PASSEPORT SANITAIRE : QUELS RISQUES POUR NOS LIBERTÉS ?

Liberté, surveillance et coronavirus

Alors que nous vivions dans le meilleur des mondes avant la crise du Covid-19, c’est désormais un univers Orwellien qui s’ouvre à nous.

Guerre est paix
Liberté est servitude
Ignorance est puissance

Ces mots raisonnent à présent et prennent leur sens dans notre époque troublée.
Depuis que la crise Covid-19 a émergé avec le pass sanitaire et, alors que nous devons désormais porter le masque partout où nous mettons les pieds, d’autres masques tombent.
Peu à peu, nous voyons les réelles intentions de ceux qui veulent nous museler, contrôler nos moindres faits et gestes, nous empêcher de circuler et même de respirer.

Société de surveillance et coronavirus


Le pass sanitaire arrive (ou certificat numérique Covid) avec son lot de restrictions encore à l’état embryonnaire et il semble déjà utopique d’imaginer pouvoir contourner le système en demandant à un médecin un peu trop humain de nous fournir un coup de tampon puisque celui-ci fonctionnera sur un principe de QR code qui pointera sur un test PCR appliqué et/ou de vaccin administré daté.

La prophétie imaginée par George Orwell dans 1984 semble devenir une réalité. Alors que l’ère du numérique arrive à un tournant déterminant et semble peu à peu gagner du terrain sur notre humanité, la soustraction risque de coûter cher à nos libertés fondamentales.

Ce certificat numérique s’inscrit donc dans une suite logique de la stratégie mise en place par l’oligarchie mondialiste. Celui-ci, disent-ils, vous permettra de vous déplacer plus facilement et vous évitera la mise en quarantaine lors de vos déplacements à l’étranger. Autrement dit, lorsque vous travaillez et que vous avez droit à 7 jours de RTT, il faudra vous faire à l’idée que sans pass sanitaire valide, vous pourrez toujours aller à Bali ou à Berlin, mais vous serez placé en quarantaine, enfermé et exclu des divertissements auxquels auront accès les citoyens modèles.

Le vaccin ne sera pas obligatoire, non, car impossible à mettre en place d’un point de vue législatif à cause de la discrimination que cela engendrerait. En tout cas pour l’instant. En revanche, le pass sanitaire est la solution parfaite à l’avènement de la première étape de la surveillance globalisée qui se profile devant nous.

Désormais entre les mains des laboratoires qui fourniront et analyseront les tests PCR, grassement subventionnés, on vous assure que vos données ne seront ni stockées ni utilisées pour alimenter le Big-Data.

Le parlement va donc voter sur la proposition de loi visant à l’instauration du pass sanitaire du 7 au 10 juin 2021. On peut déjà anticiper les résultats de ce vote qui fera entrer sans l’ombre d’un doute cette loi en vigueur.

Quelles sont les directives et préconisations pour la mise en place du Pass sanitaire ?

Les vaccins qui feront foi dans ce nouveau passeport sont les suivants :

  1. Pfizer-BioNtech
  2. Moderna
  3. AstraZeneca
  4. Janssen

Parmi ces laboratoires, 3 sur 4 ont été impliqués dans des scandales les condamnant à de lourdes amendes, de quoi faire douter sur leurs intentions premières. Quand le serment d’Hippocrate dit « primum non nocere » (en premier, ne pas nuire), certains laboratoires en appliquent un tout autre « primum accipio pecuniam » (en premier, recevoir de l’argent).

  • Pfizer : condamné à verser 2 milliards 730 millions de dollars entre de 2004 et 2009 pour fausses déclarations.
  • AstraZeneca : condamné à verser 875 millions de dollars entre 2003 et 2010 pour mauvaises prescriptions de médicaments et fausses déclarations.
  • Janssen (laboratoire Johnson & Johnson) : condamné à verser 2,2 milliards de dollars en 2013 pour fausses déclarations.
  • Seul Moderna (anciennement ModeRNA Thérapeutics jusqu’en 2018) semble éloigné de ces scandales, mais ce laboratoire existe seulement depuis 2010, alors rien n’est vraiment sûr tant ses pratiques semblent similaires à ses confrères.

