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UN ÉTÉ 2024 DÉCISIF : ENTRE ORDO AB CHAO ET JEUX OLYMPIQUES

Macron jeux olympiques, ordo ab chaos Marc Gabriel Draghi

Emmanuel Macron est-il en train d’organiser le chaos en France pour imposer un nouvel ordre ?

Nombreux sont les analystes à avoir prédit que dès la proclamation des résultats des élections européennes 2024, une nouvelle ère politique allait débuter.

Pour certains, le projet de fédération européenne doit même s’officialiser dans les prochains jours puisque sur la scène européenne, c’est bien le PPE (Parti Populaire Européen) qui a gagné ces élections européennes et qu’il conserve donc l’intégralité du pouvoir.

Ainsi, à l’échelon continental, rien n’empêche Ursula von der Leyen (et les donneurs d’ordre cachés derrière elle) d’effectuer un bon en avant dans la fédéralisation du continent européen.

Mais pour ceux qui sont encore attachés à la politique nationale, il est vrai que le score de Jordan Bardella du dimanche 9 juin 2024, a considérablement marqué la scène politique française.

Le rassemblement national avec plus de 31% des suffrages exprimés a tout simplement réalisé plus du double de voix que la liste menée par la médiocre candidate de la majorité présidentielle (Ensemble, Renaissance, En Marche) Valérie Hayer.

Bardella qui avait fait de cette élection un référendum anti-Macron, a clairement réussi son coup.

D’ailleurs, autre fait notable, le rassemblement national est désormais implanté dans la quasi-totalité du territoire français.

Une défaite historique donc pour un parti de gouvernement, et qui n’a pas manqué de faire réagir le chef de l’État, puisque celui-ci a prononcé à la surprise générale, quelques minutes seulement après les résultats du scrutin, une dissolution de l’Assemblée nationale et donc la convocation de législatives anticipées.

Et il faut le dire, au soir du 9 juin c’est bien cette annonce de dissolution de l’Assemblée nationale qui a fait la une de l’actualité au lendemain de la victoire écrasante du RN.

Dissolution et grenade dégoupillée

« Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent ».

Emmanuel Macron, 14 juin 2024

Voici les paroles prononcées par le chef de l’État « en off », après avoir annoncé cette mesure surprise. Il faut le dire, personne ne s’y attendait même si depuis les élections législatives 2022 et l’obtention d’une majorité relative à la chambre basse, cela ne permettait plus à Emmanuel Macron, de mettre en œuvre correctement le programme de l’hyperclasse (pour ne pas dire les grandes orientations du Forum économique mondial).

Tout de suite, les analystes les plus complotistes ont vu en cette stratégie, une énième preuve que « tout est écrit » que Macron a un plan pour imposer à nouveau un pouvoir autoritaire comme lors de la crise sanitaire, tandis que d’autres (plus optimistes) ont vu en cette dissolution un simple constat d’échec de la part du président et donc un retour à la grande politique (c’est-à-dire celle qui suit la volonté et la destinée d’un peuple).

Vous vous doutez bien que la réalité se trouve certainement entre ces deux sentiments. Il est évidemment peu vraisemblable que Macron ait décidé, il y a plusieurs mois ou pires depuis plusieurs années, d’une dissolution dans ces conditions.

Par contre, il est indéniable que son bilan à la tête de la France est catastrophique, peu importe les éléments de langage de son ministre de l’économie, la France est en voie de liquidation pure et simple et ceux sur tous les plans (financiers, culturels, sociaux, sécuritaires, identitaires, etc.)

Il existe bien une réaction naturelle, instinctive du peuple français contre ce projet de mise à mort et que l’on soit d’accord ou non avec le Rassemblement National, le mouvement électoral de fond que l’on voit s’opérer depuis plusieurs années, démontre que les Français ont la volonté de ne pas se laisser mourir et résister en partie au grand déclassement.

