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SAMUEL BANKMAN-FRIED, LE BERNIE MADOFF 2.0 : IDIOT(S) UTILE(S) ET CBDC

La faillite spectaculaire en seulement quelques jours, de FTX, l’une des plus grosses entités de l’écosystème crypto, et son vrai-faux sauvetage annoncé puis annulé par son rival et numéro 1 des plateformes Binance ont déstabilisé les investisseurs et les régulateurs du secteur.

Après le dégonflement de la bulle crypto, intervenu au premier semestre 2022 et les difficultés de firmes plus modestes, ce sont les acteurs les plus iconiques de la cryptosphère qui apparaissent à leurs tours vulnérables à la moindre attaque.

L’année 2022 aura vu les faillites de Three Arow, Celsius et maintenant c’est autour de BlockFi, Genesis ou encore de Gemini de révéler leurs Ponzi au grand jour.

Impacté par ces scandales financiers 2.0, le cours du Bitcoin est désormais au plus bas depuis les derniers mois de l’année 2020. Pour un actif qualifié d’anti-fragile par certains et d’or numérique par d’autres, il est intéressant de constater une certaine corrélation entre la volatilité de son cours et l’arrêt des politiques de surliquidités des banques centrales (au même titre que les marchés actions depuis le début de l’année 2022).

N’en déplaise aux pseudos experts, escrocs, et idiots de l’écosystème Cryptos, Bitcoin et Blockchain, personne parmi les grands spécialistes n’avait émis des doutes et/ ou d’interrogations sur FTX la plateforme numéro 2 mondiale, avant sa faillite.

Ce Ponzi 2.0 qui pourrait, résumer à lui seul, l’industrie de la crypto est en réalité révélateur de ce que la DeFi (Finance décentralisée), les exchanges- plateformes, et les grandes firmes de l’écosystème sont intrinsèquement dans cette phase ultime du Capitalisme financier (Great Reset) : en réalité des marchepieds pour les CBDC.

En cette période de Grand Récit Davosien, il n’est pas du tout impossible que l’effondrement de FTX et la reprise en main de la révolution technologique Blockchain, soit concrètement une volonté de l’establishment transnational. C’est en tout cas, ce que nous allons tenter de démontrer dans cet article.

Car l’absence de régulation, la concentration du capital et de l’activité par quelques entités, la consanguinité, mais aussi les multiples défauts/ faillites, ont déjà servi au cours de l’histoire, à imposer l’établissement d’une banque centrale pérenne aux États-Unis au début du 20ème siècle sur la célèbre île de Jekyll.

Les Bank Run, ruées financières en bon français qui frappent l’écosystème crypto actuellement rappellent étrangement le narratif que les banquiers privés étaient parvenus à imposer aux États-Unis, à la suite des expériences de « Free Banking » catastrophiques du milieu du XIXème siècle.

Ainsi, dès le début du XXème siècle, le Trust bancaire qu’on peut résumer à la personne de John Piermont Morgan avait réussi à corrompre et convaincre le monde politique d’installer une banque centrale indépendante aux États-Unis, notamment à cause de la panique bancaire américaine de 1907, provoquée par les banquiers et solutionner miraculeusement par JP Morgan.

Il est donc très probable que les mêmes ingrédients soient réutilisaient en ce moment, dans la fameuse finance du futur/ la finance 2.0/  le révolutionnaire univers crypto. Les mêmes entités qui concentrent depuis des décennies l’essentiel du Capital mondial souhaitent désormais nous imposer un outil supplémentaire de contrôle (structuré par l’intermédiaire de la Blockchain) les fameuses monnaies numériques de banques centrales (CBDC).

Pour schématiser cette intuition, on pourrait avancer les arguments suivants:

Le système actuel/traditionnel qui est celui des banques centrales indépendantes au service des marchés qui impriment de la monnaie fiat ex nihilo, peut s’apparenter à la thèse.

L’écosystème crypto, à commencer par le Bitcoin et la DeFi qui se disent décentralisés, mais aussi les exchanges (plateformes centralisées comme Binance) etc. sont l’antithèse, c’est-à-dire la solution proposée depuis 2008-2011 (naissance du Bitcoin et du mouvement Occupy Wall Street).

Tandis que les CBDC (monnaies numériques de banques centrales) qui veulent nous être imposées dans les prochains mois sont, comme en témoigne l’activité de toutes les banques centrales dans le monde, la synthèse.

En effet, nos élites contrôlant le narratif, semblent tout à fait confiante dans cette pseudo guerre de « concurrence des monnaies » que certains geek et banquiers centraux nous vendent depuis plusieurs années (2012).

La déroute de FTX, valorisée à plus de 32 milliards d’euros il y a seulement quelques mois, et la personnalité de Sam Bankman-Fried posent d’ailleurs des interrogations sur la véritable nature de cette faillite spectaculaire dans le Grand Récit Davosien.

La chute de FTX, rappelons-le, deuxième plus grande plateforme de cryptomonnaies au monde, et l’ouverture d’une procédure de sauvegarde aux États-Unis arrivent à un moment ou les banques centrales accélèrent très concrètement le développement des CBDC.

La réunion du Louvre le 27 septembre 2022, réunissant la Réserve Fédérale, la BCE ou encore la BRI, nous a livré quelques tendances sur l’actualité financière des prochains mois à venir.

