MACRON OSE TOUT : ON DÉCRYPTE SES « VŒUX » POUR 2025 ! | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Le 1 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer vous propose une analyse explosive des « vœux » de Jupiter, en direct sur Géopolitique Profonde.

Macron instrumentalise tout pour sauver son pouvoir

Emmanuel Macron est passé maître dans l’art de la récupération. À chaque crise, chaque événement national ou international, il s’approprie les symboles les plus forts pour alimenter sa machine à communication. Sa dernière production ? Un clip de campagne savamment monté, où il se met en scène comme le leader inébranlable de la France. Rien ne l’arrête : IVG, Débarquement, JO de Paris, Notre-Dame… tout est détourné pour servir son image. Même Brigitte Macron y figure, preuve que rien n’est laissé au hasard.

Cette opération de communication dépasse l’indécence. À l’heure où les Français font face à une inflation galopante, à une insécurité croissante et à une crise énergétique sans précédent, Macron préfère les artifices publicitaires aux réponses concrètes. Une stratégie qui révèle son mépris : entre lui et le peuple, il choisit les agences de communication.

Ni responsable, ni coupable : le mantra macronien

Depuis son accession à l’Élysée, Macron a fait de l’évitement une méthode de gouvernance. Lorsqu’il évoque les échecs de son quinquennat, il n’est jamais question de sa responsabilité. Dissolution de l’Assemblée ? « Je prends ma part », dit-il. Mais pour qui est le reste ? Les Français, évidemment. Si l’Assemblée est en crise, c’est, selon lui, parce que le peuple aurait « mal voté ». Un renversement pervers des responsabilités, où les électeurs deviennent les coupables.

Le plus inquiétant, c’est qu’il promet encore des miracles. Un référendum pour 2025 ? Des consultations populaires pour redonner la parole aux citoyens ? Personne n’est dupe : derrière ces belles annonces se cachent des factures pour des cabinets comme McKinsey, grassement rémunérés pour orchestrer ces pseudo-dialogues. Une farce démocratique où les Français sont invités à payer pour entendre des promesses vides voir liberticides.

L’Europe de Macron : de la paix à la guerre

Macron se présente comme le champion d’une Europe unie et pacifique. Mais les actes contredisent ses paroles. L’Europe qu’il défend aujourd’hui n’est plus celle de la paix, mais celle de la guerre. Sous prétexte de solidarité internationale, il engage la France dans des alliances militaires coûteuses et risque de précipiter le continent dans des conflits dont personne ne mesure les conséquences.

Il parle de choix « décisifs » pour l’avenir. Oui, ils le sont. Mais pas dans le sens où il le prétend. Ces choix nous rapprochent d’un point de non-retour, où la France perdrait à la fois sa souveraineté et sa stabilité. Pendant que Macron gagne du temps, la machine infernale continue de tourner : budgets militaires en hausse, désengagement social et économique, et un peuple toujours plus exsangue.

Une popularité incompréhensible

Face à cette accumulation de dérapages et de manipulations, une question persiste : qui peut encore soutenir Macron ? Ses taux d’approbation, bien que minoritaires, restent un mystère. Quels sont ces quelques pourcents de Français qui acceptent encore cette indignité ? Il faut croire qu’une partie du pays reste sous l’emprise de la mise en scène permanente orchestrée par l’Élysée.

Mais la majorité ne s’y trompe plus. Les grèves, les manifestations, le rejet croissant de ses discours sont autant de signes que la France en a assez de cette politique du mépris. Macron est un président isolé, qui ne survit que grâce à des artifices de communication et des alliances opaques.

Un avenir sous tension

Le futur que Macron prépare est inquiétant. Derrière ses grandes déclarations sur la consultation populaire et la solidarité européenne, c’est un scénario de chaos qui se dessine. Une France affaiblie économiquement, une Europe militarisée, et un président prêt à tout pour conserver son trône, même au prix de l’apocalypse. Préparons-nous : les années à venir seront décisives.

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3 commentaires
  1. Au point où nous en sommes, je pense que n’importe quel français est capable de le remplacer, à l’exception d’homme politique….

  2. Bonne année 2025, M. Stoquer. A partir de 25:45 vous établissez une distinction spécieuse entre la souveraineté nationale et la souveraineté populaire alors qu’il s’agit de la même chose dans une démocratie digne de ce nom. A l’instar du droitard Paul-Marie Couteaux que vous mentionnez, vous commettez cette erreur car la souveraineté populaire dont vous parlez est en réalité une souveraineté oligarchique qui s’appuie sur cet outil semi-démocratique qu’est le référendum. Il faut en effet savoir que tout référendum est un RIO (référendum d’initiative oligarchique) et que le RIO s’oppose à cet outil complètement démocratique qu’est le RIC (référendum d’initiative citoyenne). Quand le peuple est vraiment souverain la souveraineté populaire inclut évidemment la souveraineté nationale, mais ce n’est pas le cas lorsque l’oligarchie consulte de temps à autre le peuple au moyen de RIO. Dans ce cas de figure (la France d’aujourd’hui), ni la souveraineté nationale ni la souveraineté populaire n’existent. Seule existe la souveraineté oligarchique. Paul-Marie Couteaux n’est certainement pas un démocrate, contrairement à ce que vous laissez entendre. M. Stoquer, soyez cohérent avec vous-même : par vos propos vous prouvez quotidiennement que vous êtes du côté du peuple, mais vous continuez à cautionner la Constitution de la Cinquième République française, alors que cette Constitution oligarchique est responsable de la plupart des maux qui minent la France.

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