbare… Consentent car = qui ne dit mot consent !
Là on verra s’ils trouveront légitime que toute leur caste se taise ! )
Dural Lex Sed Lex
PS :
Notez bien que tous les sophistes qui osent dire « c’était pas une Algérienne OQTF c’est juste une victime de maladie » sont à mettre dans la même poubelle de l’humanité que ceux qui disent « ci pas l’islam ci des malades » et ceux qui disent « les socialistes Staline, Hitler et Mao étaient de droite » .
« Mal nommer les choses c’est ajouter aux malheurs du monde », donc je tiens chacun de ceux qui osent ces dingueries pour complices actifs par justification publique !
Je vous laisse réfléchir à ce postscriptum, il semble hard alors qu’en réalité ce qui est hard c’est que quiconque ose prétendre de telles saloperies sachant qu’exactement les mêmes personnes sont capables de reprocher la colonisation et la faire payer à des enfants Français non-élus nés en l’an 2000, des siècles après les faits.
Pour autant qu’on sache, ce ne sont pas les sans-dents Français qui ont décidé de la colonisation, c’est des bobos VIP de l’époque et personne d’autre, les gueux sortant du populicide de masse de 1789 n’ont pas eu leur mot à dire.
(pareil pour les chances qui osent faire payer la colo aux sans-dents, c’est les pires des sous-m**des, c’est juste un prétexte à deux balles on le sait tous. Toute personne qui les justifie devrait être châtié ! !)
Mike
Un dernier point non des moins important :
Tous les « complices » qui font de l’ignoble barbare une simple victime de maladie mentale préconisent qu’on la soigne et non qu’on la condamne et encore moins qu’on la puce + l’expuse avec assurance de peine de mort si elle remet un orteil en Europe.
Conséquences de leur débilité complice :
-Sous le coup d’un OQTF la sadique a déjà cumulé plusieurs années sur le territoire Français.
-Quelques années en hôpital psychiatrique à nos frais (ignominie supplémentaire) en qualité de « victime de troubles » et au bout de 5 ans démontrés sur le territoire Français celle-ci obtiendra automatiquement la nationalité Française !
Conclusion :
Avec ces « complices minimisateurs » la sadique obtiendra la nationalité Française, donc obtiendra pile poil ce qu’elle voulait, au final ELLE SERA RECOMPENSÉE pour avoir assassinée en réunion et commis des actes de barbarie sur une fillette de 12 ans !
Les parents et tous ceux qui ont connu cette Lola devront vivre avec la meurtrière barbare étrangère à leurs côtés, ce qui fait un service et un traumatisme de plus pour ces gens … et une joie immense pour la meurtrière, quasiment une vengeance supplémentaire à son actif.
Peu importe qu’on soit un homme délicieux et bien intentionné, il faut toujours réfléchir aux conséquences de ce qu’on préconise, sinon on n’est qu’un gamin qui ne réfléchit pas plus loin de la bout de son nez.
RACISME (donc hiérarchisation) théme de l’article :
Dans ce cadre, on peut dire que préconiser de telles mesures est ultra-raciste, car à situation inversée les mêmes personnes préconiseraient une peine de mort pour toute Gauloise qui, par racisme, exterminerait une petite africaine de 12 ans avec actes de barbarie en réunion.
Aucun d’entre-eux n’oserait préconiser l’hopital psychiatrique suivi de l’obtention automatique de la nationalité du pays d’origine de leur victime.
Désolé de devoir leur coller le nez dans leur caca, non pas désolé de leur coller le nez dans leur caca, juste dépité de DEVOIR le faire pour leur remettre les yeux en face des trous.
Ces gens ont le cerveau à l’envers !
MIKE BOROWSKI
Je vous conseille comme à tous les Français cette excellente vidéo de Maudin Malin sur le sujet de Lola :
POURQUOI LES FACH0S « RÉCUPÈRENT » L’AFFAIRE LOLA
https://youtu.be/ztw95bHQTcE
Tout est dit, et je ne cesse de répéter que de mon point de vue, chaque gauchiste (donc despote sadique), est 100% co-responsable pénalement des attentats, des 700 assassinats anti-Français/an, des 120 attaques au couteau par jour, et de chacune des violences gratuites toutes les 50 secondes.
Jouer les kapos c’est bien beau, mais pour qu’il y ait des coupeurs de têtes il faut que les coupeurs de langues fassent le travail en amont.
La gauche a TOUJOURS excellé en qualité de coupeuse de langues (au nom de la liberté d’expression et d’opinion, bien-sûr)
Entre leur responsabilité de gauchistes et celles des coupables… coupables qui savent très bien que la colonisation est 100% de gauche tout comme l’esclavage, tout comme Mitterrand a été le plus grand décapiteur d’Algériens de l’histoire de France, et qui malgré tout votent à gauche en chialant sur ces faits d’un lointain passé juste pour du pognon … …c’est l’égalité totale dans l’abjection..
