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Le 14 décembre à 12h30, Mike Borowski révèle comment la HAS autorise le changement de sexe dès 16 ans, financé intégralement par l’État, au mépris des repères biologiques et de l’autorité parentale.

La HAS pousse les jeunes à changer leur identité de genre

La Haute Autorité de santé (HAS) a décidé de rendre la transition de genre accessible dès 16 ans et en la finançant intégralement, l’État légitime une confusion identitaire grave et fragilise les bases mêmes de la société. Cette réforme n’a rien de thérapeutique, elle renforce une souffrance psychologique profonde et pousse les jeunes à s’engager dans des parcours irréversibles qui aggravent leur état mental.

La dysphorie de genre est une détresse mentale qui découle d’un rejet de son propre corps et de sa réalité biologique. Plutôt que de traiter cette souffrance à sa racine, la HAS encourage à la valider et à l’accompagner. Elle propose une fuite en avant destructrice, basée sur des hormones de substitution et des opérations chirurgicales irréversibles. Cette stratégie ne soigne pas, elle institutionnalise une maladie en faisant croire aux patients qu’ils peuvent échapper à leur réalité biologique.

Aucune intervention médicale ne permet de changer de sexe. Un homme reste un homme, une femme reste une femme. Les chromosomes ne changent pas, la biologie ne ment pas. Pourtant, la HAS choisit d’ignorer cette évidence scientifique et offre un cadre où des jeunes, encore en construction identitaire, sont poussés vers des traitements lourds et destructeurs.

Les études montrent que les individus ayant subi une transition ne voient pas toujours leur souffrance psychologique diminuer. Pire, le taux de regret et de suicide reste élevé chez ces personnes, qui réalisent trop tard que les interventions physiques n’ont pas effacé leur mal-être. Ce constat est volontairement ignoré par la HAS, qui préfère céder aux pressions idéologiques plutôt que de respecter son devoir de soin et de protection.

La HAS manipule les jeunes en quête de repères

Drapeau LGBTQ+
Drapeau LGBTQ+
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La HAS pousse les jeunes à croire qu’ils peuvent « changer de sexe » à un âge où leur construction psychologique est incomplète. Avec cette réforme, l’État normalise une déconnexion totale entre l’esprit et le corps, encourageant les jeunes en quête de repères à rejeter leur identité biologique. Cette réforme ne répond pas à une demande naturelle mais la crée. Elle transforme une détresse isolée en phénomène de société, notamment à travers les réseaux sociaux, qui amplifient la confusion identitaire chez les plus vulnérables.

Cette réforme va encore plus loin en s’attaquant directement aux parents. La HAS impose une médiation pour forcer les familles à accepter les choix irréversibles de leur enfant mineur. L’autorité parentale est délibérément piétinée, tandis que les associations trans, largement militantes, sont promues comme des partenaires incontournables du parcours de transition. Ces structures, financées par l’État, participent à une manipulation idéologique sous couvert de soin.

L’objectif est clair : normaliser la dysphorie de genre, briser les résistances familiales et inscrire cette idéologie dans le cadre médical. En détruisant les repères biologiques et en remplaçant l’accompagnement psychologique par des interventions physiques irréversibles, la HAS contribue à créer une génération de jeunes en rupture avec leur propre identité.

Une agression contre les familles

Cette réforme n’est pas une simple mesure médicale. C’est une agression directe contre les bases de la société. En légitimant la confusion identitaire et en détruisant l’autorité parentale, la HAS fragilise l’ensemble du tissu social. Elle remplace les repères biologiques par une idéologie destructrice qui nie la réalité et encourage les troubles mentaux.

Les conséquences sont déjà visibles dans les pays ayant adopté des mesures similaires. Les taux de regret explosent, les troubles psychologiques persistent et les systèmes de santé sont submergés par des parcours de transition coûteux et inefficaces. La France est sur la même trajectoire. La gratuité imposée de ces traitements, entièrement financés par la collectivité, détourne les ressources de la Sécurité sociale au détriment des soins essentiels.

Cette réforme n’a rien d’un progrès. Elle amplifie les troubles mentaux, brise les familles et affaiblit les repères fondamentaux de la société. Loin d’être un soin, elle est une capitulation idéologique face à une minorité militante, au prix de la santé mentale et physique de milliers de jeunes.

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