🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’assimilation est devenue tabou, remplacée par un multiculturalisme imposé, fracturant la société française.
- L’insécurité croissante est le symptôme d’un État démissionnaire et d’un cadre républicain effondré.
- Être Français est désormais un combat identitaire, face à une élite qui criminalise le patriotisme.
- Une génération refuse la culpabilité et revendique une France fière de son histoire et de ses valeurs.
Le 7 juin à 9h, Madi Seydi est l’invitée du Libre Journal, animé par Mike Borowoski, sur Géopolitique Profonde.
Madi Seydi est éditorialiste sur CNEWS et Sud Radio. Ancienne porte-parole des jeunes de l’UMP, elle est directrice conseil en communication d’influence. Née au Sénégal et profondément attachée à la culture française, elle défend une vision ferme de l’assimilation. Elle est l’auteure de Française, venue d’ailleurs.
La fracture culturelle imposée
L’assimilation n’est plus une politique, c’est un mot tabou. Le modèle français, fondé sur l’intégration par l’école, la langue et les valeurs républicaines, a été méthodiquement démantelé. L’immigration de masse, couplée à une idéologie multiculturaliste, a créé une société éclatée, incapable de produire une cohésion nationale.
Au lieu d’intégrer, l’État a renoncé. Le droit à la différence a remplacé le devoir d’adhésion. Ce glissement a transformé des citoyens potentiels en communautés juxtaposées, parfois hostiles à la culture d’accueil.
Ce rejet de l’assimilation a été activement orchestré par une gauche culturelle qui a fait de la repentance son dogme. Elle a substitué à l’amour de la France une culpabilité permanente, transformant l’histoire nationale en procès. Les nouveaux arrivants ne sont plus invités à embrasser un héritage, mais à en dénoncer les failles.
Résultat : on forme des générations coupées de la mémoire collective, dressées contre leur propre pays d’adoption. L’assimilation est interdite par ceux qui ont intérêt à maintenir la fragmentation.
L’insécurité, symptôme d’un effondrement
La montée de l’insécurité en France ne relève pas d’un phénomène marginal. Elle est la conséquence directe d’un désengagement de l’État et d’un aveuglement idéologique. Zones de non-droit, agressions quotidiennes, violences ciblées contre les forces de l’ordre… l’espace public devient un champ de tensions permanentes.
Ce n’est pas un hasard si les statistiques de la délinquance explosent dans les quartiers où la cohésion nationale a disparu. L’effondrement du cadre républicain laisse place à une logique tribale, où la force remplace la loi.
Loin d’être combattue avec rigueur, cette insécurité est relativisée, voire justifiée par certains discours politiques. L’excuse sociale devient une arme pour déresponsabiliser les coupables et culpabiliser la société. Cette inversion morale a un coût : la perte de confiance des citoyens, la fuite des classes moyennes, l’atomisation du lien social.
La sécurité n’est pas une promesse de campagne, c’est la condition première de la liberté. L’insécurité de masse n’est pas un dysfonctionnement, c’est le symptôme d’un système qui a cessé de défendre sa population.
Être Français, un combat identitaire
Être Français ne va plus de soi. Ce n’est plus un héritage partagé, mais une identité contestée. Les élites politiques et culturelles ont sapé les fondements du sentiment national, rendant honteux ce qui devrait unir. Le patriotisme est moqué, la fierté nationale criminalisée. Dans ce climat, la transmission des valeurs, la mémoire des combats passés et l’attachement à la nation sont dénigrés. Être Français devient une revendication subversive, presque suspecte.
Mais ce rejet crée son contraire. Une génération de Français redécouvre le sens de l’appartenance. Elle refuse d’être définie par la culpabilité ou la repentance. Elle revendique une France qui ne s’excuse pas, qui enseigne son histoire et impose ses règles. Être Français aujourd’hui, c’est choisir un camp : celui de la continuité historique contre la dilution identitaire.
Ce n’est pas une question d’origine ou de couleur, mais de loyauté, de volonté et de respect des principes fondateurs. La France ne meurt pas, elle attend qu’on la défende.
IMPORTANT - À lire
La France s'effondre sous le poids de l'immigration de masse, du multiculturalisme et de l'insécurité. Les élites ont abandonné l'assimilation et sapé l'identité nationale. Mais une résistance s'organise, une génération se lève pour défendre son héritage.
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