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Accrochez-vous : « la menace n’est pas Macron, c’est l’extrême droite ! »

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 3 juin, découvrez le reportage de Mike Borowski sur l’imposture antifasciste. Un camp devenu totalitaire, loin du dialogue.
  • À Paris, le « village antifasciste » exclut toute voix dissidente. Une mécanique bien rodée pour imposer une idéologie officielle.
  • Les antifas défendent Macron et Bruxelles, escortant le pouvoir au lieu de le combattre. Leur obsession de l’extrême-droite est une diversion.
  • L’extrême-gauche devient bras armé du système, chassant les idées non conformes. Leur imposture est totale.

Le 3 juin à 17h, Mike Borowski vous propose de découvrir un nouveau reportage de terrain sur le thème explosif de l’imposture antifasciste.

Antifascistes : l’imposture d’un camp devenu totalitaire

À Paris, fin mai, le « village antifasciste » n’avait rien d’un espace de dialogue. Ce rassemblement prétendait incarner la résistance à l’extrême-droite. En réalité, il en épousait les réflexes les plus autoritaires. Dès que notre présence en tant que Géopolitique Profonde a été identifiée, l’ordre a été donné de nous dégager. Pas de discussion, pas de contradiction tolérée. L’étiquette « fasciste » suffit à justifier l’exclusion. Ce que ces militants nomment « antifascisme » n’est plus qu’un prétexte pour écraser toute voix dissidente.

Derrière les banderoles et les discours radicaux, c’est une mécanique bien rodée : faire bloc autour d’une idéologie officielle, désigner un ennemi unique, et expulser tout ce qui ne rentre pas dans le cadre. Tous les courants de la gauche radicale étaient présents, et tous ont appliqué la même logique d’intimidation. Loin d’un contre-pouvoir, cette gauche agit désormais en milice de l’ordre établi.

Le fascisme, pour eux, c’est uniquement celui qu’ils inventent. Et dans ce glissement, un paradoxe éclate : en dénonçant le fascisme, ils en adoptent les codes — exclusion, violence symbolique, culte de l’idéologie unique — au point de devenir ce qu’ils prétendent combattre. C’est une dissonance cognitive flagrante : parler de liberté tout en l’écrasant à coups de dogmes.

Macron validé, Bruxelles sanctifiée

En posant une question simple aux participants — « Qui est le plus dangereux : Macron ou l’extrême-droite ? » — les réponses ont fusé, unanimes : c’est l’extrême-droite. Aucun n’a osé remettre en cause le président des violences policières, de la surveillance généralisée, de la casse sociale. Mieux encore : plusieurs ont défendu l’Union européenne, cette machine de guerre contre les peuples, au service des multinationales. Leur prétendu anticapitalisme disparaît aussitôt qu’il s’agit de Macron ou de Bruxelles.

Ces antifas ne combattent pas le pouvoir : ils l’escortent. Leur obsession de l’extrême-droite sert de diversion permanente pour justifier leur alignement sur l’État, le capital, les institutions supranationales. Ils ne défendent pas les travailleurs, ils ne luttent pas contre l’oppression. Ils protègent les structures mêmes qu’ils sont censés dénoncer. L’ennemi qu’ils désignent est une fiction commode, une figure repoussoir qui les dispense d’avoir à se battre contre les vrais responsables du chaos. Leur antifascisme est devenu une religion d’État, un écran de fumée pour cacher leur abdication politique.

L’extrême-gauche devenue bras armé du système

Ce que ces militants refusent, c’est la dissidence. Pas celle qui crie avec le vent, mais celle qui questionne les fondements. Tout ce qui échappe à leur grille de lecture est suspect, tout discours indépendant est une menace. Leur combat n’a plus rien de politique. Il est moral, religieux, fanatique. Ils ne cherchent pas à convaincre, ils cherchent à purger. La chasse aux idées non conformes est devenue leur unique programme.

Ce qui s’est passé à Paris n’est pas un détail. C’est la norme dans un camp qui s’enfonce dans l’idéologie, la censure et la répression. Ces antifascistes ne font plus face au pouvoir : ils en deviennent les supplétifs. Ils parlent d’égalité, mais imposent une seule vérité. Ils parlent de justice, mais piétinent la liberté. Leur imposture est totale. Et leur vraie fonction est désormais claire : neutraliser ceux qui refusent de se soumettre au mensonge dominant. Cette gauche ne combat plus le fascisme — elle l’imite, en pire, avec la bonne conscience pour bouclier.

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