La Réserve Fédérale américaine, qui était encore, très récemment, soi-disant en réflexion à propos de son dollar digital, a officiellement lancé la phase de test, quelques jours seulement après le scandale FTX (le 16 novembre 2022).

En effet, durant douze semaines, la Fed de New York va maintenant « explorer la faisabilité d’un réseau interopérable de monnaie numérique ». La banque centrale a été chargée par l’administration Biden d’étudier les étapes pour cette mise en place de manière rapide.

En Europe, la Commission européenne d’Ursula von der Leyen a de son côté, promis un cadre législatif d’ici juin 2023 pour l’euro numérique, il y a quelques jours (7 novembre 2022).

Mais pour en revenir au sujet de l’article, c’est-à-dire à la firme FTX de Sam Bankman-Fried. Il est indiqué dans sa demande de procédure de sauvegarde, que les actifs de la société représentent entre 10 et 50 milliards de dollars et que son passif se situe dans la même fourchette et qu’il compte près d’1 millions de créanciers.

Ces chiffres sont donc colossaux, car nous ne sommes encore qu’au début de l’affaire et elle est loin d’avoir livré tous ses secrets.

Pour rappel, notre bon vieux Bernie Madoff avait porté le record de pertes financières, à 65 milliards de dollars en 2008, ce qui représente encore la plus grande escroquerie financière officielle de l’histoire.

Mais dans ce contexte de récession officielle, d’inflation galopante et en définitive de Grande Dépression 2.0, il n’est donc pas impossible que le scandale FTX éclabousse encore pendant plusieurs mois d’autres entités du monde de la crypto, mais surtout des investisseurs de la finance traditionnelle, qui sont très impliqués dans l’écosystème cryptos mais aussi en parallèle dans l’économie mondiale.

Même si la présence de BlackRock est devenue « monnaie courante » dans la plupart des actionnariats des grandes firmes mondiales, la position de la firme de Larry Fink comme l’un des très gros investisseurs de FTX, a encore une fois de quoi surprendre.

Par leurs partenaires et activités communes notamment au WEF, Fink et Bankman-Fried se connaissaient et ont échangé de nombreuses fois sur la construction du monde de la finance de demain. Mais retrouver l’ombre du Rocher Noir dans chaque évènement de la Grande Réinitialisation (surtout dans l’univers crypto) suscite encore une fois des interrogations.

La genèse de l’affaire FTX

Ainsi, tout a commencé par un article de presse publié au début novembre sur Coindesk.

Le média spécialisé dans la crypto, a indiqué qu’un fonds créé par « SBF », Alameda Research, était potentiellement composé à 40 % d’une cryptomonnaie émise par la plateforme FTX, le FTX Token (FTT). Cette information a immédiatement fait plonger la plateforme d’échanges :

« FTT est un jeton qui peut être émis sans contrepartie, et SBF contrôle les deux compagnies. Vous parlez d’un conflit d’intérêts… », s’est scandalisé Dan Ashmore, analyste chez Invezz.

Le FTT est donc le token (jeton) de FTX. Jusqu’ici rien d’anormal, sauf qu’il est toujours intéressant de noter que ce jeton FTT provient de la blockchain Ethereum, très liée au Forum économique mondial…

Pour ceux que ça intéresse et pour ne pas trop digresser sur le sujet, il est intéressant de se pencher sur l’opération The Merge (transition de la preuve de travail à la preuve d’enjeu sur la Blockchain ETH) et la personnalité d’Aya Miyaguchi, pour comprendre le rôle de la DeFi et de la technologie Blockchain dans la construction de notre Monde d’Après.

Ainsi pour revenir à FTX, 350 millions d’unités de jetons FTT sont donc en circulation. La moitié avait été « pré-minée » au profit de FTX initialement. Ensuite l’autre moitié (175 millions) fut vendue pour 1 dollar pièce aux utilisateurs de FTX.

Les tokens FTT servent donc à payer des frais de transaction. L’intérêt pour leurs détenteurs est que FTX détruit un tiers des FTT qu’il collecte en frais de transaction. Ainsi, le FTT devait théoriquement s’apprécier avec le temps…

Mais cette promesse numérique, n’était évidemment qu’une pseudo théorie mathématique et numérique pour geeks crédules.

Car malheureusement les 175 millions de FTT de FTX sont finalement arrivés sur le marché crypto le 28 septembre 2022 (il était impossible de les dépenser pendant trois ans).

Un mois plus tard, Alameda, la fameuse société d’investissement de SBF, s’est donc retrouvée sous le feu des projecteurs suite à la fuite de son bilan.

Comme on l’a indiqué plus haut, CoinDesk a donc révélé que 3,7 milliards de dollars sur 14,6 milliards de dollars d’actifs d’Alameda étaient des tokens FTT tout juste débloqués.

FTX a donc octroyé un prêt de plusieurs millions de FTT au fonds d’investissement de SBF qui avait, lui, un déficit de plusieurs milliards de dollars dans son bilan d’après les révélations postérieures.

Ensuite la très charismatique Caroline Ellison, fille de deux professeurs d’économie du MIT, devenue la CEO d’Alameda, est entrée en scène mais elle n’est pas parvenue à rassurer le CEO de Binance.

