SCANDALE DE L’USAID : L’AGENCE QUI A TOUT FAIT POUR QUE LA RUSSIE ENTRE EN GUERRE | GPTV

SCANDALE DE L’USAID : L’AGENCE QUI A TOUT FAIT POUR QUE LA RUSSIE ENTRE EN GUERRE | GPTV

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Un instrument de propagande au service du pouvoir américain

L’USAID n’a jamais été une simple agence d’aide au développement. Derrière son image bienveillante, elle a servi d’outil d’influence stratégique au service des intérêts américains. Officiellement créée pour « promouvoir la démocratie et le progrès », elle a en réalité financé des opérations d’ingérence à grande échelle, soutenant des gouvernements favorables à Washington et déstabilisant ceux qui lui résistaient.

L’Ukraine en est l’exemple le plus frappant. L’USAID a investi des millions pour modeler l’image de Volodymyr Zelensky, transformant ce comédien devenu président en icône médiatique. Hollywood a été mis à contribution : Angelina Jolie (20 millions de dollars), Orlando Bloom (8 millions), Ben Stiller (4 millions), Sean Penn (5 millions) et même Jean-Claude Van Damme (1,5 million) ont été payés pour se rendre à Kiev et poser aux côtés de Zelensky. Cette mise en scène visait à légitimer un régime corrompu et à renforcer le soutien occidental à la guerre contre la Russie.

Mais cette guerre informationnelle ne s’est pas arrêtée aux photos avec des célébrités. L’USAID a tout fait pour provoquer la Russie, multipliant les financements destinés aux médias et aux groupes politiques hostiles à Moscou. De la promotion de la démocratie aux sanctions économiques, en passant par la formation de journalistes ukrainiens, tout a été orchestré pour envenimer les tensions et précipiter l’entrée en guerre.

Des milliards pour imposer l’idéologie mondialiste

Loin de se limiter à l’Europe de l’Est, l’USAID a inondé le monde de financements orientés politiquement. Chaque année, des milliards de dollars sont versés à des initiatives prétendument progressistes, mais dont l’objectif réel est d’exporter l’idéologie américaine et d’étendre son influence sur les sociétés locales.

Les sommes allouées à ces projets sont colossales :

  • 7,9 millions de dollars pour apprendre aux journalistes sri-lankais à éviter le « langage binaire ».
  • 20 millions de dollars pour un spectacle de Sesame Street en Irak.
  • 4,5 millions de dollars pour lutter contre la « désinformation » au Kazakhstan.
  • 1,5 million de dollars pour promouvoir l’« inclusion des personnes handicapées ».
  • 6 millions de dollars pour « transformer les espaces numériques afin de refléter les principes démocratiques féministes ».

Les initiatives LGBT ont également reçu des financements massifs, souvent dans des pays où ces questions sont perçues comme une ingérence culturelle :

  • 2 millions de dollars pour les changements de sexe et l’« activisme LGBT » au Guatemala.
  • 5,5 millions de dollars pour l’activisme LGBT en Ouganda.
  • 6,3 millions de dollars pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes en Afrique du Sud.
  • 3,9 millions de dollars pour les causes LGBT dans les Balkans occidentaux.

Au-delà des questions de société, l’USAID a aussi financé des projets liés à des intérêts plus occultes. L’agence a ainsi versé 5 millions de dollars à EcoHealth Alliance, l’ONG impliquée dans les recherches sur le virus des chauves-souris au laboratoire de Wuhan. Elle a également fourni 10 millions de dollars de repas à un groupe terroriste lié à Al-Qaïda.

Un État profond en déroute face à la résistance de Trump et Musk

La fermeture de l’USAID représente un coup majeur porté contre l’État profond américain. Cette agence, financée par des fonds publics mais pilotée par des intérêts privés, a longtemps agi comme un bras armé du pouvoir mondialiste. En mettant fin à cette institution tentaculaire, Donald Trump et Elon Musk frappent directement au cœur du système.

L’USAID ne se contentait pas de financer des projets prétendument humanitaires. Derrière chaque subvention, il y avait un objectif : influencer, manipuler, remodeler les sociétés en fonction des intérêts de Washington. Son action était méthodique, ciblant les médias, les minorités et les gouvernements pour asseoir l’hégémonie américaine sous couvert de « démocratie » et de « progrès ».

Avec sa disparition, un pan entier du système d’ingérence américain s’effondre. Les milliards qui alimentaient la propagande mondialiste, la déstabilisation politique et l’idéologie woke ne circuleront plus. Cette victoire de Trump et Musk met en échec une machine de guerre discrète mais redoutable, qui finançait des révolutions de couleur, des campagnes médiatiques et des opérations occultes à l’échelle planétaire.

La bataille contre l’État profond est loin d’être terminée, mais la fermeture de l’USAID envoie un message clair : l’ère de la manipulation à grande échelle sous couvert d’humanitaire touche à sa fin. Les États-Unis ne pourront plus dicter leurs règles au reste du monde par le biais de ces financements dissimulés.

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