Le 4 mars à 19h, Philippe Prévost, Jean Michel Vernochet et Patrick Pasin sont les invités de Mike Borowski en direct dans La Grande Émission sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Philippe Prévost, historien et essayiste, s’attache à démonter les manipulations historiques autour du catholicisme et de la République. Spécialiste des relations franco-canadiennes et des crises de l’Église, il analyse avec précision l’impact de la laïcité sur l’effacement des racines chrétiennes de la France. Dans Vraie et fausse laïcité, il dévoile comment ce principe a été détourné pour servir un projet idéologique hostile à la tradition catholique.
Jean-Michel Vernochet, journaliste et géopolitologue, est connu pour ses positions tranchées contre l’oligarchie mondialiste et son analyse rigoureuse des politiques européennes. Ancien grand reporter et auteur de nombreux ouvrages, dont “La France en flammes : des gilets jaunes à Notre-Dame de l’apocalypse”, il aborde des sujets complexes avec une lucidité déconcertante, mettant en lumière les enjeux cachés de l’intégration européenne et de la soumission aux forces extérieures.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

La laïcité, une arme républicaine contre le sacré
La laïcité républicaine ne se limite pas à une simple séparation entre l’Église et l’État. Elle est devenue un outil d’éradication du sacré dans l’espace public. Derrière son principe affiché de neutralité, elle impose une idéologie matérialiste, reléguant toute spiritualité à la sphère privée, voire à l’ombre du mépris social.
Cette transformation ne s’est pas faite par hasard. Depuis la Révolution française, la République a cherché à imposer une morale d’État, remplaçant les fondements chrétiens de la société par un rationalisme froid. Les lois de 1905, présentées comme un compromis, furent en réalité le début d’un processus d’éviction systématique du religieux. En interdisant toute influence du sacré dans la vie publique, la République s’est arrogé le droit de redéfinir elle-même les normes morales, créant une religion laïque qui ne dit pas son nom.
L’école fut l’un des premiers champs de bataille. L’éviction des prêtres et la suppression des enseignements religieux ne visaient pas la neutralité, mais bien l’imposition d’une nouvelle doctrine : celle de l’État comme seule source de vérité. Aujourd’hui encore, toute tentative de réintroduire un héritage chrétien dans l’éducation est immédiatement dénoncée comme une menace contre la sacro-sainte laïcité.
Une hostilité assumée contre le catholicisme
Si la République se voulait neutre, elle appliquerait son principe de laïcité à toutes les religions avec la même rigueur. Or, force est de constater que son acharnement se concentre essentiellement contre le catholicisme. Pendant que les églises se vident et que les fêtes chrétiennes disparaissent des calendriers, d’autres traditions religieuses bénéficient d’une tolérance bienveillante.
Cette asymétrie est un choix délibéré. Le catholicisme représente un modèle de valeurs structurantes, un socle moral qui échappe au contrôle de l’État. Il incarne une hiérarchie transcendante, une autorité spirituelle qui refuse de se soumettre aux dogmes républicains du progressisme et du relativisme. Contrairement aux autres religions, qui peuvent être utilisées pour renforcer le multiculturalisme et affaiblir l’unité nationale, le catholicisme porte une identité enracinée dans l’histoire de France.
La destruction du catholicisme passe par des attaques directes : fermeture des églises, interdiction des signes chrétiens dans l’espace public, et même la criminalisation de certaines positions doctrinales. Dans le même temps, la République promeut une culture de l’indifférenciation, où toute affirmation de la foi est perçue comme une forme d’extrémisme. La figure du catholique pratiquant est désormais assimilée à un réactionnaire, un ennemi du progrès, un obstacle à l’idéologie dominante.
L’inversion des valeurs et le vide spirituel
L’acharnement républicain contre la foi chrétienne a des conséquences profondes. En effaçant le catholicisme, la laïcité radicale ne laisse derrière elle qu’un vide spirituel, que l’État cherche à combler par une morale artificielle. Ce n’est plus Dieu qui dicte les principes éthiques, mais une série de lois changeantes, adaptées aux idéologies du moment.
Cette inversion des valeurs se traduit par la glorification du matérialisme, la déconstruction de la famille et la banalisation du nihilisme. Sans repères transcendants, l’individu est livré à lui-même, manipulé par la culture du divertissement et de la consommation de masse. Loin d’émanciper, cette laïcité impose une nouvelle soumission : celle aux diktats du marché et de la technocratie.
La République ne tolère qu’une seule spiritualité : celle qui se conforme à ses dogmes. Toute tentative de restauration d’un ordre chrétien est perçue comme une menace. Pourtant, les conséquences de cette déchristianisation sont visibles : montée de l’individualisme, effondrement des repères moraux, et atomisation du corps social. Une société sans Dieu est une société sans âme, vulnérable aux dérives totalitaires.

6 réponses
Laïcité : religion des francs-maçons luciférien ou association sectaire de laïusseurs veules à la bite molle.
Vive le Roi, à bas la Gueuse!
N aurait pas du mettre de cravate.
Mais c est marrant.
L’Ordre et le bon goût c’est le classicisme !
Est ce que ce media est là pour la liberté ou pour l argent ? C quoi la réelle finalité de ce site
La laïcité républicaine, la Révolution maçonnique, ont pour but de remplacer la chrétienté ( qui remonte à Théodose en 380) par la dictature de l’ Antéchrist , qui régira le monde depuis le Temple rebâti.
Bonjour. Devant la complexité de l’univers!!! Einstein disait: qu’il y a une intelligence supérieur qui a créé l’univers!! également il disait: dieu ne joue pas aux dés!!! LE HASARD n’existe pas!!! Essayer de tout comprendre dépasse notre entendement!!! Pauvres humains!!!