Binance, qui elle aussi fera bientôt faillite (un pronostic gratuit) et plus précisément son dirigeant CZ ont annoncé vendre les 23 millions de FTT de la plateforme pour limiter les pertes et ne pas subir l’intégralité de l’effet Ponzi, « comme avec LUNA » quelques mois plus tôt

Le numéro 1 des plateformes Binance avait investi dans les actions de FTX dès son lancement, néanmoins la firme de CZ avait décidé de tout vendre le 20 juillet 2021 et s’était fait payer en FTT.

FTX s’est donc retrouvé ensuite submergée de retraits et s’est enfoncée dans une crise de liquidité. Et finalement de solvabilité. Le monde de la crypto ressemble décidément assez bien à la finance traditionnelle…

Après ses révélations, Sam Bankman-Fried a présenté ses excuses sur Twitter en annonçant qu’il cherchait à lever des fonds pour « être en règle avec les utilisateurs ».

FTX a donc essayé pendant plusieurs jours de recueillir de nouveaux capitaux pour tenter de se relancer mais ses difficultés n’ont fait qu’amplifier le mouvement de « Bank Run » c’est-à-dire de retraits massifs des dépôts par ses clients, évalués à six milliards de dollars en l’espace de trois jours.

Le Financial Times a indiqué que FTX international ne détenait que 900 millions de dollars d’actifs liquides face à un passif de 9 milliards de dollars.

Puis le média spécialisé ZeroHedge s’est procuré le bilan que FTX a communiqué pour trouver d’éventuels repreneurs (repris et validé par le media Bloomberg).

On découvre dans celui-ci, que la moitié des actifs liquides de FTX se composait d’actions Robinhood (472 millions $).

Le bilan de FTX contenait également l’équivalent de 981 millions de dollars en Solana et 543 millions en FTT qui ne valent désormais plus rien…

Mais vous l’avez compris le scandale financier ne s’arrête pas à FTX, l’autre firme de Bankman-Fried, Alameda Research, la société de courtage et d’investissement, fait elle aussi l’objet d’une procédure de placement sous la protection de la loi américaine sur les faillites.

Alameda est en réalité la cause première des problèmes financiers de FTX, car ses dettes envers l’ancien numéro 2 des exchanges crypto, sont estimées à plus de 10 milliards de dollars.

L’abandon du projet de reprise de FTX par la société chinoise Binance, a obligé la plate-forme à se mettre en urgence en quête d’investisseurs ou de concurrents susceptibles de lui apporter environ 9 à 10 milliards de dollars de capitaux frais.

FTX et Alameda se sont donc déclarées en faillites, tandis que la fortune de Sam Bankman-Fried, estimée par Forbes à environ 17 milliards de dollars il y a seulement deux mois, a été réduite de 94% en quelques heures.

FTX a  dans l’urgence communiqué sur le fait que John J. Ray III, « resterait pour aider à une transition dans les règles », pour pallier à la démission de SBF.

Et même si à notre époque, poser la simple question « Qui » peut s’apparenter à un « crime de pensée », il est tout de même intéressant de s’interroger sur le parcours et le profil de ce Sam Bankman-Fried, que les médias surnomment SBF.

Qui est Bankman-Fried ?

Alors qui est ce SBF, littéralement cet « homme de la banque frit » si l’on se plait à traduire ce nom en français ?

Comment ce Bernie Madoff 2.0 est-il parvenu à réaliser la plus gigantesque pyramide de Ponzi, sans qu’aucun expert et spécialiste crypto ne tire la sonnette d’alarme ?

Comment dans un univers réputé, comme une alternative crédible et future au système financier traditionnel, un tel escroc a-t-il pu prospérer ?

Pour répondre d’emblée à cette question, on peut simplement dire que derrière les grands acteurs de l’écosystème crypto, n’en déplaise aux geeks libertaires et aux cypherpunk qui idolâtrent la technologie Blockchain et surtout le Bitcoin, se trouve les mêmes puissances de corruption et spoliation qui tiennent le système financier international.

Derrière le célèbre et hypocrite « Not your key, not yours coins », on s’aperçoit que la cruelle réalité, de ce monde de la finance 2.0 est totalement opposée au discours libertarien de façade.

Sam l’ex génie de la crypto né en 1992, est donc issu d’une famille juive américaine, ses parents Barbara Fried et Joseph Bankman, sont tous les deux d’éminents universitaires à Stanford, prestigieuse école de droit.

D’un point du vue familial, il est intéressant de noter que Sam est également le neveu d’une certaine Linda P. Fried, directrice de la Columbia University Mailman School of Public Health. Celle-ci est donc également une brillante universitaire et épidémiologiste de profession. Elle est membre du World Economic Forum et participe au « Council on the Future of Human Enhancement ».

Ce « bureau » du Forum économique mondial traite de l’amélioration des capacités intellectuelles et physiques grâce à la manipulation génétique, les nanotechnologies et l’intelligence artificielle pour lutter contre le vieillissement de la personne humaine…

Ces travaux comme ceux de Miss Linda P.Fried peuvent être très concrètement rangés dans le secteur « transhumanisme » dans les contributions à l’Agenda élaboré par le WEF.

Il n’est pas donc pas vraiment surprenant de constater que FTX était un partenaire privilégié du World Économique Forum, jusqu’au lendemain de son effondrement.

SBF par son environnement familial « d’élite », est pour ainsi dire loin d’être défavorisé. Il a même eu accès aux milieux les plus prestigieux, très jeune. On est donc loin de l’image d’adolescent geek attardé et self made man 2.0 que SBF véhiculait à travers ses interventions médiatiques.