Alors oui le Rassemblement National, grâce ou à cause de ses succès électoraux, s’est progressivement soumis intégralement au système (crise sanitaire, UE, Euro, OTAN, soutiens intégraux à l’Ukraine et à Israël …), mais ce mouvement reste néanmoins une entité qui suscite une certaine méfiance de la part de l’establishment.

La énième résurrection de l’arc républicain et le Nouveau Front Populaire, couplés au discours de fond de la maçonnerie et du haut patronat, sont de multiples exemples qui illustrent la persistance d’une certaine hostilité de l’État profond français envers le mouvement présidé par Marine Le Pen.

D’ailleurs, la constitution d’un Nouveau Front Populaire en référence à l’expérience désastreuse du Front Populaire de 1936 (qui s’était déjà constitué à la suite d’une prétendue menace fasciste) n’est pas anodine.

Il y a un symbole historique qui doit être pris en compte. En effet, le Front Populaire de Léon Blum et de Camille Chautemps (coalition politique de gauche des années trente) a conduit la France dans l’abime notamment à cause du caractère néfaste de l’abaissement de la production industrielle (surtout militaire), ce qui a ouvert la voie à la débâcle de 1940.

Ainsi, si un énième barrage au fascisme parvenait à mettre au pouvoir le Nouveau Front Populaire, il n’est pas du tout exclu que ces mêmes forces nous conduisent encore vers une grande Guerre.

En tout état de cause, peu importe les scénarios, Emmanuel Macron, a peut-être été inspiré par certains conseillers de l’ombre, à « lancer » cette grenade dégoupillée pour instaurer, à quelques semaines d’un événement mondial majeur sur le sol français (les Jeux olympiques), un chaos politique.

Mais alors, pour autant, va-t-il parvenir à remodeler un ordre au profit de l’hyperclasse ? Ou bien tout perdre dans les semaines qui viennent.

Il est vrai que le président a plusieurs fois utilisé et évoqué des symboles et expressions ésotériques (Bête de l’événement, Grande Bascule, etc.) pour autant l’Ordo ab Chao, bien connu en franc-maçonnerie, peut-il s’appliquer à la situation politique inédite que nous vivons actuellement ?

En principe dans la pensée maçonnique, cet « ordre dans le désordre » incite l’initié à trouver l’ordre dans le chaos apparent, qui peut être celui du monde, de la société ou de sa propre personne.

Rappelons le, cette devise est aussi intimement liée aux principes et enseignements de l’alchimie, ou le chaos correspond à la matière amalgamée (le plomb). Or cette matière contient en elle-même son principe ordonnateur : c’est-à-dire l’or alchimique qui se cache au fond des choses.

Ainsi, Macron, veut-il par cette dissolution, acter le Grand dévoilement du Monde d’Après au peuple français ? Et par la même occasion à l’Europe tout entière. Telle est la question…

Petite et grande politique

Car peu de temps, après l’annonce des résultats des élections, s’est déroulé un évènement majeur, qui a malheureusement été totalement occulté par les grands médias et la presse subventionnée.

En effet, le président français a quitté quelques jours, l’hexagone en campagne forcée, pour gagner le haut de la botte italienne et rencontrer les plus prestigieux chefs d’État du « monde libre » dans les pouilles, à l’occasion de la rencontre du G7.

Et là, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il existe une grande différence entre la petite politique politicienne (qui vise à construire une majorité parlementaire entre les querelles des Ciotti, Maréchal, Mélenchon, Glucksmann, sans oublier le retour de François Hollande) et la grande politique qui ancre les orientations stratégiques des grands pays du bloc occidental (Japon, États-Unis, Royaume-Uni, Canada, Allemagne, Italie).

Car il faut bien le dire, la véritable politique se fait réellement dans les grands hôtels, en petit comité et contre les peuples désormais et ceux depuis plus d’un siècle.

