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TOUT SAVOIR SUR LE MENSONGE TOTAL DE LA GUERRE EN UKRAINE : TRAFIC, BLANCHIMENT, CORRUPTION | GPTV

Le 29 novembre à 19h, Laurent Artur Du Plessis, François Martin et Finn Andreen sont les invités de La Grande Émission animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.

François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.

L’autre visage de la guerre en Ukraine : profit et corruption

Depuis le début du conflit en Ukraine, la guerre ne s’est pas limitée aux seuls champs de bataille. Derrière les discours sur la défense des valeurs démocratiques ou le soutien humanitaire, une économie parallèle florissante s’est installée, alimentant profiteurs, trafiquants et réseaux occultes.

À chaque cargaison d’armes et à chaque flux d’argent injecté, c’est un système tentaculaire de corruption et de détournements qui se met en place. Loin de chercher à mettre fin à ce conflit dont l’issue militaire semble incertaine, certains acteurs semblent y trouver une opportunité inespérée.

Des milliards en jeu : les dessous des ventes d’armes

L’afflux massif d’armes occidentales en Ukraine a transformé ce conflit en un véritable jackpot pour l’industrie de l’armement. Ces ventes, bien qu’encadrées officiellement, ouvrent toujours la porte à des pratiques douteuses : les rétrocommissions, ces pourcentages des contrats qui finissent dans les poches d’intermédiaires, atteignent aujourd’hui des montants spectaculaires.

Les milliards transférés sans contrôle rigoureux dans un pays ravagé par la guerre constituent un terrain idéal pour que certains acteurs s’enrichissent en silence. Au fil des transactions, ce système alimente non seulement les fabricants d’armes, mais aussi toute une chaîne de décideurs politiques et financiers qui profitent de l’opacité ambiante.

Une économie souterraine qui explose

Les guerres ne sont pas seulement des affaires de combats, elles sont aussi des opportunités pour les réseaux criminels. En Ukraine, l’effort de guerre génère un terreau fertile pour le trafic d’armes, le détournement des aides financières et le blanchiment d’argent. Les circuits mafieux internationaux trouvent ici un champ d’action idéal pour dissimuler ou réinvestir des fonds illicites.

Des cargaisons disparaissent, des fonds d’aide internationale se volatilisent, et des filières criminelles, déjà bien rodées, s’étendent. Pendant ce temps, les populations civiles, premières victimes, peinent à recevoir les soutiens qui leur sont promis.

Une guerre prolongée, mais pas sans raison

Alors que le conflit s’éternise, l’évidence s’impose : la guerre, dans certains cas, peut devenir plus rentable que la paix. Ce qui aurait pu s’arrêter plus tôt s’étire dans le temps, alimenté par des flux d’argent incontrôlés et des intérêts économiques masqués.

Derrière les décisions politiques et stratégiques, des acteurs économiques se taillent la part du lion, s’assurant de maximiser leurs profits tant que le chaos persiste. Pour ces profiteurs, peu importe que le conflit soit gagné ou perdu, l’essentiel est de continuer à exploiter une situation où les règles habituelles sont suspendues. Une fois la guerre terminée, ce seront les Ukrainiens eux-mêmes, et plus largement l’Europe, qui devront faire face aux conséquences laissées par ces rapaces financiers.

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Une réponse

  1. Francois Martin, certes un homme fort intéressant, mais tout de même n’a pas le sens de la concision, et se perd souvent dans des parenthèses qui n’en finissent pas.

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