Bien au contraire, à la fin de son cursus scolaire, le jeune Sam a donc intégré l’école d’ingénieurs du MIT.  Ensuite, devenu, ingénieur il s’est orienté vers une carrière de « trader » en rejoignant Jane Street Capital.

Ce n’est que quelques mois après son départ de l’entreprise de trading qu’il va créer la société d’investissement Alameda, nommée plus haut.

Par sa position d’arbitre, Alameda tire en réalité profit des prix du bitcoin entre les États-Unis, la Corée et le Japon. Ainsi Sam qui possède 90 % d’Alameda, commence à  engranger plusieurs millions de dollars.

Enfin, il lance rapidement la plateforme FTX (Fu-Tures eXchange) dans le paradis fiscal caribéen d’Antigua-et-Barbuda en avril 2019. Trois ans plus tard, grâce à l’aide de gros investisseurs et une campagne médiatique agressive, FTX pèse déjà 32 milliards de dollars et compte plus d’un million d’utilisateurs.

Ce succès impressionnant s’accompagne d’une notoriété importante pour SBF qui joue de son image de No Life- Geek-Philanthrope.

SBF bien aidé par ces campagnes publicitaires impressionnantes et « poussé » médiatiquement, a su manipuler de grands noms et l’opinion publique de la crypto, en se façonnant une image d’altruiste.

L’État Profond derrière SBF ?

Sans en rajouter sur notre position qui consiste à  dire que le monde de la crypto est sous contrôle total du système depuis le début (révolution technologique conçue par l’ectoplasme nippon), il est tout de même intéressant de constater le plus objectivement du monde que l’industrie de la crypto (malgré elle peut-être) est en train d’être récupérée complètement par ceux, contre qui elle prétend combattre.

Le cas SBF est symbolique, car il est l’un des plus grands donateurs (près de 40 millions) pour la campagne présidentielle démocrate de 2020 et il est un fervent partisan du président Joe Biden.

Rappelons que dès la mi-mars 2022, FTX était à l’initiative de l' »Aid for Ukraine ». En effet, le gouvernement ukrainien de Zelensky avait lancé ce site internet en partenariat avec les exchanges FTX et Everstake dans le but d’acheminer vers la Banque Nationale ukrainienne les bitcoins et autres monnaies virtuelles levés pour soutenir l’Ukraine face à l’invasion russe.

Au final ce blanchiment d’argent au profit de la mafia qui dirige Kiev devait servir à soutenir les troupes ainsi que les civils « ayant cruellement besoin d’aide humanitaire », selon un communiqué.

Les détenteurs de cryptos pro-Ukraine pouvaient faire des dons dans 10 cryptomonnaies, dont le bitcoin mais aussi l’ether, ou le dogecoin. Plusieurs dizaines de millions de dollars ont ainsi été récupérés depuis le début du conflit.

La plateforme FTX s’était engagée à convertir les fonds en dollars et à les acheminer vers la Banque Nationale d’Ukraine.

Depuis quelques jours, des doutes et des interrogations légitimes se font entendre pour questionner le rôle de l’administration Biden, des démocrates et leurs liaisons avec FTX, dans cette vaste opération de blanchiment d’argent via les cryptomonnaies.

On peut le constater, dans le secteur des cryptomonnaies, Sam Bankman-Fried était par conséquent un interlocuteur privilégié des autorités américaines…

Il n’y pas besoin d’être expert en géopolitique pour comprendre que les démocrates qui représentent depuis plusieurs décennies, un pouvoir fédéral fort et dans la culture populaire, la corruption ultime en matière politique, sont très éloignés de la mentalité libertarienne dont se réclame l’écosystème crypto.

Rappelons quand même que SBF a dépensé plusieurs dizaines de millions de dollars dans des campagnes de lobbying à destination des politiques de réglementation de la crypto au Congrès américain.

Évidemment les pro-Bitcoin vous diront que SBF et le WEF ne doivent surtout pas être assimilés au « Bitcoin » car ils l’attaquent d’une certaine manière, quand SBF reprend l’argument du WEF en expliquant dans un article de mai 2022 dans le Financial Times que le bitcoin n’a « aucun avenir en tant que moyen de paiement », contrairement à la Proof-of-Stake.

Mais en réalité, le Bitcoin est lié à la crypto dans le narratif qui est proposé aux populations. Il est accépté par l’hyperclasse qui ne voit aucun inconvénient à traiter avec cet « or numérique ». Les documents de travail du Digital Currancy Governance Consoritum et son fameux White Paper en témoigne.

Le WEF et le Capitalisme financier apatride ne craignent pas du tout le Bitcoin, à l’inverse de l’or et de l’argent physique qui seraient détenus en masse par les populations.

Après l’effondrement total du monde de la crypto et la reprise en main complète des technologies développées par la DeFi, il est même hautement probable que le Bitcoin cohabite avec les CBDC pendant un certain temps.

Bitcoin après la gigantesque déflagration crypto amorcée en 2022, pourrait donc bien être le seul crypto actif qui résiste et coexiste avec les CBDC.

D’ailleurs des mineurs et des bitcoiners expriment déjà leur allégeance à certaine CBDC (notamment le Yuan numérique) en indiquant que les CBDC seront toujours plus fiables que les stablecoins (USDT/ USDC) etc., qui demandent des audits fréquents…

Au final, l’affaire FTX on le voit, a amorcé le narratif portant des doutes sur la santé financière et la viabilité de l’ensemble de l’industrie crypto.