Concrètement, lors de ce G7 italien, sur l’ensemble des sujets, hormis peut-être la sacralisation de l’avortement ou Georgia Meloni et le pape François sont parvenus à obtenir un droit « souverain » à la réserve, l’ensemble des pays du G7 ont démontré leurs convergences sur la quasi-totalité des grandes thématiques géostratégiques du moment.

Ainsi, les grands dirigeants du « monde libre » ont avalisé :

  • le soutien à l’Ukraine pour 50 milliards de dollars supplémentaires (gagés sur le gel des avoirs russes)
  • le pacte sur la migration et donc le maintien du plan d’invasion migratoire du vieux continent.
  • le soutien à l’État d’Israël, mais une position de principe hypocrite pour la paix à Gaza.
  • la poursuite du programme de corruption des dirigeants et des États africains pour maintenir un chantage au développement
  • l’accélération de l’agenda vert à travers des investissements massifs pour satisfaire les critères et objectifs de développement durable, sécurité alimentaire et lutte contre le réchauffement climatique.
  • ou encore la coopération des gouvernements sur le développement et le contrôle de l’intelligence artificielle.

Le G7 a aussi été l’occasion pour Von der Leyen de s’assurer de sa réélection à la tête de la Commission européenne, en initiant une stratégie de séduction auprès de la très atlantiste Georgia Meloni.

A priori, pour ce qui est du poste de « grand leader de l’UE », Von der Leyen semble plutôt bien partie pour rester en poste, au détriment du candidat de La City donc de Macron qui aurait préféré traiter avec le grand eurocrate Mario Draghi.

Mais sauf surprise, cet « espoir » de voir l’ancien de Goldman Sachs à la tête de la commission s’est éloigné, à la suite des résultats des élections européennes où le PPE (avec von der Leyen comme patrone) a fait mieux que résister.

En effet, Von der Leyen, malgré le PfizerGate et les SMS, devrait bien être reconduite au poste de présidente de la Commission européenne, malgré les guerres intestines avec son rival italien et les différents appuis oligarchiques de ce dernier.

Polarisation politique et nouvel ordre

D’ailleurs, pour les observateurs avertis , il est clair que le G7 n’a servi qu’à une chose : rappeler les grandes orientations stratégiques du Forum économique mondial de janvier dernier.

Alors oui, entre temps, le professeur Klaus Schwab a annoncé sa mise en retrait du Forum après l’année prochaine. Mais il est clair que l’hyperclasse, malgré de forts ralentissements de son agenda, n’a pas du tout changé de projet.

L’agenda 2030 et ses objectifs sont là et sa mise en œuvre doit impérativement s’adapter aux aléas politiques et géostratégiques.

D’ailleurs, le Forum économique mondial dans son dernier rapport sur les principaux risques mondiaux de 2024 pointait déjà les tensions extrêmes et la polarisation politique et sociale des sociétés.

Évidemment, il n’est pas totalement absurde de penser que certaines analyses et rapports édités par l’une des entités les plus puissantes de l’Hyperclasse, soient en réalité des guides et des « manuels » de mise en œuvre du programme pour les grands exécutants, les fameuses parties prenantes des secteurs publics et privés (entreprises, gouvernements, ONG, etc.)

Car il est vrai que cette tendance à l’atomisation des sociétés n’est certainement pas née par elle-même et son mouvement est probablement guidé par des forces puissantes et qui se cachent dans l’obscurité.

Guerre civile ou grande purge ?

Et si cette polarisation extrême du spectre politique (ultra droite/ ultra gauche) n’était qu’un moyen pour réaliser une grande purge des opposants politiques (les vrais). Et si la guerre du tous contre tous ne se révélait pas aussi tragique que l’Histoire nous le promette.

Quand on examine cette nouvelle polarisation de la société politique française, on s’aperçoit encore une fois, comme pour la pandémie des années 2020-2021, que nous sommes tout simplement face à une immense mascarade.

