Le 6 décembre à 12h30, Mike Borowski expose comment Emmanuel Macron, obsédé par son maintien au pouvoir, sacrifie la souveraineté française et prépare une dérive autoritaire sans précédent face à une révolte imminente.
Macron défie la France depuis l’Arabie Saoudite
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Emmanuel Macron a déclaré depuis l’Arabie Saoudite qu’il « restera jusqu’à la dernière seconde » de son mandat, ignorant délibérément l’impasse politique dans laquelle il a plongé la France. Cette déclaration, formulée avec un ton provocateur, incarne l’arrogance et le mépris absolu d’un président totalement déconnecté de son peuple. Malgré une défiance généralisée, une absence de majorité parlementaire et l’incapacité de faire voter un budget autrement qu’en recourant à des manœuvres autoritaires comme le 49.3, Macron persiste à s’imposer. Son attitude méprise ouvertement les principes démocratiques, tout en exacerbant les fractures au sein de la société française.
Le choix de déclarer son entêtement depuis Riyad n’est pas anodin. En s’affichant aux côtés de Jack Lang, une figure éloignée des urgences sociales et politiques du moment, Macron cherche à détourner l’attention des crises nationales en cultivant des apparences symboliques sur la scène internationale. Ce déplacement met tout simplement en avant un président davantage préoccupé par des alliances opportunistes que par les attentes légitimes des Français, qui subissent de plein fouet une crise économique et sociale sans précédent. Obsédé par son maintien au pouvoir, il est prêt à sacrifier la stabilité du pays, quitte à précipiter la France dans le chaos.
La méthode Macron, du 49.3 à l’article 16
L’autoritarisme est au centre de la stratégie de Macron. Incapable de gouverner par des moyens démocratiques, le président se dirige vers l’activation de l’article 16 de la Constitution. Cet outil lui permettrait de concentrer tous les pouvoirs entre ses mains, contournant définitivement les contre-pouvoirs. Il n’y a plus de doute : Macron est prêt à transformer la France en un régime autoritaire où il pourra imposer ses décisions sans aucune limite.
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Cette option est en totale continuité avec la méthode Macron. Il a déjà imposé des réformes massivement rejetées, comme celle des retraites, en abusant du 49.3. L’activation de l’article 16 serait une escalade logique dans sa dérive autoritaire. Avec ce pouvoir exceptionnel, il réduirait le Parlement et les institutions démocratiques à un rôle purement décoratif. Ce scénario n’est pas une hypothèse, mais une réalité que Macron se prépare à concrétiser. En cas de révolte populaire, il pourrait aller encore plus loin et décréter la loi martiale pour réprimer brutalement toute contestation. La répression policière massive qu’il a orchestrée contre les Gilets jaunes ou les grévistes n’était qu’un avant-goût.
Macron agit avec le soutien actif des élites financières et internationales, qui le considèrent comme un instrument de leur agenda mondialiste. Son objectif est clair : préserver l’ordre global à tout prix, même au détriment de la souveraineté française. Les Français ne sont plus sa priorité. Les répressions violentes des mouvements sociaux ne sont qu’un prélude à ce qui attend le pays. Macron se dirige inexorablement vers un durcissement de son pouvoir, au risque de plonger la France dans une crise autoritaire sans précédent.
Une révolution est en marche
L’entêtement de Macron précipite la France vers une révolution inévitable. Les Français n’accepteront pas de subir jusqu’en 2027 un président qu’ils rejettent massivement. L’Histoire le prouve : lorsque les institutions deviennent impuissantes face à un pouvoir déconnecté, le peuple finit par imposer un changement radical. Aujourd’hui, tous les signaux montrent que la révolte est imminente.
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La crise économique qui étrangle les classes moyennes et populaires, l’inflation galopante et la paupérisation généralisée alimentent une colère profonde. Les Français ne supportent plus d’être gouvernés par un président représentant des élites mondialisées, loin de leurs préoccupations quotidiennes. Les mobilisations sociales, qu’il s’agisse des Gilets jaunes ou des grèves massives, ne sont que le début d’un mouvement beaucoup plus large. La contestation sortira bientôt des cadres institutionnels pour basculer dans l’action directe.
Macron le sait. Mais loin de chercher l’apaisement, il mise sur le chaos pour tenter de se repositionner en « sauveur ». Cette stratégie cynique, déjà utilisée par des dirigeants autoritaires dans le passé, repose sur une manipulation des crises. Elle est vouée à l’échec. Les Français ne se laisseront plus tromper. Ils sont prêts à tourner la page Macron, par tous les moyens nécessaires, y compris en provoquant son départ avant la fin de son mandat. La révolution n’est pas une hypothèse mais un processus déjà en marche.