L’année 2022, nous l’avons déjà évoqué, avec la Grande Narration et la phase de la Guerre a ouvert un nouveau chapitre de la Grande Réinitialisation, et quelques mois après l’effondrement du stablecoin TerraUSD, qui a eu déjà de multiples conséquences sur l’écosystème crypto, la spoliation 2.0 semble pouvoir commencer.

Celle-ci va servir de motif légitime à la régulation du secteur mais surtout à l’avènement des CBDC.

Et malgré les slogans, le secteur de la crypto dans son ensemble (plateformes naturellement) mais aussi DeFi et le Bitcoin, sont en réalité complètement interconnectés et concentrés.

Certes la concentration n’est pas forcément sur le plan technologique, mais elle l’est en matière de flux financiers, car ce sont les mêmes gros acteurs financiers qui orientent et manipulent l’écosystème crypto. La main qui donne est toujours au-dessus.

Par exemple pour le Bitcoin, la majorité des jetons sont détenus par un très petit nombre d’entités (les Whales), la source créatrice est inconnue, et surtout la concentration de la capacité de calcul de mineurs ne fait que s’accroitre avec le temps.

D’ailleurs, l’or numérique le bitcoin, a été fortement impacté par le scandale FTX. Il a perdu 4,22 % pour descendre à 16 800 dollars le jour des déclarations de FTX sur le scandale.

Il est même allé toucher 15.300 dollars, son plus bas niveau depuis deux ans, avant de regagner du terrain à la faveur du rebond général des marchés mondiaux lié au ralentissement de l’inflation américaine.  Pour ce qui est du token  FTT, sa baisse a dépassé les 80 % et il était à moins de 1$50 le 18/11/2022.

Régulation de l’écosystème crypto

Évidemment depuis la chute éclair de FTX, la plupart des collaborateurs, partisans et soutiens de FTX suppriment des pages internet, des tweets, des photos témoignant de leurs liaisons avec SBF le pestiféré.

Il est néanmoins à noter qu’à l’heure où ces lignes sont écrites, SBF n’est toujours pas en prison, n’a pas été extradé vers les États-Unis ou a été retrouvé « noyé » sur une plage des Bahamas… Il se promène tranquillement dans ma rue et au supermarché.

L’effondrement FTX a confirmé que cet ingénieur du MIT est bien connecté à l’État Profond qui occupe Washington.

On l’a déjà évoqué quand on a dressé le portrait de SBF, le deuxième donateur individuel des démocrates (derrière George Soros), était même consulté sur un projet de loi réglementant la crypto.

En 2021, Sam Bankman-Fried n’avait d’ailleurs pas hésité à critiquer ses concurrents devant les régulateurs :

« Il existe des acteurs irresponsables dans l’industrie des actifs numériques et ces acteurs font la une des journaux, mais FTX n’en fait pas partie. Elle a dans les faits construit une plate-forme résiliente, réduisant les risques, comme un avantage concurrentiel. »

Mais c’est bien cette escroquerie spectaculaire, propre au monde des cryptos, qui va servir le régulateur puis les autorités à imposer une réforme nécessaire à cette industrie qui présente les mêmes caractéristiques que le système de Free Banking de 1837 à 1864 avant la Guerre de Sécession aux États-Unis.

Les législateurs de la Maison-Blanche conciliants avec SBF ont désormais toutes les raisons de s’arroger des pouvoirs supplémentaires de contrôle grâce au cas FTX. La célèbre Securities and Exchange Commission et le ministère de la Justice ont déjà ouvert une enquête pour violations civiles et pénales des lois sur les valeurs mobilières.

Karine Jean-Pierre, attachée de presse laborieuse de la Maison Blanche a déjà délivré le message médiatique d’une régulation impérative de la crypto :

« Les nouvelles les plus récentes soulignent pourquoi une réglementation prudente des crypto-monnaies est, en effet, nécessaire. La Maison-Blanche, ainsi que les agences compétentes, suivront de près la situation, au fur et à mesure de son évolution. »

Rappelons-le tout de même le secteur crypto ne concerne que 15% des citoyens américains et moins de 10% des citoyens européens.

Et même si les montants sont colossaux car ils concernent de gros acteurs traditionnels (BlackRock, JP Morgan), il n’y a aucune urgence à réglementer ce secteur en toute objectivité.

Nous sommes dans une pure construction d’un narratif de concurrence des monnaies, qui est totalement fausse. La crypto semble être devenue un adversaire politique du système bancaire traditionnel, alors que dans les faits ce n’est pas du tout la réalité. Même depuis 2020, il n’y a pas d’adoption massive des populations, même des jeunes, malgré les énormes campagnes de publicité qui incitent soit à  y toucher, soit à ne jamais essayer (comme pour la cigarette il y a quelques décennies)

Et même si l’affaire FTX est désormais le plus gros scandale de l’industrie crypto. Cela devrait être un épiphénomène, dommageable essentiellement pour tous les acteurs de l’écosystème.

Bien sûr le véritable problème c’est qu’il y a des institutionnels très puissants qui investissent massivement dans cette industrie, qui se dit opposée à la finance traditionnelle. Et que dans la phase de crise (récession et inflation) que nous débutons actuellement, il n’est jamais bon de perdre massivement de l’argent.

