Dimanche 19 mars à 19h, nous recevons Nicolas Faure et Toufis Beainy, en direct sur la chaîne Youtube !
Nicolas Faure est consultant et auteur, avec Toufic Beainy, de « Multinationales ou mafias » aux éditions Perspectives Libres.
Le but des auteurs de cet essai est de prouver les similitudes multiples qui existent entre le PDG d’une entreprise multinationale, tel que décrit par la presse économique et les œuvres audio-visuelles, et un parrain de la mafia, campé par Don Corleone et incarné dans la trilogie « Le Parrain » de Francis Ford Coppola.
Les essayistes, en pratiquant des allers-retours et des comparaisons en terme de concepts et d’idées entre ces deux personnages, notamment grâce à l’aide des sciences sociales, démontrent l’interaction entre ces deux types d’individus, lesquels appartiennent à deux mondes complètement différents et pourtant si semblables par certains aspects.
Mafias et Multinationales contre les peuples : Va-t-on vers une planète bananière ?
Quittez le contrôle des banques dès maintenant et protégez votre épargne :
2 Responses
Tous les trois vous avez réussi à me donner envie de lire ce livre.
Certaines données relèvent du bon sens « chantage à l’emploi envers nos politiques », les CA supérieurs aux PIB également, mais je suis certain d’apprendre quelque chose en lisant ce livre.
Il est évident que le chantage « too big to fail » doit cesser, de même que les multinationales qui plient tous les états avec la complicité ultra-active de la secte ONU qui elle devrait être rayée de la planète.
Nos corrompus vont nous déféquer des 15 minutes city obligatoires carcérales, des interdictions de déplacement (voiture électrique élitiste, taxe de la religion Co2 etc…).
Démanteler le reste de notre tissu local (agriculture/élevage) si ce n’est directement comme en Hollande, c’est par des normes phytosanitaires ultra-contraignantes que nous sommes les seuls au monde à nous imposer, de même que les quotas de pêche et autres mesures bolcheviques qu’on est les seuls à subir.
Pour au final, importer tous ces produits manquants de régions sans aucune réglementation phytosanitaire, et transporter ces denrées par porte-container ultrapolluant et à des années lumière du 15 minutes city.
On sait déjà que nous allons en baver (inflation, réglementations bolcheviques) mais nos pourris nous disent gouvertement que nous allons en baver dans le vide, pour rien, et de façon indéfinie.
Si nous laissions crever les banques zombies et les multinationales tout autant zombies, nous encaisserions des pertes et une grosse inflation mais nous saurions que cela sert à une issue d’assainissement, une salvatrice piqure pour une rémission.
Tout l’inverse de ce que nos crasseux de politichiens nous proposent .