Les services secrets de l’État invisible : l’histoire secrète de la France et du monde
Marc Legrand, historien et écrivain, a publié deux volumes sur l’histoire des services secrets, révélant comment ces derniers ont façonné l’histoire et la géopolitique en manipulant les peuples, les nations et les idéologies.
Son dernier ouvrage, « L’état invisible », explore également les aspects occultes et surnaturels du pouvoir, ainsi que le rôle des sociétés secrètes et des agents d’influence.
Lors de notre entretien, Marc Legrand expose les grandes lignes de ses recherches et remet en question la version officielle de l’histoire.
Le rôle des services secrets
Les services secrets représentent des entités chargées d’assurer la sécurité et la défense des intérêts de l’État, ainsi que de ce qu’on pourrait nommer l’« État invisible », fraction de l’État qui contrôle le pouvoir réel.
Leur mission englobe la surveillance de la population, la manipulation de l’opinion publique, la création de mythes, la protection des alliés et la neutralisation des ennemis.
Ces organisations disposent de ressources considérables pour mener à bien leurs opérations de surveillance, d’infiltration et d’élimination de leurs cibles, et sont souvent associées à divers trafics illicites, tels que ceux impliquant des drogues, des armes ou même des êtres humains.
Les services secrets existent depuis l’avènement des premiers États, il y a environ 6000 ans, et leur influence étant omniprésente, ils ont tout « infecté ».
Ils ont contribué à la création d’États en perpétuelle guerre les uns contre les autres, ont été à l’origine de nombreuses révolutions et idéologies, et ont instauré des oppositions contrôlées.
Ces dernières regroupent des individus émanant des services secrets ou des « idiots utiles » qui servent à neutraliser ou à discréditer les véritables opposants à l’État.
En outre, les services secrets ont utilisé le cinéma comme un outil de manipulation, de conditionnement et de séduction des masses.
L’histoire secrète de la France et du monde
Marc Legrand dévoile l’histoire secrète de la France et du monde, en révélant les coulisses des affaires politiques, militaires et sociales orchestrées par les services secrets.
Il expose comment ces organisations ont sélectionné, manipulé et éliminé des dictateurs tels qu’Hitler, Staline ou Mussolini, qui étaient tous des agents infiltrés de l’« État invisible ».
Marc Legrand explore également la gestion de certaines guerres déclenchées et menées par cet « État invisible », notamment la Première et la Seconde Guerre mondiale, la guerre d’Ukraine et détaille la manipulation des Juifs orthodoxes opposés au sionisme, qui ont été soit victimes de la Shoah, soit ralliés par des rabbins sionistes.
Il relate l’histoire de Madame de Montespan, maîtresse de Louis XIV, qu’il suggère avoir été à la tête de l’« État invisible » de l’époque, ou du moins une figure influente au sein de cette organisation.
Le chef de l’État invisible et les agents d’influence
Marc Legrand révèle l’existence d’un chef de l’« État invisible », qui est toujours une femme jeune d’origine suméro-hébraïque.
Cette femme détient un secret de famille connu d’un patriarche d’une grande famille et possède une généalogie maquillée remontant à la reine de Sumer.
Legrand affirme que le chef de l’« État invisible » est convaincu qu’en rendant un culte au diable, elle obtiendra une rétribution spirituelle et matérielle. De plus, il indique que cette figure dirigeante a un plan transmis depuis des millénaires, visant à instaurer le chaos et à défier Dieu.
Marc Legrand aborde également le sujet des agents d’influence, des individus chargés de diffuser des idées au service de l’« État invisible ».
Il fait une distinction entre les agents pleinement conscients de leur rôle, et les agents objectifs, qui sont manipulés sans en avoir conscience.
Marc Legrand donne des exemples d’agents d’influence tels qu’Éric Zemmour ou Marine Le Pen, qu’il qualifie d’oppositions contrôlées.
De plus, il mentionne des agents d’influence qui ont été formés à l’Actor Studio, une façade pour la formation d’acteurs, de metteurs en scène et de dramaturges pouvant servir à des fins de propagande ou de diversion.
Le cas de Benalla et l’État invisible en France
Marc Legrand évoque le cas de Benalla, ancien collaborateur d’Emmanuel Macron, présenté comme un agent de liaison entre le chef de l’État visible et le chef de l’État invisible.
Marc Legrand souligne que le nom de famille de Benalla est rare et semble incohérent, ce qui suggère qu’il pourrait être usurpé et mentionne également les nombreux privilèges et habilitations dont Benalla a bénéficié au sein de la gendarmerie, de la franc-maçonnerie et de l’Élysée.
Marc Legrand indique en outre que Benalla a été exfiltré de l’Élysée à la suite d’une affaire médiatique, qui pourrait être une mise en scène, et qu’il travaille désormais dans le domaine du renseignement économique, un secteur lié à l’État invisible.
Marc Legrand nous entraîne également à la découverte de l’État invisible en France, une entité chargée d’assurer la sécurité et la défense des intérêts de l’État, mais également de l’« État invisible ».
Il explique que cette entité se dissimule derrière des organisations occultes ou ésotériques telles que la franc-maçonnerie, les fraternités étudiantes ou les officines.
Marc Legrand évoque également l’implication de l’État invisible dans diverses affaires, telles que celle d’Yvonne de Gaulle, épouse du général de Gaulle, ou encore l’affaire Dreyfus, qu’il considère comme une manipulation de l’opinion publique.
Il souligne enfin l’équilibre entre la tête visible et la tête invisible de cet État, notant que le chef de l’État invisible est toujours une femme.
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