L’écosystème crypto dans sa première configuration (2011-2022) pourrait donc bien emporter avec lui, la vieille finance traditionnelle à  cause des liens de consanguinités qui existent entre eux.

Et comme nous l’avons indiqué, la thèse et l’antithèse pourraient bien laisser leur place à la synthèse des CBDC dans les mois à venir.

Les CBDC : synthèse du Grand Récit

Dans un contexte de pénuries, rationnement alimentaires et énergétiques (électricité), le monde de la Crypto pourrait bien se réduire au mystérieux Bitcoin, tandis que les autres entités fusionnent avec les organismes de la finance traditionnelle moribonde.

D’ailleurs, il y a fort à parier que la chute finale de la première ère du « dataisme »/ Blockchain se termine avec la chute du géant de la crypto Binance, actuellement le plus grand exchange de cryptomonnaies au monde.

La faillite de cette banque numérique au 120 millions d’utilisateurs dans le monde et qui traite des centaines de milliards de dollars de transactions de cryptomonnaies chaque mois, pourrait bien emporter l’écosystème crypto avec elle.

Au final, ce qui est certain c’est que la technologie Blockchain permettra aux banques centrales d’imposer ce fameux « anonymat contrôlable » évoqué par un membre de la Banque centrale Chinoise et repris dans l’esprit par Christine Lagarde :

« Pendant le développement de l’euro numérique, nous avons toujours gardé en tête que le droit à la vie privée est quelque chose d’important pour les Européens. L’euro numérique respectera l’anonymat de ses utilisateurs jusqu’à un certain degré, mais pas au niveau de la Banque centrale européenne. »

En effet, il y a quelques semaines, le 27 septembre lors de la conférence sur les opportunités et les défis de la tokenisation de la finance, organisée par la Banque de France au Musée du Louvre, Christine Lagarde a encore reconnu « l’évidence du succès des cryptomonnaies » tout comme Augustin Carstens de la BRI, ou  Jérôme Powell.

D’après l’ancienne patronne du FMI, les cryptos seraient passées de ce qui fut une « hype libertarienne anonyme » à de réels moyens de paiements de plus en plus acceptés. Ce qui encore une fois est totalement faux. Elle avait déjà esquissé ce genre de propos en 2017, en évoquant la possibilité d’une révolution numérique concernant les cryptomonnaies.

C’est devant la Banque d’Angleterre, que la grande Christine avait osé dire « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Le 27 septembre 2022, Lagarde a encore répété le « Récit » en évoquant les dangers que représentent les cryptomonnaies en brandissant l’exemple du crash du Terra USD (UST).

FTX rajoute donc de l’eau au moulin des banquiers centraux, en attendant la chute finale du secteur.

Pour ceux qui veulent travailler à la seule échappatoire financière, il est impératif de se rappeler que les vraies richesses et la vraie liberté se trouvent dans le monde réel.

C’est pourquoi l’or et l’argent sont les actifs financiers les plus importants.

D’ailleurs Mickael Burry n’a-t-il pas déclaré au sujet du fiasco FTX que :

« L’Or était le grand gagnant ».

https://markets.businessinsider.com/news/stocks/big-short-michael-burry-gold-crypto-ftx-stock-market-outlook-2022-11

Marc Gabriel Draghi

Cette crise apparaît alors que l’univers des cryptomonnaies semble permettre une possibilité de débancarisation. Pour comprendre l’intérêt initial des cryptomonnaies, revoir notre entretien avec Philippe Herlin :

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2 Responses

  1. Excellent article, très complet, bien fait !

    Comme chacun moi-aussi j’étais assez enthousiaste au départ, ce malgré mon apparence de « rabat joie moqueur et rieur » à l’écrit .
    Comme tout le monde j’ai passé un temps d’aveuglement considérable à m’instruire sur le sujet, à force d’apprentissages j’étais à deux doigts de me lancer.

    Puis, puis…. chassez le naturel il revient au galop, très vite la chanson « clames-toi pépère, remet en perspective sur le temps long :
    -« Hé mec, fais pas le gamin, souviens-toi que depuis le roi Salomon, les états et leurs marionnettistes financiers n’ont jamais laissé la création monétaire à quiconque d’autre qu’eux. Sinon très temporairement en palliatif (assignats), de façon à ce que de rares initiés puissent rincer les sans-dents qui y laissent un rien »

    Dès cette étape, la mémoire longue reprend sa fonction : « Hey mec, souviens-toi que dès 1995-2000 l’ONU parlait déjà de monnaie électronique intégrale pour absolument tout »
    (lire c’est cool, mais se souvenir de ce qu’on lit, voit et entend, en se souvenant de la source et des dates, c’est mieux)
    Dès lors j’étais vacciné des cryptos et voyait se dessiner le topo avec les cryptos privées temporairement tolérées qui serviraient de béta-testeurs à l’ONU et aux banques.

    La suite, avec les annonces des cryptos de banque centrales et les événements de la chute des cryptos en quasi-simultané ont confirmé mon pressentiment … ce, au plus grand damn de mes amis qui étaient dans la crypto et que je prévenais depuis les deux premières années des cryptos.

