Le 26 mars à 18h30, Sophie Audugé, Nicolas Stoquer, Jean-Luc Robert et Marc Daoud seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.
Sophie Audugé, déléguée générale de l’association SOS Éducation, est une figure engagée dans le débat sur l’éducation en France. Rejoignant l’association en mars 2019, elle coordonne l’équipe des permanents et participe activement à la promotion d’une éducation qui respecte les fondamentaux, tout en étant attentive aux défis contemporains du système éducatif.
Nicolas Stoquer est un géopolitologue et un expert en intelligence économique. Il est également patron d’émission à Radio Courtoisie, où il anime notamment Le libre journal de Géopolitique Profonde en partenariat avec notre média.
Jean-Luc Robert est psychologue et enseignant spécialisé dans le domaine des Troubles du Spectre Autistique depuis 2001. Il développe une méthode de guidance parentale à domicile : LezAPe (Les Ateliers Parents-enfants), afin d’aider les parents à apporter les meilleures réponses possibles aux troubles du comportement de leur enfant. Il a publié récemment L’enfant et ses désirs insatiables.
Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.
L’éducation sexuelle à l’école est un sujet de société qui soulève de nombreuses questions.
D’une part, il s’agit d’un programme visant à informer et à préparer les jeunes à une vie affective et sexuelle responsable. D’autre part, il est perçu par certains comme une intrusion de l’État dans un domaine privé et une promotion de l’idéologie LGBT.
L’éducation sexuelle en France a connu une évolution significative depuis son introduction dans les écoles en 1973. Initialement axée sur la reproduction et la prévention des maladies sexuellement transmissibles, elle s’est progressivement enrichie pour aborder des « questions de genre, d’égalité et de respect mutuel ». La loi de 2001 a rendu l’éducation sexuelle obligatoire, avec un minimum de trois séances annuelles, soulignant son importance dans la formation des jeunes citoyens.
Cependant, cette évolution n’a pas été exempte de controverses. L’intégration progressive de l’idéologie LGBT dans les programmes d’éducation sexuelle a suscité des débats houleux. Certains y voient une reconnaissance nécessaire de la diversité des orientations sexuelles et identités de genre, contribuant à une société plus inclusive et tolérante. D’autres craignent une influence prématurée sur les jeunes esprits et une dérive par rapport aux valeurs traditionnelles.
Le récent rapport du Conseil supérieur des programmes, publié le 5 mars dernier, propose un programme d’éducation sexuelle étendu, de la maternelle à la terminale, impliquant tout le corps enseignant. Ce programme a suscité un vif débat entre les associations familiales et les organisations de défense des droits LGBT.
Dans ce contexte, notre prochain entretien en direct abordera la complexité de ces enjeux. Nous explorerons les différentes perspectives sur l’éducation sexuelle à l’école, les motivations de l’État, et les implications pour les élèves et les familles. Nous discuterons également de la place de l’idéologie transgenre dans l’éducation et des fondamentaux scolaires, ainsi que de l’influence des lobbys au sein de l’école nationale.
Ne manquez pas ce rendez-vous, le 26 mars à 18h30, en direct sur GPTV.
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4 Responses
Passionnant ! Je souhaiterais savoir si le privé est tenu de dispenser cet enseignement.
Ils veulent tout simplement légaliser la pédophilie, puisque les milliardaires sont de plus en plus adeptes.
Si cette dame ne comprend pas ça, on ne pourra pas en sortir, car ces gens là sont très très puissants, avec l’appui de nos gouvernements dégénérés dans toute l’Europe. Il n’y a qu’à voir les clows dirigeants.
Désolé, Mme Audugé, l’homosexualité est une maladie.
Ha c est quand que les français vont comprendre qu il est vraiment l heure de se dresser devant ces folies ?