MACRON SUPPRIME LA LIBERTÉ D’EXPRESSION : VOICI LA RÉACTION DES FRANÇAIS | GPTV INVESTIGATION

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Le 24 janvier à 16h, Mickaël vous donne rendez-vous pour un niveau micro-trottoir, en direct sur Géopolitique Profonde, sur un sujet brûlant : la liberté d’expression.

67 % des Français considèrent que la liberté d’expression est en péril. Derrière ce chiffre se cache une réalité préoccupante : entre le rôle des algorithmes, la censure accrue pendant la pandémie de Covid-19 et la montée d’une idéologie uniformisante en Europe, les perspectives se rétrécissent. Les réseaux sociaux, « à la fois poison et antidote », redessinent le paysage du débat public.

Algorithmes et enfermement idéologique : un danger invisible

Les algorithmes des plateformes comme X (anciennement Twitter) et TikTok façonnent notre vision du monde.
Ces systèmes, conçus pour maximiser l’engagement, enferment les utilisateurs dans des bulles idéologiques. Ils privilégient des contenus conformes aux opinions déjà exprimées, réduisant la confrontation à des perspectives divergentes. Ce phénomène limite l’accès à une pluralité d’idées, renforçant les convictions initiales et exacerbant les divisions.

Dans ce contexte, les opinions minoritaires ou dissidentes peinent à émerger, car elles ne génèrent pas suffisamment d’engagement pour être mises en avant. L’information se transforme alors en spectacle, au détriment de la réflexion critique. Cette dynamique contribue à un appauvrissement général du débat public, accentué par la censure ciblée des plateformes.

La censure pendant la pandémie : un précédent inquiétant

La gestion de la pandémie de Covid-19 a marqué un tournant dans la limitation de la liberté d’expression.
Les réseaux sociaux, sous la pression des gouvernements et des institutions internationales, ont supprimé des contenus jugés contraires à la « vérité officielle ». Les chercheurs proposant des analyses alternatives, les citoyens critiquant les confinements ou les vaccins, et même des médecins reconnus ont vu leurs voix étouffées. Ces suppressions massives de comptes n’ont pas seulement réduit la diversité des opinions, mais ont aussi semé la méfiance envers les institutions.

Cette période a montré que la censure peut être utilisée comme un outil politique, sous prétexte de « protéger la santé publique ». Avec le rachat de Twitter par Elon Musk, certaines de ces dérives ont été exposées, mais le problème persiste sur d’autres plateformes, où la modération reste opaque et souvent biaisée.

X et TikTok : ambivalence et liberté d’expression

Les réseaux sociaux jouent aujourd’hui un rôle ambivalent dans la société.
D’un côté, ils sont accusés d’alimenter la polarisation, la désinformation et l’enfermement idéologique. D’un autre, ils constituent des espaces où des idées alternatives, souvent marginalisées par les médias traditionnels, peuvent trouver une audience. Elon Musk, en transformant Twitter en X, a réaffirmé l’importance de la liberté d’expression, même au prix de controverses. TikTok, quant à lui, donne une voix à des générations plus jeunes, mais reste critiqué pour son algorithme opaque et son influence chinoise.

Ces plateformes ne sont ni entièrement nocives ni parfaitement vertueuses. Leur impact dépend de l’utilisation qu’en font les utilisateurs et des régulations qui les entourent. Toutefois, le rôle croissant des réseaux sociaux dans le façonnement des opinions souligne l’urgence de garantir un véritable pluralisme.

Médias européens : un bastion de l’idéologie gauchiste ?

Elon Musk a récemment décrit l’Europe comme un « bastion de la censure gauchiste », une affirmation qui trouve un écho auprès de nombreux observateurs critiques. Les médias européens, souvent perçus comme alignés sur des idéologies progressistes, tendent à marginaliser les opinions conservatrices ou populistes. Cette hostilité à la pluralité renforce le sentiment de méfiance des citoyens envers les médias traditionnels.

Cette situation se reflète également dans les actions des régulateurs comme l’Arcom en France, qui cible des chaînes comme C8 pour leur indépendance éditoriale. Ces attaques répétées contre les voix dissidentes démontrent une volonté de contrôler le discours public, en favorisant un récit unique souvent présenté comme incontestable.

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Une réponse

  1. Il y a longtemps que les Français sont privés de liberté d’ expression.
    et beaucoup d’ autres, ont été interdits de paroles sous la pression permanente de la Licra ,
    qui a multiplié les procès pour racisme, antisémitisme devant les juridictions maçonniques afin de les faire taire et de détruire leurs œuvres.
    Tout ce qui n’est pas licrasseux n’ a qu’un droit : se taire, disparaître .

    Le décret de la Grande Terreur de prairial a été promulgué sous Robespierre.
    Il appelait cela  » l ‘oppression de la liberté contre la tyrannie ».
    230 ans plus tard, rien n’a changé;
    même plus besoin de guillotine.

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