Ancien militaire, il rompt le devoir de réserve et lance un appel critique aux généraux !

L'appel d’un soldat à une armée silencieuse secoue la France : dénonciation des élites, fracture militaire, et cri pour la souveraineté. L'appel d’un soldat à une armée silencieuse secoue la France : dénonciation des élites, fracture militaire, et cri pour la souveraineté.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • L’adjudant-chef Marc-Jean Clairval brise le silence après 22 ans de service, dénonçant une trahison des élites et la vente du pays à la découpe. Un appel choc aux généraux.
  • Il accuse l’effondrement moral et économique de la France, évoquant insécurité, immigration et perte de souveraineté. Un message brutal qui fracture l’armée.
  • En quelques jours, des centaines de milliers de vues et réactions. Clairval incarne le militaire patriote qui refuse de se taire face à la décadence.
  • Son appel aux généraux dénonce leur silence et compromission. L’armée, autrefois rempart, est-elle devenue un rouage du système mondialiste ?

Le 22 juillet à 19h, l’Adjudant-chef Marc-Jean Clairval est l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

L’Adjudant-chef Marc-Jean Clairval est un ancien sous-officier de l’armée française ayant servi pendant 22 ans. Fort d’une carrière opérationnelle marquée par la rigueur et l’engagement, il incarne une figure du soldat enraciné, fidèle à la nation plus qu’au pouvoir politique. À la retraite, il rompt volontairement le devoir de réserve, dénonçant frontalement la trahison des élites et l’effondrement de la souveraineté française.

L’appel d’un soldat à une armée silencieuse

L’appel fracassant de l’ancien adjudant-chef Marc-Jean Clairval résonne comme un uppercut dans une France en état de décomposition accélérée. Vingt-deux ans de service dans les rangs de l’armée française, puis le silence imposé par le devoir de réserve. Il décide pourtant de le briser, face à ce qu’il nomme une trahison généralisée des élites. Pour lui, le pays est vendu à la découpe : actifs stratégiques bradés, terres agricoles livrées à des intérêts étrangers, brevets technologiques cédés à la concurrence mondiale. La souveraineté, selon ses mots, n’est plus qu’un souvenir.

Ce n’est pas seulement un constat économique. Il évoque un effondrement moral : destruction des valeurs familiales, insécurité croissante, immigration incontrôlée, musèlement des opposants, disparition de la souveraineté monétaire et alimentaire. Il ne parle pas à la foule, il parle aux généraux. Ceux qui, selon lui, ont prêté serment à la France, pas à un président, ni à un exécutif. Il les appelle à sortir de leur torpeur, à se tenir debout face à la décadence. Son message, brutal mais net, révèle une fracture que l’État s’efforce de dissimuler : celle entre la base militaire et ses officiers supérieurs.

Un signal de rupture dans les rangs

L’onde de choc est immédiate. En quelques jours, des centaines de milliers de vues, partages, et commentaires enthousiastes ou révoltés sur les réseaux. L’homme incarne cette figure du militaire patriote, lucide et désabusé, qui refuse de se taire pendant que le pays s’effondre. Ce qu’il brise, c’est un tabou : celui d’un appel direct à la hiérarchie militaire pour faire face à un pouvoir jugé illégitime. Ce n’est pas un discours d’opinion, c’est une accusation frontale contre l’État profond et ses relais, y compris au sein des forces armées.

En ciblant les généraux, il frappe là où ça fait mal. Il dénonce leur silence, leur passivité, leur compromission. Le nom du général Thierry Burkhard revient comme symbole de cette armée alignée sur les directives mondialistes. Il affirme que l’armée, autrefois rempart de la nation, est désormais un rouage de plus dans le système. Le contraste est saisissant : d’un côté, une base potentiellement révoltée ; de l’autre, une élite militaire docile, soumise aux dogmes de Bruxelles et aux diktats d’un pouvoir désincarné.

L’armée française face à son propre serment

La question implicite que soulève cet appel est explosive : l’armée est-elle encore capable de défendre la France, ou est-elle devenue une structure bureaucratique, désarmée sur le plan moral ? L’adjudant-chef ne demande pas un coup d’État. Il exige que les officiers supérieurs se souviennent de ce à quoi ils ont juré fidélité. Une France libre, souveraine, indépendante. Non une technocratie sous tutelle étrangère. Ce rappel au serment n’est pas anodin. Il vise à réveiller la conscience d’hommes formés à protéger, non à obéir aveuglément.

Mais les faits sont là. L’armée, comme le reste de la haute fonction publique, est infiltrée par l’idéologie mondialiste. La doctrine de défense est dictée par l’OTAN, la souveraineté militaire diluée dans des alliances sans contrôle populaire. Les généraux qui osent parler sont mis au ban. Les autres collaborent en silence. Face à ce constat, les espoirs de résistance ne peuvent venir que d’une minorité lucide et déterminée, prête à braver l’institution pour servir la nation. Ce cri lancé sur les réseaux ne suffira pas à inverser le cours des choses. Mais il restera gravé comme un marqueur de rupture. Le système vacille. Et les premiers à le sentir, ce sont souvent ceux qui l’ont servi avec honneur.

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