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REVUE GÉOPOLITIQUE PROFONDE DE MARS 2024 : L’ANNÉE DU BITCOIN, SMART CITIES, IDÉOLOGIES, MÉDECINE EN CRISE

Sommaire de la revue mensuelle de GP, mars 2024

Dans cet article, nous vous présentons un sommaire captivant, explorant quatre sujets essentiels qui façonnent notre réalité contemporaine.

De la géostratégie à la décentralisation, en passant par le mondialisme et la macro-économie, préparez-vous à une expérience de lecture enrichissante et qui vous permettra d’agir efficacement pour vous protéger du chaos à venir.

Géostratégie

Marc-Gabriel Draghi

Smart City et Great Reset : des villes pour nouscontrôler tous

« Depuis maintenant plusieurs années, nous pouvons constater le développement et l’exportation de technologies présentées comme indispensables à la sécurité et au bon fonctionnement des villes modernes.

La crise du COVID-19 et la proclamation du Great Reset au cours de l’année 2020 ont été l’occasion pour l’hyperclasse de promouvoir, encore plus agressivement, ces nouvelles technologies de traitement des données et de renforcer leur utilisation en milieu urbain.

Et malgré les échecs des mises en place d’un état d’urgence sanitaire permanent, avec la création du pass sanitaire et vaccinal, il existe cependant une tendance mondiale marquée concernant l’édification des smart cities, à travers le monde depuis l’année 2020.

D’ailleurs l’année 2024 qui commence, pourrait bien encore renforcer le rôle de ces villes intelligentes 3.0.

Vidéosurveillance, reconnaissance faciale, drones ou encore robots sont clairement au programme et composent une part importante de l’ensemble des agendas élaborés en haut lieu pour l’ensemble de ces grandes agglomérations hyperconnectées. »

Mondialisme

Jean-Maxime Corneille

« Subversion idéologique » : le rôle crucial des idéologies derrière le mondialisme

« …[suite du propos de la revue de janvier 2024 dans l’article “« Subversion idéologique » : le rôle crucial des idéologies derrière le mondialisme”]

Ainsi, survivance du sens historique initial (celui de Destutt de Tracy) : si nous parlons des « conceptions idéologiques » françaises, l’adjectif « idéologique » signifiera ici simplement « l’étude des idées », dans son vrai sens étymologique initial, dépassionné.

Mais si nous parlons au contraire de Bernard HenriLévy et de sa soi-disant « idéologie française » (essai de piètre valeur paru en 19811), alors le terme « idéologie » devra être compris dans ce sens moderne et déformé, qui devra être considéré comme péjoratif : dans le sens d’une déformation globale d’une ou plusieurs idées, avec une potentielle intention subversive quelque part dans l’équation.

En l’occurrence, une subversion antifrançaise caractérisée… »

Techno-Science

Laurent Ozon

La crise de la science médicale occidentale : La révolution occidentale de la pratique médicale

« Je le pansay, Dieu le guarist ».

– Ambroise Paré

« Généralement définie comme la « Science qui a pour objet l’étude, le traitement, la prévention des maladies ; art de mettre, de maintenir ou de rétablir un être vivant dans les meilleures conditions de santé », la médecine est selon Hérophile, « la science des choses qui sont bonnes pour la santé, qui lui nuisent ou qui sont indifférentes ».

C’est l’art de conserver la santé présente, dit Galien, et de rétablir celle qui est altérée (…). Le Littré la définit ainsi : « Art qui a pour but la conservation de la santé et la guérison des maladies, et qui repose sur la science des maladies ou pathologie. »

Macroéconomie

Andy Bussaglia

Cocktail explosif : les excès de dette combinée à l’exubérance des marchés actions

« Le déficit budgétaire américain est sur une pente glissante : les chiffres du dernier trimestre sont en hausse de l’ordre de 20 % par rapport à la même période l’année dernière.

La dette fédérale dépasse 34 000 milliards de dollars. La dette a augmenté de plus de 30 % par rapport au PIB en seulement deux ans.

Une dette plus élevée, avec des taux d’intérêts plus élevés ne font pas bon ménage. Les Etats-Unis (comme d’autres pays occidentaux) sont dans une trappe à dette. Ce qui signifie que chaque dollar de dette ne permet plus de créer au minimum un dollar de croissance – l’accélération de l’endettement se fait « par défaut » pour que le système continue à fonctionner – et par conséquent l’accumulation de dettes s’accélère car les coûts croissants de la dette se superposent aux déficits existants.

Ce n’est pas nouveau, mais les développements récents inquiètent tant le rythme de dérapage devient exponentiel. Il n’y a plus aucune discipline : on peut donc craindre le pire. Mais plus tard. »

Décentralisation

Philippe Herlin

2024, une bonne année pour le bitcoin ?

« Une atmosphère d’optimisme général règne pour le bitcoin, et ce pour deux raisons principales : l’acceptation des ETF par la SEC en janvier dernier et le halving qui interviendra en avril.

Bitcoin s’impose partout, seul ou à égalité, hormis sur la longévité bien sûr, mais c’est justement pour cette raison qu’il est encore bon marché aujourd’hui ! Prenons cela pour une opportunité. »

Franck Pengam

Nouveau bull run crypto en 2024 : mirage ou véritable explosion des prix à venir ?

« Une hausse de 163 % pour le prix du Bitcoin durant l’année 2023. L’intérêt croissant des institutionnels pour les actifs numériques.

Quelques ouvertures positives du côté de la réglementation et de la régulation. Voilà certains des ingrédients qui ont relancé les discussions autour d’un potentiel bull run à venir pour le secteur.

Cet anglicisme qui désigne une période de hausse rapide et agressive des prix des cryptomonnaies est à nouveau sur toutes les lèvres des acteurs de la crypto et revient dans les articles quotidiens de la presse mainstream et spécialisée.

Mais, qu’en est-il réellement ? »

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