    Pas besoin d’être sorti de la cuisse de Jupiter pour anticiper qu’à partir des annonces de sortie des cryptos de banques centrales, les cryptos privées allaient se faire défoncer, voir interdire d’un trait de plume de loi sortie de nulle-part.
    Le contexte actuel leur permet de trouver mille prétextes à la gomme, la traçabilité, le financement de la drogue, du terrorisme, et même le futur pass carbone etc…

    Pire encore, quand on sait ce que représente le minage en terme de consommation électrique et Co2, le prétexte est tout trouvé.
    En Europe, vu l’augmentation délirante des prix de l’électricité (OPA Blackrock) le minage des cryptos devient délirant, tout comme la blockchain devient un système coûteux quasi hérétique au niveau énergétique .

    Avec les pénuries électriques « ciblées » qu’on nous promet, bonne chance à celui qui ne sort pas avant que le système de Ponzi s’effondre, et avant que les Banques centrales exigent des états leur loi anti-concurrence et pro-trust …
    On peut être enthousiaste, mais on n’a jamais d’excuse à être volontairement aveugle.

    Crypto ou pas :
    Un bon investisseur, c’est un type qui sait que l’histoire (pas uniquement économique et financière), la culture générale, la logique, la froideur, et le renseignement « avant les autres » sont les PILIERS de son activité. (sinon le type est un joueur de casino, pas un investisseur)

    D’expérience, en matière éco-finances, mieux vaut un bon autodidacte qui possède ces piliers qu’un bon religieux de l’éco qui connait tous les grands noms des économistes et en a tout lu.

    La saison en est simple, le premier s’appuiera sur tous les PILIERS de façon froide et sans affect, le second aura tendance à la religion économique ou philosopher et/ou se rassurer sur base des vieux écrits de ces vieux grands-hommes issus d’un contexte et d’une époque bien différente…

    L’histoire nous a enseigné en plus des piliers décrits ci-dessus, en toute chose l’investisseur qui s’en sort bien est celui qui a l’info avant tous les autres. (guerre France Angleterre du XIX éme siècle)
    Les autres ne font que subir l’emballement et l’effet d’omino quand ces infos deviennent trop grand-public.
    (vous pensez à la NSA, à Echelon, à internet made in US ? Je ne sais pas pourquoi…mdr)

    L’important pour tout investisseur, c’est de savoir quand et quoi acheter (ou sur quelle fluctuation parier) mais surtout et avant tout de savoir quand vendre.

    Comment en sommes-nous arrivés à être formés à être si cognos ?
    Nos facs forment des spécialistes qui se regardent le nombril entre spécialistes sans voir le reste du corps, donc on forme des spécialistes du nombrilisme pour qui le monde est un grand mystère qu’ils ne tenteront de résoudre que par le seul prisme de leur enseignement devenu sectaire.

    Il y a des raisons évidentes à avoir voulu à tout prix transformer l’instruction nationale généraliste et éducation nationale spécialisée :
    Dilution de la responsabilité, obéissance aveugle, obsession monomaniaque de chacun (donc tuer le lien et le bien commun), sectarisme, impossibilité pour la main droite à comprendre que le corps d’ensemble est en train de faire et donc les conséquences de ce qu’on lui fait-faire sur l’intégralité du corps social.
    Ce sont des principes scientifiquement théorisés dans les dictatures socialo-communistes, qui aime lire les grands penseurs tarés de la Fabian Society comprendra que c’était le but, pas même caché.

    Le non-spécialiste lui, sera l’emmerdeur dans l’équation, il sera écarté bien qu’il puisse être ultra-productif mais en « empêcheur de tourner en rond » il est un gros souci dans nos entreprises formatés à l’homme robot.
    Ce n’est jamais bon dans une entreprise d’avoir un seul type qui dit « tu ne feras pas entrer ta forme carrée de côté 10cm dans une matrice circulaire de diamètre 10cm », c’est l’homme à abattre, celui à qui on n’a pas encore crevé les deux yeux, « aux armes, feu à volonté ! ».
    C’était déjà comme-ça dans le paradis de Staline, des types se faisaient fusiller pour avoir osé dire au membre de la nomenklatura chef de production « on a produit 600 millions de chaussures pour pied droit, est-ce qu’il ne serait pas logique que nous pensions à fabriquer deux ou trois chaussures pour pied gauche au cas où …? »
    Le crime n’était pas tant d’être logique, le crime était par son propos de démontrer qu’il n’était pas devenu un sous-homme, un robot, sans cervelle, un type qui est son propre geôlier, soumis corps et âme jusqu’à participer à faire de sa vie quotidienne un enfer sans aucun sens .

    Avec cette digression, vous comprendrez mieux que nous vivons dans une grande démocratie, où la « liberté de penser » est interdite, la liberté d’expression n’en parlons pas, la liberté d’être oui mais d’être seulement et uniquement un robot qui fabrique lui-même guillotine qui lui coupera la tête avec le sourire.

    Après, parlant de finances il y a un point important, capital mais tabou, autant le régler maintenant.
    Chacun remarquera le nom Bakman-Fried, comme Soros, comme Roth etc….
    On ne lie pas les faits, mais il n’en reste que depuis plusieurs siècles, les marionettes s’amusent à manipuler les communautés en utilisant leurs défauts, leur orgueil et leur égo.

