Le 30 octobre à 7h, Philippe Karsenty et Paul Reen sont les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu.
Philippe Karsenty est un homme politique et entrepreneur français, connu pour son engagement en faveur de la liberté de la presse et de l’information. Il a acquis une notoriété internationale pour son combat juridique contre France 2 concernant le reportage controversé sur la mort de Mohammed Al-Durah en 2000.
Paul Reen est le Président de Republicans in France, représentant les valeurs du Parti Républicain auprès des expatriés américains en France. Entrepreneur et défenseur des principes conservateurs, il milite pour la liberté économique, la sécurité nationale, et une réduction de la bureaucratie.
L’État profond en ébullition
Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis, est en difficulté face à la popularité de Trump. Sa cote de popularité chute dans les États pivots, où ses insuffisances sont mises en évidence par les médias et les électeurs.
Jugée responsable des échecs sécuritaires et migratoires du gouvernement Biden, elle voit son image se détériorer, amplifiée par son adhésion à l’idéologie woke, qui divise profondément l’opinion publique américaine. L’État profond semble ainsi vaciller face aux échecs successifs de l’administration actuelle.
Trump et la montée en puissance
Face à cette situation, Donald Trump semble galvaniser une part croissante de l’électorat, renforcé par des rassemblements à grande échelle. Dernièrement, un meeting au Madison Square Garden a attiré environ 20 000 partisans, rappelant la ferveur de 2016.
Sa popularité se traduit par une avance de près de 5 % dans les sondages nationaux, en particulier parmi les classes ouvrières et les électeurs indépendants, renforçant ainsi l’impression d’invincibilité qu’il projette. Les Démocrates, quant à eux, peinent à développer une stratégie convaincante face à cet engouement renouvelé.
Les tactiques de l’État profond
Pour contrer Trump, certaines figures de l’opposition déploient des moyens extrêmes. Accusations de fascisme, enquêtes judiciaires et manipulations médiatiques rythment les manœuvres tentées pour affaiblir l’image de Trump.
Des allégations de fraude électorale émergent également, nourries par des modifications des règles de vote dans certains États gouvernés par des Démocrates, accentuant la méfiance populaire. Près de 60 % des Américains estiment d’ailleurs que le système électoral est vulnérable, selon une récente enquête nationale, ce qui pourrait se retourner contre les initiateurs de ces stratégies.
Le risque de troubles civils
Si Trump venait à remporter les élections, des troubles civils pourraient s’intensifier, dans un climat de polarisation sans précédent. Déjà, des menaces d’attentats visant Trump et ses proches alimentent les préoccupations sécuritaires.
Selon des agences de renseignement, les risques de violences post-électorales pourraient atteindre un pic comparable à 2020. Dans ce contexte de tensions, les enjeux de sécurité et de stabilité nationale apparaissent comme des défis majeurs pour les mois à venir.
3 Responses
Au Kentucky les machines à voter refusent le candidat Trump: impossible de cocher la case Trump et apres quelques essais infructueux, la machine selectionne automatiquement KH ! La fraude a déjà commencé : c’ est leur seule facon de battre Trump. Et cela se passe dans la soi-disant plus grande democratie du monde, qui se permet de donner des lecons aux autres !
SUPPRESSION DÉFINITIVE DES ORGANES DÉSINFORMATEURS DE PRESSE FRANÇAIS AUX ORDRES EXIGÉE ! 🇫🇷 LA FRANCE CITOYENNE