Exclusif : qui est vraiment Bénédicte De Perthuis, responsable du jugement de Marine Le Pen ?

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EXCLUSIF : QUI EST VRAIMENT BÉNÉDICTE DE PERTHUIS, REPONSABLE DU JUGEMENT DE MARINE LE PEN ? | GPTV

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Bénédicte de Perthuis, juge ayant condamné Marine Le Pen, est-elle irréprochable ? Une enquête révèle des liens troublants avec des réseaux de pouvoir.
  • Sa société, Golden Glaouis rebaptisée juste avant le verdict, soulève des questions sur ses motivations et son intégrité.
  • Les connexions de son mari avec Jean-Baptiste Descroix-Vernier mettent en doute l’indépendance de la justice. Qui est vraiment Bénédicte de Perthuis ?

Le 10 avril à 12h30, David Pliquet est l’invité de Nicolas Stoquer pour un sujet pimenté en direct sur Géopolitique Profonde : qui est vraiment Bénédicte de Perthuis, la juge dont la décision a bouleversé la scène politique française ?

David Pliquet, ingénieur en mécanique et productique, est le fondateur de la start-up E-Mage-In 3D, spécialisée en modélisation, impression 3D et réalité augmentée. Également journaliste pour Citizen Light, il anime des émissions explorant les enjeux sociétaux avec une approche critique. Passionné par la culture bretonne, il s’engage à valoriser l’innovation et le patrimoine de sa région.

Qui est Bénédicte de Perthuis ? Une juge au cœur du pouvoir judiciaire

Bénédicte de Perthuis n’est pas une juge ordinaire. C’est elle qui a prononcé la condamnation choc de Marine Le Pen, l’écartant pour cinq ans de toute élection. Présentée comme irréprochable par la presse officielle, cette figure de la lutte contre la criminalité financière est devenue en quelques semaines une icône du système judiciaire. Mais derrière le vernis de l’intégrité, les premiers éléments d’une enquête sérieuse dessinent un tout autre portrait.

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Ancienne juge aux affaires familiales au Havre, elle gérait parallèlement, avec son mari, une société civile au nom pour le moins évocateur : Golden Glaouis. Traduction crue : les « couilles en or ». Un patrimoine personnel de plus d’un million d’euros, déclaré dans une structure privée opaque, au moment même où elle siégeait dans des tribunaux pour enfants. Cette société, discrètement rebaptisée Chassezac Corporation, a vu son nom modifié… trois semaines avant le verdict contre Le Pen. Un timing troublant, qui interroge sur l’opportunité et les motivations réelles de ce changement.

Bénédicte de Perthuis : ses connexions avec les réseaux du pouvoir profond

Ce n’est pas un simple hasard : le nom Golden Glaouis renvoie immédiatement à Jean-Baptiste Descroix-Vernier, le sulfureux multimillionnaire du numérique, passé maître dans l’art de brouiller les pistes entre pornographie, finance dématérialisée et charité médiatique. Fondateur initial d’une holding au nom identique, Descroix-Vernier incarne à lui seul l’ambiguïté du pouvoir numérique et moral. Même si juridiquement distinctes, les deux structures évoquent un entrelacs de références culturelles et économiques identifiables par tous les initiés.

Pierre de Perthuis, mari de la juge et associé direct dans Golden Glaouis, fait ainsi planer un doute sur les connexions indirectes entre pouvoir judiciaire et sphères d’influence proches des réseaux oligarchiques. Le déplacement du siège social, la discrétion dans les statuts, la rapidité des modifications administratives : tout témoigne d’un souci de dissimulation peu compatible avec l’image de probité exigée d’un magistrat à la manœuvre dans une affaire éminemment politique.

Bénédicte de Perthuis incarne-t-elle une justice devenue intouchable ?

Ce dossier révèle une évidence glaçante : les juges sont aujourd’hui placés hors d’atteinte, sanctuarisés par une presse complice, érigés en nouveaux prêtres de la République. Toute enquête, toute interrogation sur leurs liens financiers ou familiaux est immédiatement taxée d’“attaque fasciste” ou de “complotisme”. Pourtant, dans une démocratie authentique, aucun pouvoir ne saurait échapper au contrôle du peuple.

Bénédicte de Perthuis incarne cette dérive. Derrière l’image d’une femme “exemplaire”, on trouve un système verrouillé, où l’entre-soi judiciaire, les intérêts économiques privés et les décisions à fort impact politique se croisent sans jamais être inquiétés. Ce mélange explosif entre pouvoir de juger et capital familial soulève une réalité brutale : la justice est devenue un territoire sacré, protégé de toute remise en question, même lorsqu’elle vacille sur ses fondements éthiques les plus élémentaires.

L’affaire Bénédicte de Perthuis illustre combien il est crucial, dans une démocratie, de pouvoir interroger les trajectoires et les intérêts des figures clés de la justice. Alors, qui est réellement Bénédicte de Perthuis ? Une femme de loi irréprochable ou le visage d’un pouvoir judiciaire opaque ?

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