🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 8 mai, découvrez Alexandra Brazzainville, Maître Danglehant et Stéphanie Reynaud dans La Grande Émission pour discuter de l’affaire Trogneux.
- Les 14 et 15 mai, la cour d’appel rejugera Natacha Rey et Amandine Roy. Malgré son état de santé critique, aucun report n’est accordé.
- L’enquête de Natacha Rey sur Brigitte Macron, initialement marginalisée, résonne désormais à l’international, soulevant des questions sur la liberté d’expression en France.
Le 8 mai à 19h, Alexandra Brazzainville, Maître Danglehant et Stéphanie Reynaud sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Alexandra Brazzainville est une personne intersexe atteinte du syndrome de Klinefelter, une condition génétique caractérisée par la présence de deux chromosomes X et d’un chromosome Y. Forte de son expérience et de son parcours, elle s’engage activement dans la dénonciation des dérives de certaines associations LGBT concernant la transition des mineurs et œuvre avec détermination pour la protection des enfants contre toutes formes de violence.
Maître Danglehant, quant à lui, est un avocat reconnu pour son engagement en faveur des droits des citoyens. Sa carrière est jalonnée de combats juridiques contre les abus institutionnels et les injustices sociales. Défenseur des causes populaires, il incarne une voix juridique puissante qui s’oppose à la concentration du pouvoir et plaide pour une démocratie plus participative et respectueuse des libertés individuelles. Ces deux personnalités, bien que venant d’horizons différents, partagent une même vision critique du système politique actuel et s’efforcent de promouvoir un véritable renouveau démocratique en France.
Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.
Affaire Natacha Rey Brigitte Macron : une justice implacable face à une accusée mourante
Les 14 et 15 mai prochains, la cour d’appel de Paris doit rejuger l’affaire opposant Natacha Rey et Amandine Roy à Brigitte Macron. Une audience que l’avocat de Natacha Rey qualifie d’acharnement judiciaire, étant donné l’état de santé dramatique de sa cliente. D’après les certificats médicaux transmis à la justice, la journaliste, à l’origine de l’enquête controversée sur l’identité de Brigitte Macron, est aujourd’hui alitée, incapable de parler, et condamnée selon ses médecins à 3 mois de vie.
Selon la défense, Natacha Rey est victime depuis des années d’un harcèlement systématique, alimenté par la pression politique et médiatique. Ce climat aurait contribué à une dégradation rapide de sa santé. Le procès en appel, dans ces conditions, ne ressemble pas à une procédure équitable. Il s’agit d’une audience à laquelle l’accusée ne pourra pas assister, ni se défendre, ce qui interroge, selon plusieurs observateurs, le respect des droits fondamentaux garantis par les conventions internationales.
Une affaire française qui résonne à l’international
Ce dossier, initialement marginalisé, a depuis largement dépassé les frontières françaises. Enquête indépendante d’abord discrète, le travail de Natacha Rey sur l’identité supposée de Brigitte Macron a rapidement circulé en ligne, alimentant un débat planétaire. Des médias et influenceurs aux États-Unis, en Russie et dans d’autres pays ont repris ou relayé cette affaire, provoquant une attention croissante autour de ce que certains appellent un “scandale d’État”.
En France, cependant, le traitement médiatique reste verrouillé. La quasi-totalité des grands titres d’information rejettent en bloc les questions posées par l’enquête de Natacha Rey, assimilant rapidement ses auteurs à des figures complotistes. Cette divergence entre la curiosité à l’étranger et le rejet intérieur alimente un sentiment d’omerta. Pour l’avocat de Natacha Rey, cette disproportion médiatique souligne l’inconfort d’un système incapable de tolérer des enquêtes indépendantes lorsqu’elles touchent aux plus hautes sphères du pouvoir.
Le procès en appel, entre bataille juridique et urgence humaine
Ce nouveau procès ne sera ni équitable, ni contradictoire. Natacha Rey, comme en première instance, ne pourra pas comparaître. Les demandes de report déposées par la défense ont été systématiquement rejetées. Son avocat dénonce une procédure expéditive, qui prive sa cliente de ses droits les plus élémentaires. L’affaire dépasse désormais la simple dimension judiciaire : elle pose une question humaine urgente. Une femme malade, en fin de vie, est traînée devant les tribunaux sans qu’on lui accorde les moyens de se défendre.
Amandine Roy, co-accusée, continue de dénoncer une injustice flagrante. Pour elle, comme pour les soutiens de Natacha Rey, ce procès symbolise une volonté de dissuader toute enquête indépendante sur les zones d’ombre du pouvoir.
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