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“IL EST TEMPS D’EXPULSER TOUS LES CLANDESTINS SOUS OQTF” (MEURTRE PHILIPPINE) | GPTV ACTU

Le 29 septembre à 12h30, Mike Borowski revient sur le meurtre de Philippine et analyse comment le laxisme de l’État et l’instrumentalisation de la violence servent les intérêts des élites.

Une tragédie évitable

Le 20 septembre dernier, Philippine, une étudiante de 19 ans, disparaît mystérieusement à Paris. Le lendemain, son corps est retrouvé à moitié enterré dans le bois de Boulogne, marqué de traces de violence extrême. Ce drame aurait pu être évité, car l’auteur présumé, Taha O., un Marocain de 22 ans, n’aurait jamais dû se trouver en France. Condamné pour viol en 2021, il bénéficiait pourtant d’une libération anticipée en juin dernier, tout en étant sous le coup d’une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français).

L’administration française a, une fois de plus, démontré son incapacité à assurer la sécurité de ses citoyens. Plutôt que de procéder à l’expulsion du suspect après sa libération, les autorités l’ont laissé circuler librement, malgré son lourd passé criminel. Ce laxisme migratoire met en avant une gestion défaillante qui compromet directement la sécurité des Français, tout en affichant une prétendue volonté de protection.

La peur comme outil de contrôle

Le cas de Philippine n’est malheureusement qu’un exemple parmi tant d’autres. Cette montée de la violence et de l’insécurité ne semble pas être le fruit du hasard, mais plutôt une stratégie orchestrée par les élites. Derrière ces tragédies, se dessine une volonté de déstabilisation sociale qui sert à renforcer l’idée que l’État est le seul recours possible pour rétablir l’ordre. Cette manipulation fait partie intégrante du projet mondialiste connu sous le nom de Great Reset.

L’objectif ? Instaurer la peur pour mieux contrôler les populations et affaiblir les nations souveraines. L’insécurité folle n’est pas un phénomène isolé, mais bien une arme utilisée contre les Français pour les forcer à accepter des mesures de plus en plus restrictives.

Deux meurtres, deux réactions

Face à l’horreur du meurtre de Philippine, la réaction de la population reste étonnamment absente. Pourtant, il suffit de se rappeler la vague d’émeutes déclenchée par la mort de Nahel, ce jeune homme tué par un policier en juin dernier. Des milliers de personnes étaient descendues dans les rues, provoquant une explosion de violence dans tout le pays. Deux tragédies, mais des réactions diamétralement opposées. Lorsqu’un délinquant trouve la mort lors d’un contrôle, les foules s’enflamment et les médias relaient sans relâche l’indignation. En revanche, face au viol et au meurtre d’une jeune étudiante française, le silence est assourdissant.

Cette différence de traitement démontre clairement comment certains événements sont utilisés à des fins politiques. Antifas, militants gauchistes et autres groupes « progressistes » se mobilisent pour des causes qui servent leur agenda, mais choisissent de détourner le regard ou de minimiser les meurtres commis par des criminels étrangers. Leur rôle est clair : éviter toute révolte populaire qui risquerait de remettre en cause l’incompétence de l’État, tout en stigmatisant ceux qui osent exiger davantage de sécurité. Le résultat est une population désorientée et désabusée, contrainte à la résignation face à un climat de plus en plus dangereux.

Pour ne plus subir les conséquences d’un système qui échappe au contrôle des citoyens et qui mise sur le chaos, découvrez gratuitement notre Plan Anti-CBDC !

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