(hé oui, « les chances » y ont perdu toute crédibilité, définitivement, quand on chiale d’un traumatisme feint à minima on l’étudie, et quand on l’étudie on ne peut plus être de gauche à moins d’être foncièrement malhonnête, voir abjecte et ultra-raciste antiblancs .)
Il ne faut pas prendre les tactiques de nos ingénieurs sociaux au sérieux, au contraire il faut démystifier et se foutre ouvertement de leur goule systématiquement en les traitant de bigots intégristes dérangés du ciboulot …
Le but ?
C’est que plus personne dans la vraie vie n’ose jouer les kapos dans une conversation personnelle en traitant l’autre de raciste, nazi, fasciste, esclavagiste etc…
Le mot raciste a été inventé dans l’URSS Bochevique par Lev Davinovitch Bronstein (Trotski) le même type qui a inventé la déportation !
Le mot « raciste » est la copie conforme de « blasphème » pour les bigots du système politique raie-publique.
La sanction est équivalente à celle des religions = excommunication, bannissement, discrédit !
Les mots « nazi et fasciste » équivalent en tous points aux accusations inquisitoriales de « possédé » ou « suppôt de satan »
Le mot homophobie a été inventé en 1965 par Georges Weinberg, psychologue et homosexuel militant.
Le chantage à l’homophobie est la copie conforme des nanas vulgaires qui, quand on ne veut pas d’elles, osent vous sortir « t’es PD » et vous faire une réputation en ce sens. ^^
C’est pour contrôler vos goûts personnels !
Tout cela est RELIGIEUX INTÉGRISTE et se doit d’être systématiquement traité comme tel avec renvoi d’accusations de bigoterie, d’intégroisme religieux, d’inquisition etc…
On notera que les plus grands obsédés de la race qui voient absolument tout par la race, culpabilité ou sainteté intergénérationnelle, sont dans une majorité ultra-écrasante 100% des gens de gauche !
Pour ces TOUS ces dégénérés gauchistes (tous y consentent), il suffit de dire « il y a assez d’immigrés en France on n’en veut pas plus » pour être traité de racistes et devoir se traîner une réputation communale de ‘ultra-raciste », car ces kapos font exactement comme leur a enseigné Trotski l’inventeur de la déportation !
Cela revient à dire à un homosexuel qui ne veut pas de rapport avec un inconnu « tu ne veut pas avoir de relation sexuelle avec-moi donc tu es homophobe ».
C’est juste du CHANTAGE de despotes de gauche !
Ces tarés sont capables de faire courir le bruit que vous êtes un ultra-raciste, limite un nazi, et toute la bande des dégénérés que vous n’avez pas revu depuis 30 ans, viendront un par un pour vous demander de vous justifier… de la même façon que des inquisiteurs viendraient exiger de vous de vous repentir.
Je l’ai vécu personnellement, cela à un âge où des connaissances (pas revues depuis le lycée !!!) âgés de près d’un demi-siècle, devraient avoir assez de neurones pour ne pas s’humilier à de pareilles bassesses, prétendre contrôler les opinions d’une personne dont ils ne savent pas plus que comment il était il y a plusieurs décennies.
Pis encore, ne devraient pas croire toutes les rumeurs venant d’inconnus parlant d’une personne qu’ils connaissent.
Mais bon, les intégristes religieux gauchistes sont ainsi, un soupçon de blasphème par « on dit » venant de tarés suffit à prononcer une excommunication envers des gens qu’ils connaissent….
LE RACISME DU DÉLIT D’OPINION PORTÉ PAR LES ÉGOTIQUES EST LE PIRE RACISME QUI SOIT AU MONDE « Tes opinions sont inadmissibles et moi je suis génial, j’ai tout bon tout le temps même si je suis l’éhritier idéologique des pires criminels contre l’humanité Hitler, Mussolini, Mao, Staline, Pol Pot, Ho CHi Mighn » etc…
Après on s’étonnera que je préfère me couper les joyeuses que me mettre en couple avec une femme de gauche ou fréquenter des gens de gauche : je déteste les inquisiteurs héritiers des pires criminels contre l’humanité de l’histoire.
Désolé pour les gauchistes, je ne fais pas de psychiatrie pour inquisiteurs(trices) sur mon temps libre, ni ne cède aux caprices d’inquisiteurs puérils et narcissiques qui se prennent pour des génies exemplaires. 😀
Devoir expliquer chaque subtilité de chaque mot de vocabulaire à des connaissances incultes, j’ai bien mieux à faire que perdre ma vie à cela.
(racisme = hiérarchisation des races… cela n’a rien à voir avec « je ne désire pas plus d’immigrés » )
Les gauchistes sont des tarés et des incultes, à moins que ce soit des gens qui sont viscéralement de mauvaise foi, bouffis d’égo et de narcissisme bien que majoritairement teubés !
PS ; Bisou à Melenchon, le fils de fonctionnaires coloniaux engagés volontaires, lui-même né dans la colonie Marocaine, donc colon de naissance ^^
Très bien amené, merci.