Alors oui certes, le Nouveau Front Populaire, est qualifié de temps en temps du sulfureux anathème d’antisémite, mais personne n’est dupe, il fait intégralement partie du système. D’ailleurs, le soutien hypocrite à la Palestine de certains protagonistes de cette coalition de gauche ne résiste pas à l’examen des soutiens politiques de l’ombre de ce nouveau mouvement de fausse opposition.

Il est vrai que comme son glorieux ainé, le Nouveau Front Populaire peut également compter sur le soutien des banquiers d’affaires et notamment le célèbre banquier de Lazard Matthieu Pigasse. D’ailleurs le Nouveau Front Populaire a d’ores et déjà annoncé qu’il ferait élire les candidats macronistes, en cas de duels de ces derniers avec un candidat du Rassemblement National.

En réalité, il est très fort probable que cette polarisation politique extrême, que certains appellent déjà à faire évoluer en guerre civile, est déjà « sous contrôle » comme le fût en son temps « la grande pandémie » de 2020-2021 ou encore la Grande et Longue guerre débutée en 2022. Les menaces et le contrôle par la peur de la masse doivent encore perdurer par l’intermédiaire de la mise en scène de grand trouble politique.

Cette nouvelle ère de chamboulement semble bien être une énième opération psychologique visant à agiter le peuple pour encore lui imposer une solution politique fabriquée sur mesure par l’hyperclasse (fédéralisme européen – disparition des nations- contrôle sécuritaire).

L’occasion de fortes tensions politiques pourrait tout à fait servir à liquider les opposants gênants. D’ailleurs, on le voit tout de suite avec le cas de la dissolution du GUD, annoncée par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, contre toute attente, le potentiel futur premier ministre Jordan Bardella a annoncé qu’il soutenait ce genre d’initiative.

Il est clair que les signes de soumission à destination de l’hyperclasse de la part de ce parti dit patriote ne manquent pas en cette période de campagne électorale.

Bardella semble officiellement dire au système, que lui à Matignon, les grands principes de persécution du peuple autochtone et de fin de souveraineté nationale ne changeront pas. Ses sympathisants peuvent déjà craindre que le mouvement du Rassemblement national se « mélonise » très rapidement.

Mais pour le coup, même sans avoir Bardella et le RN à Matignon, la perspective d’une assemblée nationale élue avec 3 grands blocs (RN, NFP et Renaissance) et donc sans majorité claire est possible.

Et ce scénario sert également le système piloté par le golem de la finance Emmanuel Macron.

Car même si certaines rumeurs ont été démenties, Emmanuel Macron est très en retard sur le plan et les grands objectifs à réaliser d’ici 2030.

Il ne lui reste notamment que 3 ans pour imposer l’identité numérique, amorcer l’adoption de l’euro digital, ou encore initier les bases d’un crédit carbone.

Et ce qui est certain, c’est que la Grande Bascule promise à l’été 2022, n’a jamais eu lieu. Il est donc fondamental pour le pouvoir transnational dont il est le meilleur représentant, de durcir le contexte français en priorité (seule puissance nucléaire de l’UE et siège au conseil de sécurité de l’ONU). Il est donc impératif d’accélérer l’agenda, même si le Grand Récit est en panne, et de commencer à agir par l’intermédiaire de la France.

D’autant plus qu’à l’occasion des Jeux olympiques de Paris 2024 (grande messe mondialiste), il serait assez peu difficile pour le pouvoir de légitimer par un tour de vis sécuritaire, un nouveau paradigme politique.

Rappelons d’ailleurs, qu’il y a 6 ans, l’homologue germanique de Macron au G7, un certain Scholtz, à l’époque seulement vice-chancelier, avait officiellement émis l’idée de transférer le siège de sécurité de la France à l’Union européenne.

De même, ce printemps pluvieux a aussi été l’occasion pour Emmanuel Macron de répéter son mantra sur l’européanisation de la dissuasion nucléaire française.

