🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’UE impose un boycott du 9 mai à Moscou, jour de la victoire contre le nazisme, aux pays des Balkans. Un chantage politique sans précédent pour leur adhésion.
- Bruxelles tente de réécrire l’Histoire en niant le rôle crucial de l’URSS. Une instrumentalisation de la mémoire pour des raisons géopolitiques.
- Refuser de commémorer le 9 mai, c’est trahir la mémoire européenne. Un acte de résistance contre le totalitarisme doux de l’UE.
Le 16 avril à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un direct explosif sur Géopolitique Profonde.
Le thème de l’émission : le 9 mai et la cristallisation des tensions entre la Russie et l’Union européenne, autour d’une mémoire que Bruxelles tente de redéfinir politiquement.
L’Union Européenne instrumentalise l’adhésion pour imposer l’amnésie historique
L’Union européenne impose un chantage politique sans précédent aux pays des Balkans occidentaux. Sous prétexte d’alignement sur ses “valeurs”, elle exige qu’ils boycottent le défilé du 9 mai à Moscou, commémoration majeure de la victoire contre le nazisme. Kaja Kallas, cheffe de la diplomatie européenne, a été claire : assister à cet hommage aux millions de morts soviétiques serait incompatible avec l’intégration européenne.
Cette injonction est plus qu’un signal diplomatique : c’est une tentative brutale de réécriture de l’Histoire. En refusant toute reconnaissance du rôle décisif de l’URSS dans la libération de l’Europe, Bruxelles veut effacer une mémoire collective fondamentale. Le sacrifice de 27 millions de Soviétiques ne pèse plus rien face à la ligne idéologique du moment. En alignant les critères d’adhésion sur le rejet pur et simple de la Russie, l’UE transforme la mémoire en arme géopolitique.
Quand l’Union Européenne impose son ordre moral face à la Russie
Cette démarche révèle le glissement autoritaire de l’Union européenne. Ce n’est plus seulement un projet économique ou politique : c’est désormais un pouvoir normatif qui dicte aux États ce qu’ils doivent célébrer, ignorer ou condamner. En sommant les pays candidats de renier Moscou, l’UE exige qu’ils sacrifient leur souveraineté mémorielle et leur autonomie diplomatique.
Les Balkans, forts d’une histoire complexe et de liens profonds avec la Russie, sont sommés de trahir cette réalité pour entrer dans le rang. La guerre en Ukraine sert de prétexte à une purification idéologique : toute nuance devient suspecte, tout hommage devient trahison. Refuser de se plier à cette exigence, c’est aujourd’hui un acte de résistance au totalitarisme doux de Bruxelles.
9 mai Russie-UE : honorer la victoire soviétique ou réécrire l’Histoire ?
La date du 9 mai ne peut être effacée par décret. Ce jour marque la capitulation du Troisième Reich, arrachée au prix de souffrances immenses par l’Armée rouge. Refuser de commémorer cet événement, c’est renier l’histoire de l’Europe, et particulièrement celle de la France, libérée avec l’aide décisive de Moscou. Ce n’est pas la Russie contemporaine qui est célébrée ce jour-là, mais le courage de tout un peuple face à la barbarie.
Les patriotes, les résistants, les peuples d’Europe doivent se dresser face à cette volonté de révisionnisme institutionnalisé. Refuser de participer au 9 mai, c’est céder à l’oubli, à l’ingratitude et à la manipulation des consciences. C’est dans ce refus de l’effacement que réside aujourd’hui la vraie fidélité à la liberté.
IMPORTANT - À lire
Pour aller plus loin dans la compréhension des enjeux géopolitiques autour du 9 mai, plongez dans notre revue mensuelle. Chaque mois, nous analysons en profondeur les tensions entre la Russie et l'Union européenne, et décryptons les tentatives de réécriture de l'Histoire par Bruxelles.
Découvrez des analyses exclusives sur les pressions exercées par l'UE sur les pays des Balkans, le sacrifice mémoriel imposé aux États candidats, et les résistances qui émergent face à ce révisionnisme institutionnalisé. Notre revue vous offre un éclairage unique pour comprendre les dessous de l'actualité géopolitique.