Le 26 décembre à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un direct explosif au sujet des vitraux de Notre-Dame de Paris.
Une offensive idéologique déguisée en art contemporain
Les vitraux de Viollet-le-Duc, pourtant intacts et porteurs d’une charge historique unique, sont sacrifiés sur l’autel de la modernité. En lieu et place de ces chefs-d’œuvre, des créations issues de l’imaginaire de l’artiste inclusive Claire Tabouret prennent place. Artiste subventionnée, reconnue pour son militantisme progressiste et vivant à Los Angeles, Claire Tabouret est la parfaite incarnation de l’élite culturelle bobo. En transformant Notre-Dame, elle impose une vision idéologique qui n’a rien à voir avec l’identité chrétienne de la cathédrale.
Les œuvres de Claire Tabouret ne parlent pas de spiritualité chrétienne. Elles s’inspirent de thèmes centrés sur les migrants et de références occultes, en particulier le tarot Rider-Waite-Smith. Ce jeu, conçu par Pamela Colman-Smith, une occultiste du début du XXe siècle, est profondément ancré dans des pratiques mystiques étrangères au christianisme. Il ne célèbre pas la lumière divine, mais un univers ésotérique et symbolique, aux antipodes de ce que représente Notre-Dame.
Quand l’occultisme s’immisce dans un lieu sacré
Pamela Colman-Smith, référence majeure pour Claire Tabouret, n’est pas une artiste anodine. Associée à la Golden Dawn, une société secrète ésotérique britannique, elle a conçu un tarot qui s’éloigne de la tradition chrétienne européenne. Contrairement au tarot de Marseille, utilisé dans des contextes initiatiques et culturels, le Rider-Waite-Smith est un outil divinatoire explicitement lié à des rituels occultes.
Ce choix artistique constitue une agression culturelle et spirituelle. Les vitraux de Viollet-le-Duc étaient une fenêtre sur le sacré, sur la lumière divine telle que la concevait la tradition chrétienne. Leur remplacement par des œuvres imprégnées de mysticisme ésotérique fracture cette continuité et brouille le message spirituel du lieu.
En acceptant ces créations modernes, les décideurs tournent le dos à l’identité chrétienne de la cathédrale. Ils en font une plateforme pour des idées progressistes et déracinées, qui nient l’essence même de Notre-Dame en tant que monument de foi et de mémoire.
Un projet révélateur d’une stratégie globale
Claire Tabouret, subventionnée par des élites comme la fondation Pinault, est un outil parfait pour ce type d’opération. Elle vit et travaille à Los Angeles, temple du wokisme, où elle s’est spécialisée dans des œuvres centrées sur des thématiques militantes et mondialisées. En choisissant une artiste aussi éloignée des valeurs chrétiennes, les autorités derrière ce projet affichent clairement leurs intentions : faire de Notre-Dame un symbole d’universalité progressiste.
Ses références artistiques renvoient à un univers beaucoup plus sombre. Pamela Colman-Smith, par son association avec la Golden Dawn, ouvre une porte vers un imaginaire mystique qui a été récupéré à différentes époques par des mouvements ésotériques et politiques. Parmi eux, la Société de Thulé, connue pour avoir inspiré une partie des idéologies occultes du IIIe Reich.
Une banalisation inquiétante de l’occultisme
Si les liens entre la Golden Dawn et des groupes comme la Société de Thulé sont historiques, leur présence symbolique dans un lieu comme Notre-Dame pose un problème majeur. La Golden Dawn, fondée à la fin du XIXe siècle, prônait des pratiques ésotériques mêlant divination, alchimie et magie cérémonielle. Ces influences ont été reprises par des mouvements comme la Société de Thulé, qui a nourri les fondements mystiques de l’idéologie nazie. Ce mélange d’occultisme, de mysticisme et de pouvoir politique a conduit à des dérives extrêmes, rappelant à quel point ces symboles peuvent être dangereux lorsqu’ils sont mal employés.
Même si Claire Tabouret et ses commanditaires n’ont probablement pas conscience de toutes les ramifications de ces choix artistiques, le simple fait d’introduire des références occultes dans un lieu chrétien est une provocation. Cela montre une volonté délibérée de brouiller les frontières entre spiritualité et idéologie, entre foi et militantisme. En perdant ses vitraux d’origine, Notre-Dame perd une partie de son âme.
Une atteinte à l’identité française
Notre-Dame est un symbole de l’histoire de France, de ses racines chrétiennes et de son unité culturelle. En altérant ses éléments fondamentaux, comme ses vitraux on touche à ce que représente cet édifice pour des millions de Français et pour le monde entier.
Les décideurs de ce projet prennent un risque énorme. Ils trahissent l’esprit de la cathédrale, ils brisent un lien millénaire entre les pierres et la foi qu’elles incarnent.
2 Responses
Dans cette affaire, le plus coupable n’est pas le donneur d’ordre, Emmanuel Macron, mais les maîtres verriers qui installeront ces vitraux sataniques, car le donneur d’ordre ne fera que les mettre à l’épreuve. Or c’est seulement dans la mise à l’épreuve que l’on peut connaître la véritable valeur d’un être humain. C’est le leitmotiv des chefs-d’oeuvre de Joseph Conrad (1857-1924), grand romancier d’origine polonaise et d’expression anglaise. De même, les policiers et les gendarmes qui se rendent au domicile d’une maman protectrice pour lui arracher son enfant et le remettre ensuite entre les mains du père pédocriminel sont bien plus coupables que le capitaine de gendarmerie, le magistrat ou le commissaire de police qui leur a donné cet ordre monstrueux.
Sans religion aucune, pourtant j’ai un grand respect et une profonde admiration pour notre Dame de Paris et j’ai envie de balancer une grande claque dans la figure de cette Claire Tabouret à défaut de lui souhaiter l’enfer qui pourrait lui plaire.