L’opération dissolution, et le chaos global dans l’hexagone peuvent donc être les étincelles d’une entité politique nouvelle sur le territoire hexagonal. D’ailleurs, les épisodes de révoltes de banlieues en juin 2023, et les émeutes téléguidées en Nouvelle-Calédonie sont et vont servir d’expériences concrètes pour le pouvoir profond transnational.

N’oublions, pas que constitutionnellement, le président est tout à fait « libre » d’actionner l’article 16 sans autre formalité. Et l’usage conférant des pouvoirs exceptionnels (pleins pouvoirs de fait) doit seulement être évalué par le Conseil constitutionnel passés 60 jours.

Et Dieu sait, si l’on peut en faire des choses en seulement 2 mois…

Le contexte politique actuel pourrait donc conduire à une première utilisation de cet article depuis plus de six décennies, soulevant des questions sur la stabilité politique de la République et les implications démocratiques en France.

L’article rédigé par la volonté du général de Gaulle pour permettre le sauvetage et la survie de la France, pourrait-il condamner notre vieille patrie ?

Contrairement, à ce que disent les experts et juristes des grands médias, cette hypothèse n’est pas si absurde. L’article 16 pourrait être utilisé et mal utilisé par un ennemi de la patrie.

Tout simplement, car notre époque est alchimique, orwellienne et elle a perdu le sens des mots, du réel, de la justice et du droit.

L’article 16 qui stipule que :

« Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances ».

Utilisé par Emmanuel Macron, il peut donc tout à fait conduire la France dans la tombe.

Et même si après trente jours d’exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par les présidents des deux chambres, soixante députés ou soixante sénateurs, afin d’examiner si les conditions énoncées dans l’article sont toujours réunies. Le Conseil constitutionnel seul peut apprécier après 60 jours si l’usage de l’article 16 est toujours justifié, et cela ce n’est vraiment pas une bonne nouvelle…

N’oublions pas que le même Conseil constitutionnel a, il y a un peu plus de deux ans, validé et cautionné l’un des instruments les plus liberticides qui fut mis en place dans l’histoire de France, le pass sanitaire/vaccinal.

Les « sages » du Conseil Constitutionnel

D’ailleurs, Volodimir Zelensky, ce personnage toujours costumé en haut et en treillis kaki. Cet acteur raté, belliciste forcené, apparu à l’occasion de l’inauguration du narratif de Grande Guerre (étape 2 du Great Reset), pourrait être finalement le modèle du Young Global Leader Macron… et des gens qui se trouvent derrière lui…

À l’occasion d’un évènement grave ou d’un « Nous sommes en guerre » plus concret, il n’est pas impossible d’exclure le fait qu’Emmanuel Macron se maintienne, lui aussi, au pouvoir hors de tout cadre légal.

Rappelons le, Zelensky, soutenu, lui aussi par JPMorgan, BlackRock et McKinsey, se maintien actuellement en dehors de tout cadre institutionnel et il a tout simplement reporté les élections présidentielles (prévues en mars 2024) aux calendes grecques. Et pourquoi le mari de Brigitte (qui a les mêmes sponsors) et qui se voit à moyen et long terme en « Next Leader of Europe » ne prendrait pas des mesures similaires dans un contexte de « crise grave » ?

En ce début d’été 2024, une chose est sure, la tension politique va assurément encore monter et la période des JO pourrait bien être révélatrice pour notre avenir à tous…

Marc Gabriel Draghi

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2 Responses

  1. Bonjour. Quelque soit le responsable aux commandes de la France. Il sera obligé de suivre les directives de la haute finance, sinon la dette de la France sera attaquée donc la France sera coulée. Seule solution!! le défaut de paiement. mais la!!! il faudra serrer les fesses…..

  2. votre analyse est terrifiante pour la nation française mais réaliste , une question ;
    au vu des resultats en france , ne pensez vous pas , en raison de l absence d un bloc majoritaire que Macron sera obligé de demissionner , en effet le budjet et les lois ne seront pas voter et il subira de bombreuses motions de censure ? La presidente du RN ser alors elue?

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