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UNE NOUVELLE ATTAQUE CIBLÉE CONTRE MUSK : LES POURSUITES DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE CONTRE SPACEX

Le procès intenté par l'administration Biden vise à obtenir "une considération équitable et des arriérés de salaire pour les asilés et les réfugiés".

Une nouvelle affaire politisée pour déstabiliser Elon Musk

Mercredi 23 août, Elon Musk a menacé de poursuivre des organisations financées par George Soros pour avoir faussement prétendu que les « incidents haineux » étaient en hausse, afin de justifier la censure.

Moins d’un jour plus tard,  le DOJ de Biden, a armé un dossier pour infliger à SpaceX une poursuite judiciaire au motif de ne pas avoir embauché de demandeurs d’asile et de réfugiés.

Elon Musk

Selon le procès qui se prépare depuis 2020, le ministère de la Justice a constaté que :

« SpaceX n’a pas pris en compte ou embauché équitablement les demandeurs d’asile et les réfugiés en raison de leur statut de citoyen et a imposé ce qui équivalait à une interdiction d’embauche indépendamment de leurs qualifications, en violation de la loi fédérale. »

C’est ce qu’a déclaré Kristen Clarke, assistante du procureur général de la division des droits civiques du ministère de la Justice.

SpaceX company USA Elon Musk

Selon la plainte :

« Les recruteurs et les hauts responsables de SpaceX ont pris des mesures qui ont activement découragé les demandeurs d’asile et les réfugiés de chercher du travail au sein de l’entreprise. »

Selon les données fournies par SpaceX, le ministère de la Justice a déclaré :

« Sur une période de près de quatre ans et sur plus de 10 000 embauches, la société n’a embauché qu’une seule personne qui était demandeur d’asile et identifiée comme telle dans son dossier de candidature. »

« Cette seule embauche a eu lieu environ quatre mois après que le ministère de la Justice a informé SpaceX de son enquête. »

« SpaceX n’a pas répondu immédiatement à la demande de commentaires de CNBC. La plainte a été déposée auprès de l’Executive Office for Immigration Review, une division du DOJ (Department Of Justice) chargée de statuer sur les affaires d’immigration. »

CNBC
spaceX

SpaceX et d’autres sociétés affirment depuis des années que leurs pratiques d’embauche sont dictées par la loi ITAR (International Traffic in Arms Regulation), qui régit l’exportation de technologies réglementées, telles que les pièces de fusées.

Une « exportation » est réputée avoir eu lieu si une technologie est divulguée à un étranger, même aux États-Unis.

Elon Musk a répondu le jeudi 24 août au soir en tweetant :

« SpaceX s’est vu dire à plusieurs reprises que l’embauche de toute personne n’étant pas un résident permanent des États-Unis violerait la loi internationale sur le trafic d’armes, ce qui constituerait une infraction criminelle. »

Ajoutant :

« Il s’agit là d’un autre cas de récupération du ministère de la Justice à des fins politiques. »

Traduction :
Donc, si je laisse un citoyen non américain voir notre matériel de fusée, je vais en prison pour ITAR, mais si je n’embauche pas un citoyen non américain, je suis poursuivi par le DoJ. J’ai compris ».
Le ministère de la « Justice » de Biden poursuit SpaceX d’Elon Musk pour avoir refusé d’embaucher des réfugiés et des demandeurs d’asile. Musk devrait changer son nom en Hunter Biden et contraindre des entités étrangères à s’enrichir pour que le DoJ l’ignore.
« Le procès allègue que, depuis au moins… » – Exactement. On a dit à SpaceX à plusieurs reprises qu’embaucher quelqu’un qui n’était pas un résident permanent des États-Unis violerait la loi internationale sur le trafic d’armes, ce qui constituerait une infraction pénale. Nous ne pouvions même pas embaucher de citoyens canadiens, bien que le Canada fasse partie de NORAD ! »

L’action en justice de l’administration Biden vise à obtenir une considération équitable et des arriérés de salaire pour les demandeurs d’asile et les réfugiés qui ont été dissuadés ou se sont vu refuser un emploi chez SpaceX en raison de la discrimination présumée, ainsi que des sanctions civiles et des changements de politique de la part de l’entreprise.

Le ministère de la Justice va-t-il poursuivre Northrop, Lockheed et Boeing pour la même raison ?

Traduction :
Au lieu de punir Elon Musk pour avoir embauché des citoyens américains plutôt que des non-citoyens, nous devrions le féliciter d’avoir fait passer notre peuple en premier. Tout ceci n’est en réalité que le fait de voyous démocrates du DoJ de Biden, qui sont furieux qu’Elon ait mis fin à la censure et ait apporté la liberté d’expression à X. »

Lire le procès ci-dessous

Plainte du DoJ contre SpaceX le 24 août.

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Source : ZeroHedge

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