Les expériences immondes d’Alfred Kinsey couvertes par la CIA !

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez comment la fondation Rockefeller a financé Alfred Kinsey pour révolutionner la sexologie et imposer une nouvelle doxa sexuelle.
  • Apprenez comment les recherches de Kinsey ont servi les élites mondialistes en banalisant la pédophilie et en fragilisant la famille.
  • Comprenez l’impact de Kinsey sur l’éducation sexuelle et la logique d’endoctrinement cachée derrière cette façade de modernité.
  • Explorez les révélations de Marion Sigaut sur les manipulations et les crimes derrière le mythe d’Alfred Kinsey, couvert par la CIA.

Le 9 juin à 19h, Marion Sigaut est l’invitée de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Marion Sigaut est une historienne et conférencière française, spécialiste du XVIIIe siècle. Elle a publié plusieurs ouvrages sur l’histoire religieuse, politique et sociale de la France. Elle se définit comme femme, française, catholique et patriote, et critique la censure et la manipulation de l’histoire officielle.
Elle nous présente ce soir son dernier ouvrage Sexologie et mensonges publié aux éditions Ré-histoire pour tous.

Kinsey, bras armé des élites mondialistes

Face caméra Marion Sigaut démonte le mythe Kinsey, révélant le programme de subversion sociale conçu au plus haut niveau. La fondation Rockefeller n’a pas simplement soutenu Alfred Kinsey : elle a conçu avec lui une offensive idéologique sans précédent.

Loin d’un simple projet scientifique, ce fut un outil de guerre culturelle. Kinsey a été mandaté pour pulvériser les repères moraux traditionnels et désintégrer la cellule familiale. Le sexe est devenu terrain d’endoctrinement. La sexualité infantile, objet d’études falsifiées. La pédophilie, rendue “étudiable”, donc banale.

Ce basculement ne fut ni spontané ni accidentel. Il a été programmé, financé, mis en récit. Les “recherches” de Kinsey ont fourni une façade scientifique à des ambitions politiques. En manipulant les données, il a légitimé une vision dépravée du comportement humain. Derrière l’obsession statistique se cachait une intention précise : briser les fondements anthropologiques.

C’est pour cela que ses travaux furent protégés, promus, sanctuarisés. Ce n’est pas le savant qui a servi la vérité. C’est la vérité qui a été sacrifiée sur l’autel de la réingénierie sociale.

Pédophilie, bisexualité et sadomasochisme au cœur du système

Alfred Kinsey n’était pas un savant, mais un idéologue mutilé. Bisexuel torturé, il s’infligeait des douleurs extrêmes – allant jusqu’à insérer des objets dans son urètre – pour expier ses désirs homosexuels. Ce profil psychologique n’a pas éveillé la méfiance des institutions. Au contraire, il est devenu un modèle.

Parce qu’il portait en lui la négation de toutes les normes : sexuelles, sociales, morales. C’est cette capacité à tout transgresser qui a fasciné les élites mondialistes. Un homme dérangé, présenté comme un visionnaire. Un bourreau d’enfants, élevé au rang de référence académique.

Ses expériences sur les enfants relèvent de l’abomination. Les comportements sexuels des mineurs ont été enregistrés, minutés, compilés avec la froideur d’un bourreau nazi. Kinsey se rêvait scientifique, mais son laboratoire ressemblait à celui de Mengele. Ce n’est pas une métaphore : sa méthodologie est d’essence eugéniste, violente, totalitaire.

Ses travaux ne reposent sur aucune rigueur, mais sur la souffrance de victimes instrumentalisées. Et ces travaux ont été adoptés par les manuels scolaires. À l’école, désormais, on enseigne Kinsey. On initie les enfants selon ses dogmes. On parle de plaisir précoce, d’égalité des désirs, de fluidité des genres. L’école est devenue le prolongement de ses expériences.

Judith Reisman, le rempart éthique

Face à cette machine infernale, une femme a osé se dresser. Judith Reisman. Marquée à vie par le viol de sa fille, elle s’est lancée dans un combat solitaire contre le système Kinsey. Non pas pour des raisons personnelles seulement, mais par devoir de vérité.

Elle a démonté un à un les piliers du mythe. Elle a prouvé que les chiffres étaient truqués, les sources criminelles, les conclusions biaisées. Elle a révélé que Kinsey ne cherchait pas à comprendre l’homme, mais à le déconstruire. Ce qu’il voulait, c’était une humanité sans repères, sans limites, sans identité et sans valeurs.

Judith Reisman a payé le prix fort. Ostracisée, censurée, diffamée. Mais elle a tenu bon. Parce que son combat n’était pas idéologique, il était vital. Elle savait que laisser prospérer le modèle Kinsey, c’était condamner des générations entières à la confusion, à l’exploitation, à la perdition. Marion Sigaut s’inscrit dans ce sillage.

Avec Sexologie et mensonges, elle prolonge cette œuvre de salubrité intellectuelle et morale. Elle redonne à la science sa vocation première : servir la vérité, protéger les innocents, dévoiler les mensonges des puissants. Et elle le fait en dévoilant l’agenda caché des élites mondialistes, prêtes à tout pour façonner l’homme nouveau.

IMPORTANT - À lire

Vous voulez en savoir plus sur les dessous de la révolution sexuelle et ses liens avec l'agenda mondialiste ? Notre revue papier approfondit chaque mois ces sujets sensibles et dévoile les manipulations cachées derrière les événements. De Kinsey à Rockefeller, découvrez les véritables enjeux de cette transformation de société.

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