EXPLOSIF : TRUMP SUPPRIME TOUTES LES GRÂCES PRÉSIDENTIELLES DE BIDEN ! | GPTV

Le 18 mars à 12h30, Nicolas Stoquer analyse l’annulation par Trump des grâces de Biden, dénonçant une fraude à l’Autopen et un complot de l’État profond.

Trump invalide les grâces de Biden

Donald Trump annule officiellement les grâces accordées par Joe Biden, affirmant qu’elles ont été signées de manière frauduleuse avec un Autopen. Cette décision remet en cause l’immunité accordée à plusieurs figures du Parti démocrate et de l’administration Biden, notamment Hunter Biden, Anthony Fauci, Mark Milley et les membres du Comité du 6 janvier. Trump considère ces grâces comme nulles et non avenues, laissant entendre que leurs bénéficiaires pourraient être immédiatement poursuivis en justice.

Les grâces présidentielles sont normalement un pouvoir absolu du chef de l’État, mais leur validité dépend de la signature du président en personne ou d’une autorisation explicite d’utilisation de l’Autopen. Or, selon Trump et plusieurs enquêteurs, Biden n’a pas donné son accord pour ces documents. Pire encore, il n’en aurait même pas eu connaissance. Cela signifie que des membres de son entourage ont abusé de son pouvoir, probablement dans le but de se protéger eux-mêmes d’éventuelles poursuites judiciaires après la transition présidentielle.

Cette révélation confirme les soupçons sur l’utilisation abusive de l’Autopen, un dispositif qui reproduit une signature sans nécessiter l’implication directe du président. L’État profond aurait exploité cet outil pour se protéger avant la transition de pouvoir, agissant dans l’ombre d’un Joe Biden de plus en plus affaibli. Trump ne laisse aucun doute : ces actions relèvent de la fraude institutionnelle, et les responsables devront répondre de leurs actes.

Un scandale qui confirme la manipulation de l’État profond

L’affaire démontre l’influence des forces non élues qui manipulent le pouvoir exécutif. Biden n’aurait pas personnellement validé ces grâces, ce qui signifie que des membres de son administration ont pris la liberté d’autoamnistier certains responsables. Parmi eux, les membres de la commission du 6 janvier, qui ont orchestré une chasse aux sorcières contre Trump en effaçant toutes les preuves qui auraient pu les compromettre.

Le Speaker de la Chambre, Mike Johnson, avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur des décrets présidentiels suspects signés sans l’aval direct de Biden. Cette révélation montre que l’ancien président démocrate était instrumentalisé par son entourage. L’annulation des grâces par Trump expose ce coup d’État silencieux, révélant à quel point l’administration Biden a servi d’écran de fumée pour des intérêts obscurs.

L’utilisation frauduleuse de l’Autopen soulève une question bien plus vaste : qui gouvernait réellement sous Biden ? Si des décisions aussi cruciales que des grâces présidentielles ont pu être signées sans son consentement, combien d’autres décisions politiques ont été prises à son insu ? La Maison-Blanche de Biden était-elle un théâtre dirigé en coulisses par des forces occultes ?

L’Oversight Project, un groupe de surveillance gouvernementale, a récemment révélé que de nombreux documents officiels de Biden avaient été signés par un dispositif automatique, et non par le président lui-même. Cette pratique ne concerne pas seulement les grâces, mais aussi des décrets importants, ce qui remet en question toute la légitimité de son administration. La conclusion est implacable : celui qui contrôlait l’Autopen contrôlait la présidence.

Vers une purge judiciaire massive

Avec cette annulation des grâces, Trump ouvre la voie à une vague d’arrestations sans précédent. Hunter Biden, déjà sous le coup de plusieurs enquêtes criminelles, pourrait être immédiatement placé en détention. Anthony Fauci, accusé d’avoir orchestré la réponse catastrophique au COVID-19, n’est plus protégé par l’immunité présidentielle. Le général Milley, soupçonné de trahison, devra également répondre de ses actes.

Les démocrates et les médias tentent de minimiser l’impact de cette bombe politique, mais la réalité est implacable : le coup d’État bureaucratique mené sous Biden est désormais exposé au grand jour. Trump affirme que les coupables devront rendre des comptes, et ce n’est qu’une question de temps avant que la justice ne frappe. L’État profond vacille, pris la main dans le sac de la fraude institutionnelle.

Les conséquences pourraient être explosives. Plusieurs hauts responsables de l’administration Biden pourraient être inculpés pour faux et usage de faux, abus de pouvoir et obstruction à la justice. Cette situation pourrait démanteler l’ensemble du réseau ayant orchestré la persécution judiciaire contre Trump et ses alliés depuis plusieurs années.

Avec cette décision radicale, Trump montre qu’il ne reculera devant rien pour purger le système corrompu. L’affaire des grâces frauduleuses n’est que la partie émergée de l’iceberg : derrière cette fraude se cache un vaste complot politique, destiné à protéger les acteurs clés du régime Biden. En annulant ces grâces, Trump vient de dynamiter leur protection juridique, ouvrant la voie à une chute spectaculaire des élites démocrates.

L’administration Biden apparaît désormais comme illégitime et compromise. Si des actions judiciaires suivent, elles pourraient provoquer une crise institutionnelle majeure aux États-Unis. Une chose est certaine : Trump ne compte pas s’arrêter là. En invalidant les grâces de Biden, il envoie un message clair : l’ère de l’impunité est révolue, et les traîtres devront répondre de leurs crimes.

Ce que l’élite ne veut pas que vous sachiez sur le pouvoir… découvrez-le en cliquant ici :

Revue géopolitique profonde mars 2025
Cliquez sur l’image !
Facebook
Twitter
Telegram

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *