Le 13 mars à 19h, Maître David Guyon, Serge Federbusch et Antoine Gainot sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Maître David Guyon est un avocat spécialisé dans la défense des victimes, notamment dans les affaires de violences sexuelles. Il s’est fait un nom en se consacrant avec passion à la défense des droits des plus vulnérables, en particulier les enfants, et en s’engageant dans des dossiers médiatisés de maltraitance.
Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.
Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.

Une ségrégation sociale programmée
Les grandes métropoles deviennent des bastions réservés à une élite fortunée, tandis que les classes populaires sont méthodiquement repoussées en périphérie. L’augmentation vertigineuse des loyers, la multiplication des zones à circulation restreinte et la fiscalité punitive sur la voiture personnelle achèvent de chasser les Français modestes des centres urbains. En revanche, les migrants sont tolérés, car ils assurent les services essentiels à bas coût, servant une oligarchie qui refuse tout contact avec la population autochtone défavorisée.
Derrière ce processus, une volonté claire : sanctuariser les villes pour une caste privilégiée et maintenir une main-d’œuvre servile dans des conditions précaires. Loin d’être le fruit du hasard, cette mécanique repose sur des décisions politiques calculées, où la mise à l’écart des Français modestes est justifiée par des discours sur l’écologie ou la modernisation des infrastructures.
Une dépossession systématique des classes moyennes
Le rêve de la propriété individuelle s’effondre. L’inflation immobilière, la taxation abusive et l’explosion des charges rendent l’accès au logement toujours plus difficile. Louer devient un gouffre financier, acheter un mirage. Dans le même temps, le discours dominant impose l’idée que l’ère de la possession est révolue : demain, vous ne posséderez rien et devrez tout louer à des multinationales.
Le Great Reset avance masqué sous des mesures prétendument vertueuses. Derrière l’interdiction progressive des véhicules thermiques et la mise en place des ZFE (Zones à Faibles Émissions), c’est une privation de liberté qui se met en place. Chaque restriction, chaque taxe, chaque nouvelle norme rapproche un peu plus les Français d’une existence sous contrôle total, où ils devront payer pour chaque usage, sans jamais posséder quoi que ce soit.
L’immobilier subit le même sort avec le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique), devenu un outil de spoliation déguisé. Sous couvert de transition écologique, les propriétaires de logements classés F ou G sont forcés de réaliser des travaux hors de prix, sous peine de voir leur bien interdit à la location ou dévalorisé. Derrière cette pression réglementaire, un objectif clair : pousser à la vente à bas prix pour que de grands groupes ou des fonds d’investissement récupèrent le patrimoine des classes moyennes.
La fausse promesse de la voiture électrique
L’industrie automobile joue ses cartes, mais les Français ne sont pas dupes. Présentée comme la solution miracle, la voiture électrique est un luxe inaccessible pour la majorité de la population. Son prix exorbitant, son entretien coûteux et la dépendance aux bornes de recharge en font un produit réservé aux plus aisés. Pendant que l’État interdit les moteurs thermiques sous prétexte écologique, il impose un modèle où seuls les plus riches pourront encore se déplacer librement.
Pire encore, l’impact écologique réel de ces véhicules est soigneusement occulté. L’extraction des métaux rares nécessaires aux batteries détruit des écosystèmes entiers, et le recyclage de ces composants reste une impasse. La voiture électrique n’est pas une avancée écologique, mais un outil de ségrégation sociale, excluant encore davantage les classes populaires de la mobilité individuelle.

2 réponses
la pollution des bagnoles n’étant que de même pas 5%, alors que les bateaux, pétroliers etc sont les 95% ,
toutes ces lois ne sont des attrape-nigauds escrocs
Enfin des éléments concrets au lieu de compter les poils de culs de nos élites l’odeur est tellement forte que même les chiens ne veulent plus faire le pied