Voici donc les laboratoires agréés par l’Union européenne pour la prise en charge de notre santé et dont nous serons les tributaires afin de pouvoir nous déplacer librement ou même respirer sans masques.

N’existe-t-il pas d’autres solutions pour enrayer cette épidémie ?

En prenant en compte que ces vaccins ne doivent leur existence qu’à une AMM conditionnelle (Autorisation de Mise sur le Marché) basée sur la non-existence de traitements efficaces, nul doute désormais au regard des études démontrant l’efficacité de certains traitements protocolaires tels que l’Hydroxychloroquine/Azithromycine ou encore l’Ivermectine, que les laboratoires qui fournissent les vaccins ont tout à perdre si de tels traitements s’avéraient être efficaces :  leur AMM conditionnelle deviendrait alors caduc et les vaccins par conséquent invendables.

Les experts aux conflits d’intérêts majeurs sont donc là pour réduire au silence via des études biaisées, à l’image de l’étude publiée dans le Lancet, les solutions apportées par ces traitements qui ont démontré leur efficacité dans de nombreuses études.

Les médias, à grand renfort de prises de paroles alarmistes par les néo-experts sur les plateaux TV, dans les journaux papiers et sur les réseaux sociaux se sont évertués depuis maintenant plus d’un an à propager la peur dans l’esprit des gens qui veulent désormais, pour les mêmes raisons qui reviennent à chaque fois qu’on leur pose la question, se faire vacciner.

Quelles sont ces raisons qui reviennent tant ?

Il y a 3 raisons qui reviennent quasiment à tous les coups :

La première, « je veux éviter d’attraper le virus ». Il s’agit de profils qui croient au moins un peu aux discours alarmistes. Il convient de leur rappeler qu’au regard des chiffres et des courbes, la vaccination n’empêche pas d’attraper le SARS-COV2, ni de le transmettre.

Mais c’est alors qu’on s’aperçoit que le discours des experts adoubés par les médias a eu son petit effet quand ils nous répondent qu’ils veulent éviter les « formes graves ». Un discours étonnant alors que nous sommes encore à l’heure des tests cliniques, les phases d’essais et filtres d’ordinaire en place avant l’autorisation de la mise sur le marché ayant étés sautés pour cause d’ « urgence ».

La deuxième raison, « je veux pouvoir voyager/partir en vacances cet été » semble bien plus grave. Il s’agit ici de profils qui sont prêts à être des cobayes en monnayant leur liberté. Il convient de rappeler à ces personnes avec sagesse que leur liberté n’a pas de prix. Et encore moins leur santé.

La troisième raison, « je veux protéger mon entourage/ma famille ». Encore une fois, le discours médiatique a fait son œuvre et la peur dans ce discours est palpable. La responsabilisation et la culpabilisation des personnes qui souffraient des mesures sanitaires restrictives et liberticides a eu raison d’elles. Il est pourtant démontré avec une simple analyse des courbes sur le site de données OurWorldInData, mais également de l’aveu (inévitable) des médias que la vaccination n’empêche pas la contamination et la transmission.

Vaccination et passeport sanitaire

À qui profite le crime ?

La motivation pécuniaire n’est donc plus à démontrer, mais une question beaucoup plus effrayante se pose alors à nous : est-elle la seule motivation qui pousse l’industrie pharmaceutique et les états profonds à de tels agissements, ou y a-t-il des intentions plus néfastes encore ?

Une chose est certaine. S’ils avaient voulu créer une vague de théories complotistes, ils ne s’y seraient pas mieux pris.

Jessy Balestibeau

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Sources :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7135139/

https://horizons-therapies.com/covid-19/ivermectine-et-covid-19/

https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_largest_pharmaceutical_settlements

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