Le 16 octobre à 16h, nous demandons l’avis des Français sur la pertinence des notions de liberté, d’égalité et de fraternité que forme notre devise nationale sous la Ve République.
Liberté, égalité, fraternité : a-t-elle encore une valeur sous le régime de Macron ?
La devise « Liberté, Égalité, Fraternité » est profondément ancrée dans l’âme de la France depuis la Révolution de 1789, incarnant les aspirations d’un peuple en quête de justice et de cohésion.
Mais, plus de deux siècles après, face aux crises économiques, politiques et sociales actuelles, peut-on encore dire que ces idéaux guident notre République ? Ou sont-ils devenus des slogans vides de sens, battus en brèche par les réalités du monde moderne ?
L’égalité : un idéal bafoué par l’économie ?
Dans une France où les inégalités économiques ne cessent de se creuser, l’égalité est-elle encore un objectif atteignable ? Les récentes manifestations, comme celles qui ont suivi la mort de Nahel, ont mis en lumière un pays divisé, où la question de l’égalité de traitement se pose cruellement. Pourquoi certains doivent-ils toujours supporter les conséquences des dégradations, tandis que d’autres bénéficient d’aides sans contrepartie ?
La classe moyenne, qui perd progressivement son pouvoir d’achat, voit ses prestations sociales diminuer alors que des soins gratuits sont offerts aux immigrés. Le modèle d’égalité français est-il devenu un mirage, accentuant le fossé entre riches et pauvres ?
La liberté : menacée par la crise et la censure ?
Les libertés fondamentales, qui faisaient la fierté de la France, sont aujourd’hui mises à mal. La crise sanitaire a marqué un tournant, avec l’imposition de confinements, de restrictions de déplacement et d’obligations vaccinales qui ont sérieusement limité la liberté individuelle.
Mais au-delà de la crise, c’est aussi la liberté d’expression qui est sous pression. La montée des « fact-checkers », la censure des opinions dissidentes et la fermeture de médias comme RT France témoignent d’une dérive inquiétante. La liberté d’informer, de s’exprimer et de débattre est-elle encore garantie en France, ou sommes-nous en train de basculer vers un contrôle idéologique rampant ?
La fraternité : une illusion dans une société fragmentée ?
La fraternité est elle aussi en péril. Face aux divisions grandissantes entre les classes sociales, les générations, et même les territoires, la France semble s’éloigner de cet idéal d’unité.
Les tensions entre les « gagnants » et les « perdants » de la mondialisation, les débats houleux sur l’immigration et l’identité nationale, ainsi que la méfiance croissante à l’égard des institutions sont autant de signaux d’une fracture sociale profonde. Cette fraternité, qui jadis unissait le peuple français, n’est-elle plus qu’un souvenir nostalgique d’une époque révolue ?
Un renouveau nécessaire pour la république ?
Alors que les défis économiques, sociaux et politiques s’accumulent, il est légitime de se demander si la Ve République a encore sa place dans le cadre de la devise « Liberté, Égalité, Fraternité ». Les crises successives ont-elles définitivement érodé ces valeurs, ou est-il encore temps de les restaurer ?
Ce débat est crucial pour l’avenir de la France. Si vous croyez qu’un renouveau est possible, rejoignez-nous dans cette réflexion et explorez avec nous des solutions concrètes pour réinventer notre République.
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7 Responses
Il faut faire des émissions avec des gens qui se proposent de venir donner leur avis. Des volontaires de tous bords. Même des macroniens. Même des gens d’extrêmegauche ou d’extrêmedroite. Des frexiteurs ou des fous d’union européenne. Sur un thème différent chaque fois. Les candidats s’inscrivent sur une liste de gauche, de droite, du centre ou autre. Même anarchiste s’il y en a qui veulent s’exprimer. Le nombre de représentants dépendra donc du nombre de candidats à la participation . Pour un véritable débst qui peut-être bien entendu contrôlé par un, deux ou trois représentant de géopolitique profonde et d’autres groupes comme tocsin par exemple et pourquoi pas des personnes d’autres nationalités, parfaitement francophones, prêtes à diriger de tels débats de manière parfaitement impartiale, débats basés soit sur des questions posées par les auditeurs eux-mêmes au préalables à géopolitique profonde et visibles par tout le monde sur une page du site GP ou GPTV. Et aussi une question tirée au hasard par exemple par un auditeur lui-même tiré au hasard en direct. Inscription obligatoire bien entendu.
Aucun intérêt d’interroger quelques personnes sur des dizaines de millions, au hasard. Statistiquement, cela n’a aucune signification valable.
On ne demande pas l’avis de gens qui sont dans l’aliénation totale depuis des décennies et qui sont heureux de tisser la corde avec laquelle ils seront pendus !
Le troupeau de moutons perroquets ! Bien fait pour leur gueule !
les micro trottoirs c’est catastrophique… interviewer des gens qui ont trois neurones, c’est vraiment pas très utile et même ça dessert géopolitique et c’est déprimant pour les autres trop peu nombreux qui veulent renverser la table!
c’est l’émission merdique de géopolitique!
C’est révélateur du travail des « médias ».
Exactement ! Interroger au hasard deux pelés et trois tondus sur des dizaines de millions n’a aucun intérêt. Au plan statistique, non significatif !