Le 15 mars à 9h, Guillaume Brun, lanceur d’alerte, est l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Un danger invisible pour la santé
Les ampoules LED ont envahi notre quotidien sous prétexte d’écologie et d’efficacité énergétique. Pourtant, derrière cet argument fallacieux se cache un danger sanitaire largement sous-estimé. Leur scintillement à haute fréquence, souvent imperceptible à l’œil nu, est détecté par le cerveau et peut provoquer des maux de tête, de la fatigue chronique et même des troubles neurologiques. On estime que 7 à 10 % de la population est particulièrement sensible à ce phénomène, avec des risques accrus pour les personnes épileptiques ou souffrant de migraines.
Les nourrissons et les jeunes enfants sont encore plus vulnérables. Exposés en permanence à cette lumière artificielle agressive, ils subissent une pollution lumineuse qui peut affecter leur développement neurologique. Certains chercheurs établissent même un lien entre l’exposition aux LED et une augmentation des cas de troubles du spectre autistique. Malgré ces alertes, les autorités persistent à imposer ces ampoules sous couvert de normes environnementales, ignorant les conséquences sanitaires dramatiques qu’elles engendrent.
Une influence alarmante sur le comportement
Au-delà des effets physiologiques, les LED ont un impact direct sur notre comportement et notre bien-être mental. La lumière bleue qu’elles émettent perturbe la production de mélatonine, hormone essentielle à la régulation du sommeil et des émotions. Privés d’un repos de qualité, de nombreux individus, notamment les jeunes, développent irritabilité, stress et agressivité accrue.
Des études récentes suggèrent même une corrélation entre l’éclairage LED omniprésent et l’augmentation des troubles de l’attention et de l’hyperactivité chez les enfants. Ce phénomène, loin d’être anodin, interroge sur les véritables motivations derrière cette transition énergétique forcée. Les écoles, les hôpitaux et les espaces publics sont désormais illuminés par ces ampoules toxiques, exposant la population à un stress lumineux permanent. Pourtant, aucune étude d’impact sérieuse n’a été menée avant leur déploiement massif.
Une catastrophe écologique déguisée
Les LED sont présentées comme une révolution écologique, mais la réalité est tout autre. Certes, elles consomment moins d’énergie que les ampoules traditionnelles, mais à quel prix ? Leur fabrication repose sur des terres rares et des métaux lourds, dont l’extraction est une catastrophe environnementale. De plus, leur recyclage est extrêmement complexe, générant des déchets toxiques en masse.
Mais l’impact le plus dévastateur se situe au niveau de la biodiversité. La lumière bleue intense des lampadaires LED perturbe profondément les écosystèmes nocturnes. Les insectes, attirés par ces sources lumineuses artificielles, sont désorientés et meurent en grand nombre, mettant en péril les chaînes alimentaires et la pollinisation. De nombreuses espèces animales, dont les oiseaux et les chauves-souris, voient leurs cycles biologiques perturbés, entraînant un effondrement progressif de la faune nocturne.
Une imposition industrielle aux motivations douteuses
Si ces ampoules sont si nocives pour la santé et l’environnement, pourquoi sont-elles devenues la norme ? La réponse réside dans les intérêts industriels et financiers colossaux qui entourent leur production. Contrairement aux anciennes ampoules à incandescence, les LED ont une durée de vie limitée et leur obsolescence programmée garantit un renouvellement constant du marché. Les grandes multinationales de l’éclairage tirent profit de cette dépendance forcée, au détriment du bien-être des populations.
Pire encore, la transition vers les LED s’inscrit dans un agenda plus large de contrôle énergétique. En équipant les villes de lampadaires connectés et en imposant des ampoules « intelligentes » dans les foyers, les autorités et les industriels renforcent la surveillance numérique sous prétexte d’efficacité énergétique. Derrière l’illusion du progrès se cache un système où chaque source lumineuse devient un outil potentiel de contrôle et de gestion à distance.

7 réponses
Cela fait 10 ans que je sais que les leds sont mauvaises pour les petits enfants.
Et j’ai protégé mes petits enfants.
Comment je l’ai su mystère…
Le public ne communique jamais avec un privé quand à son travail. Ils accueillent les infos mais ne parleront jamais de leur travail en cours.
Sans nier un possible impact sur la santé de ce type de lumière car je ne connais pas le sujet je trouve le lien un peu rapide… Autisme/autoimmunité et vaccination sont reconnus et skyzophrénie et stupéfiants aussi…
La pollution extérieure est grande et partout .. mais la pollution des cœurs est plus grande encore. Les humains sont déjà des robots ? L amour éclairerait le monde plus que tous ces discours éclairants (mais qui ne solutionnent rien du tout en realite puisqu on sait tout ca)
Constats inutiles en rezlite car personne n a prise dessus et plus il y a d émissions numériques plus il y a de pollution.
C’est mathématique. Fermons nos écrans et ouvrons nos cœurs.
La fraternité ? C’est gratuit et c’est pourquoi ce n’est pas intéressant.
Bonjour , c’est Annie qui vous écrit .
Est ce que le compteur linky agit aussi sur le comportement ?
Le Linky est un mouchard comme le portable ! qui dépossèdent de la pensée critique.
mly informative and well-written! »