🔥 Les essentiels de cette actualité
- Deux pirates de l’air du 11 septembre travaillaient pour la CIA, révélations explosives de Tucker Carlson et Curt Weldon.
- John Brennan a délivré 15 visas aux terroristes, pendant que la CIA savait que Ben Laden était en Iran, non en Afghanistan.
- L’USAID finance des opérations de manipulation psychologique à travers le monde, selon Mike Benz.
- Curt Weldon dénonce un encadrement de l’attentat pour déclencher des guerres, informations enterrées par l’administration Bush.
Le 20 avril à 12h30, Mike Borowski anime une émission d’actualité explosive, en direct sur Géopolitique Profonde.
11 Septembre, CIA et guerre cognitive : les révélations qui pulvérisent la version officielle
Le 14 avril 2025, Tucker Carlson fait sauter une nouvelle digue. Face à lui, Curt Weldon, ancien membre du Congrès américain, balance des vérités que l’on a voulu enterrer. Deux des pirates de l’air du 11 septembre travaillaient pour la CIA.
Quinze des dix-neuf visas ayant permis aux terroristes d’entrer aux États-Unis ont été délivrés par John Brennan, futur directeur de l’agence. Et pendant qu’on lançait l’Amérique dans deux décennies de guerre, la CIA savait qu’Oussama Ben Laden n’était pas en Afghanistan… mais en Iran.
À cela s’ajoutent les révélations de Mike Benz, qui expose le rôle central de l’USAID dans les opérations de manipulation psychologique à l’échelle mondiale. Une mécanique de domination se dévoile, implacable et systémique.
CIA, infiltration et dissimulation : l’attentat comme stratégie
Curt Weldon ne fait pas dans la demi-mesure. Ce vétéran du Congrès a passé vingt ans à Washington. En 2006, il s’apprêtait à présider la commission des forces armées – jusqu’à ce qu’il remette en cause la version officielle du 11 septembre. L’État profond a réagi brutalement : agents fédéraux envoyés au domicile de sa fille, fin précipitée de sa carrière politique.
Aujourd’hui, à 77 ans, il parle sans filtre. Deux des terroristes du 11 septembre, dit-il, étaient liés à la CIA. John Brennan, alors en poste à Riyad, a validé personnellement les visas de quinze des kamikazes.
Il ne s’agit pas d’un simple dysfonctionnement. Il semble s’agir d’un encadrement, d’une supervision discrète d’un événement planifié pour déclencher un cycle de guerres. Le programme Able Danger, que Weldon a tenté de rendre public, avait identifié certains terroristes bien avant le 11 septembre.
Ces informations ont été enterrées. L’administration Bush a préféré sacrifier des milliers de vies pour justifier une guerre géopolitique aux contours déjà dessinés.
Ben Laden en Iran et la fabrication de l’ennemi
Le mensonge central de cette manipulation reste la localisation de Ben Laden. Officiellement, il se cachait dans les montagnes afghanes. En réalité, affirme Weldon, il était en Iran. Cette dissimulation volontaire a permis d’imposer une guerre en Afghanistan, suivie d’un élargissement à l’Irak, sans jamais cibler le véritable abri du chef d’Al-Qaïda.
Les objectifs étaient clairs : installer une présence militaire durable au cœur de l’Eurasie, contrôler les ressources, remodeler le Proche-Orient selon les intérêts américains. Le prix ? Des millions de morts, des pays dévastés, des générations sacrifiées. Le tout sous couvert de « guerre contre le terrorisme ».
USAID et la guerre cognitive globale
C’est dans ce cadre qu’intervient une autre pièce du puzzle : les révélations de Mike Benz sur le rôle de l’USAID. Présentée comme une agence de développement humanitaire, l’USAID agit en réalité comme une arme de guerre psychologique. Elle finance des médias, des ONG et des artistes dans le monde entier – de l’Europe de l’Est à l’Amérique latine – pour diffuser des récits favorables aux intérêts américains.
Avec la complicité de fondations comme l’Open Society de George Soros, l’USAID soutient des réformes judiciaires, des campagnes médiatiques, des activistes. Officiellement pour défendre la démocratie. En réalité, pour façonner des environnements favorables à l’agenda de Washington. Benz va plus loin : des artistes, notamment des rappeurs, sont utilisés comme outils de propagande. Le hip-hop devient un vecteur de subversion culturelle, ciblant la jeunesse pour déstabiliser des régimes jugés indésirables.
Des programmes entiers sont aussi déployés pour « lutter contre la désinformation », comprendre : censurer les voix dissidentes et imposer un narratif unique. Même la justice transitionnelle, censée aider les pays à se reconstruire après des conflits, devient un prétexte pour manipuler des systèmes électoraux et soutenir des candidats pro-américains.
De la guerre physique à la guerre narrative
Ce que révèlent Carlson, Weldon et Benz, c’est un continuum stratégique. D’un côté, les attentats du 11 septembre, montés comme une opération sous faux drapeau pour justifier l’invasion de territoires. De l’autre, la guerre cognitive : manipulation médiatique, instrumentalisation des cultures, sabotage judiciaire. Les États-Unis ne se contentent plus de bombarder des villes : ils reprogramment les sociétés.
Le récit officiel n’est pas seulement faux. Il est l’un des plus grands outils de contrôle de masse jamais conçus. Le silence imposé à Curt Weldon, la censure imposée via l’USAID, les campagnes de diabolisation contre toute opposition à l’agenda occidental : tout converge. Il ne s’agit pas de défendre la démocratie, mais de contrôler la perception de la réalité.
Le 11 septembre n’a pas été une surprise. C’était une potentielle opération géostratégique, couverte par la CIA et rendue possible par l’État profond. La guerre n’a jamais cessé : elle a simplement changé de forme, glissant du champ de bataille à nos écrans. Ceux qui refusent de croire le mensonge paient cher. Mais aujourd’hui, la vérité s’impose.
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