    Quand on fouine on découvre très vite que ceux qui ont fait le plus de mal à la communauté de Bankman sont ses propres « co religionnaire » qui ont financé et planifié les pires choses qu’ils ont vécu bien en amont.
    (C’est pareil pour les autres peuples, on y reviendra.)
    Il est facile de faire-faire n’importe quoi à un Bankman-Fried en flattant son égo, sa vindicte scientifiquement orientée envers ce qu’il n’est pas lui, l’histoire très arrangée, lui lèvent toutes les inhibitions et lui permettent de se justifier à ses propres yeux.
    Dès l’enfance on les conditionne et on leur justifie tout ce qu’ils pourraient faire chez-les autres en leur disant bien que l’autre a été un salaud et que toi t’es la victime intersidérale de l’histoire humaine »

    D’autres peuples sont utilisés par les mêmes de la même façon, mais sur base de la farce historique qu’on leur a raconté et des auto-justifications qu’on leur donne sur un plateau.
    Donc on prend des peuples historiquement nomades pour jouer les nomades, on leur raconte que leurs ancêtres du bled étaient des saints vendeurs d’esclaves mais c’est de la faute des européens, qu’ils ont été « pillés » et même exterminés malgré une démographie multipliée par cent entre avant l’arrivé des « salauds » et le départ des « salauds » etc…
    Dès l’enfance on les conditionne et on leur justifie tout ce qu’ils pourraient faire chez-les autres en leur disant bien que l’autre a été un salaud et que toi t’es la victime intersidérale de l’histoire humaine.
    Eux-aussi on les aura spécialisés comme Bankman Fried mais dans des domaines différents

    Aux gens beaucoup plus à l’est, inhumainement disciplinés et dressés, travailleurs, prêts à se suicider pour un taf, on les utilise de la même façon.
    Dès l’enfance on les conditionne et on leur justifie tout ce qu’ils pourraient faire chez-les autres en leur disant bien que l’autre a été un salaud et que toi t’es la victime intersidérale de l’histoire humaine.

    Aux occidentaux, je ne vous fais pas le topo, vous connaissez, dès l’enfance, dès le berceau, on les culpabilise et on les détruit moralement de manière scientifique, on leur attache les mains et les pieds, en leur justifiant que tous les autres devaient les défoncer, que c’était « légitime » et que surtout ils devaient se laisser faire sans broncher (et si possible leur envoyer des milliards d’aides tirés sur leurs impôts et le fruit de leur travail, pour aider tous les autres à les détruire… donc financer la balle qu’on leur met dans la tête )

    Là aussi on parle de : « Dilution de la responsabilité, obéissance aveugle, obsession monomaniaque de chacun (donc tuer le lien et le bien commun), sectarisme, impossibilité pour la main droite à comprendre que le corps d’ensemble est en train de faire et donc les conséquences de ce qu’on lui fait-faire sur l’intégralité du corps social.
    Ce sont des principes scientifiquement théorisés dans les dictatures socialo-communistes, qui aime lire les grands penseurs tarés de la Fabian Society comprendra que c’était le but, pas même caché. »

    La boucle est bouclée.
    C’est pour cela que je ne suis pas trop branché par des « cilis sioux niss » ou cili quoi que ce soit…..
    Je me cantonne à ce qui est juste, ce qui est légal ce qui ne l’est pas, ce qu’on permet délibérément aux uns ou aux autres, qui permet quoi, quels sont les leviers et le conditionnement et surtout qui a conditionné les gens.
    (Tiens, bizarrement, dans ces conditionnements comme dans tous les domaines que ce soit le système bancaire, la propriété intellectuelle, le réchauffisme, les télécommunication etc… on retombe sur dune des agences du gouvernement mondial … l’unseco
    Et la question des cryptos privées servant de béta-testeurs est également une opération autorisée par l’onu, comme par hazard … …tout comme les ogm et pas mal d’autres choses autorisés sans consentement démocratique populaire par le même gouvernement mondial onu …)

    Pour les théories économiques, dans ces conditions, quiconque les aura étudiées et aura aussi étudié l’ONU, ses agences, qui fait quoi, le champ d’action (Banque Mondiale, OMPI, UNIDO,FAO, OMT etc..) comprendra que les farce théorique du libre marché non faussé sont de vastes blagues.
    Et dans ces conditions toutes les théories économiques de plus grands hommes des siècles passés ne tiennent pas une seule minute.
    Dans ces conditions de planification mondiale onusienne, j’ai vite compris que ce que j’ai mis des années à apprendre en autodidacte et pour le plaisir de comprendre, étaient de vastes blagues.
    Bakounine qui était un socialiste que je ne suis pas, avait tellement bien parlé des banques centrales et y avait tellement vu clair qu’on peut s’arrêter à son constat, ça suffit amplement.

    Rien n’est caché que sous nos yeux et en pleine lumière, celui qui sait que l’histoire, la culture générale, la logique, la froideur, et le renseignement « avant les autres », donc celui qui n’est pas devenu un robot sous hypnose ou s’en est extrait à force de travail, comprend immédiatement que la blague qu’on lui raconte ne tient pas deux minutes l’épreuve des faits .
    Les blagues ça và bien mais quand on se fait mettre à poil par des nuées et des nuées de sans-dents partout présents mais invisibles, rabat joie mais froidement moqueurs et rieurs … : l’échec et mat n’est plus une question de SI c’est une question de QUAND. 😉

    Si ce modeste commentaire un peu léger et débile peut entre-ouvrir les yeux de ne serait-ce que d’UNE seule personne, et lui éviter de tomber de nouveau dans des pièges qui fonctionnent de façon débile depuis près de cent ans, le commentaire aura atteint son objectif !

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