Le 4 décembre à 19h, Salim Laibi, Sylvain Baron et Patrick Pasin sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Salim Laïbi, connu sous le pseudonyme « Le Libre Penseur, » est un écrivain, éditeur et essayiste français. Son dernier livre, Climate Terror, explore la géopolitique du changement climatique. Dans cet ouvrage, Salim Laïbi analyse comment les discours alarmistes autour du climat sont utilisés pour instaurer de nouvelles formes de dépendance et de contrôle global.
Sylvain Baron est un activiste politique et Gilet jaune. Il est également l’auteur de Révolte : Essai sur la légitimité et la planification de l’insurrection populaire en France.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Les diktats écologiques provoquent la ruine industrielle
Depuis plusieurs années, les politiques écologiques radicales redessinent le paysage industriel en Occident, sous prétexte de sauver la planète. L’interdiction programmée des véhicules thermiques n’est pas une transition écologique, mais un suicide industriel imposé par ces mêmes élites. Les voitures électriques, censées les remplacer, nécessitent des batteries produites à partir de métaux rares comme le lithium, le cobalt et le nickel, dont l’extraction provoque des ravages environnementaux et des abus humains dans les pays producteurs. Plus grave encore, ces ressources stratégiques sont majoritairement contrôlées par la Chine, ce qui place l’Occident dans une position de dépendance critique vis-à-vis de Pékin.
En Europe, l’arrêt des voitures thermiques condamne des millions d’emplois dans l’automobile, un secteur clé de l’économie depuis plus d’un siècle. Les usines ferment les unes après les autres, tandis que les consommateurs doivent s’endetter pour des véhicules électriques plus chers et moins autonomes. Cette politique sacrifie non seulement la classe moyenne, mais expose aussi les nations européennes à un effondrement économique programmé. Pendant ce temps, des pays comme les États-Unis ou l’Inde refusent ces diktats écologiques et conservent leur industrie automobile.
L’éolien est une arnaque déguisée en transition verte
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Il en est de même pour les éoliennes. Vantées comme une solution énergétique durable, elles sont en réalité un désastre écologique et financier. Leur production d’électricité est intermittente, dépendante des conditions météorologiques, et nécessite constamment le secours de centrales thermiques pour compenser leur inefficacité. Pire, l’installation massive de parcs éoliens détruit des écosystèmes entiers, défigure les paysages ruraux, et menace les espèces volantes comme les oiseaux migrateurs.
Sur le plan économique, l’éolien est une arnaque organisée. Les projets sont financés par des subventions publiques massives, qui enrichissent les grands groupes industriels aux dépens des contribuables. Ces structures, lorsqu’elles arrivent en fin de vie, deviennent des déchets impossibles à recycler, polluant davantage la planète qu’elles ne la préservent. Malgré ces réalités, les gouvernements persistent à imposer cette technologie, en parfait alignement avec les intérêts des lobbys et des financiers mondialisés.
Le développement durable, une arme déguisée contre l’Occident
Le concept de développement durable, vendu comme une nécessité pour protéger la planète, dissimule une idéologie profondément malthusienne. Depuis les années 1990, ce concept a été popularisé par des élites globalistes, dont les fondations et organisations comme l’ONU, dans le but de promouvoir un contrôle strict de la démographie mondiale. Sous cette influence, une propagande écologique culpabilise les populations, notamment les jeunes, qui adoptent des comportements extrêmes : stérilisation volontaire, refus d’enfanter, ou même des cas de dépression climatique.
L’objectif réel de cette stratégie est de limiter la croissance démographique en Occident, tout en laissant d’autres régions du monde poursuivre leur expansion. En réduisant volontairement leur natalité, les pays occidentaux s’appauvrissent et perdent leur influence face à des puissances comme la Chine ou l’Inde. Le développement durable n’est pas une solution pour l’environnement, mais une arme pour remodeler le monde selon les ambitions des élites financières, qui prônent la décroissance pour la majorité tout en continuant à accumuler leurs richesses.
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