🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le Pr Jean-Bernard Fourtillan interné pour ses découvertes sur la valentonine, une menace pour Big Pharma et ses profits. Découvrez son histoire.
- Comment l’industrie pharmaceutique silence les voix dissidentes : financements coupés, publications bloquées, isolement. Un système de contrôle implacable.
- Les traitements naturels et non brevetables, une hérésie pour Big Pharma. Le Pr Fourtillan a osé prouver leur efficacité, au prix de sa liberté.
Le 31 mai à 9h, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, Cédric Stalmeier sont les invités de Mike Borowski, dans Le Journal des Controverses de Géopolitique Profonde !
Le Professeur Jean-Bernard Fourtillan est un pharmacologue français, connu pour ses recherches sur la valentonine. Marginalisé pour ses positions critiques envers Big Pharma, il a été interné en 2020, devenant une figure emblématique de la dissidence scientifique.
Neutraliser la dissidence scientifique par l’isolement
Les grandes figures scientifiques qui s’écartent des protocoles dominants sont systématiquement marginalisées, surveillées et discréditées. L’appareil politico-médiatique joue un rôle central dans cette mise à l’écart. Dès qu’un chercheur remet en cause les modèles imposés par Big Pharma, il devient une cible : ses financements sont coupés, ses publications bloquées, ses collaborations rompues. Cette stratégie d’isolement ne laisse aucune place au doute : il ne s’agit pas de science, mais de contrôle, d’obéissance et de soumission.
Certains scientifiques, comme le professeur Didier Raoult, en ont fait les frais. Malgré une carrière exceptionnelle et des découvertes médicales saluées à l’international, son indépendance intellectuelle et ses prises de position contraires aux discours officiels l’ont propulsé en dehors du cercle « autorisé ». Attaques judiciaires, campagnes médiatiques et sanctions administratives se sont alors multipliées, illustrant la volonté d’empêcher toute voix dissidente d’accéder à l’espace public. Le message est clair : la science n’est libre que dans les limites fixées par l’industrie pharmaceutique.
Ce processus est orchestré avec minutie. Les institutions universitaires, dépendantes des subventions publiques et privées, deviennent des vecteurs de censure. Le chercheur qui ne rentre pas dans le rang perd sa crédibilité, ses financements et sa tribune. À travers ces mécanismes, le système verrouille toute forme de contre-pouvoir scientifique. Ce n’est pas seulement la liberté académique qui est en jeu, mais l’avenir même de l’innovation médicale indépendante.
Le professeur Fourtillan : interné pour avoir dérangé
Le professeur Jean-Bernard Fourtillan concentre tout ce que le système pharmaceutique redoute : compétence, indépendance et efficacité. Ses travaux sur la valentonine, une molécule naturelle impliquée dans l’équilibre de l’horloge biologique, ont mis en évidence des effets thérapeutiques majeurs dans le traitement de troubles neurologiques et psychiatriques. Sa proposition est simple mais explosive : un traitement naturel, peu coûteux, sans dépendance, et hors des circuits industriels classiques. Pour Big Pharma, c’est une hérésie économique.
Mais au lieu d’un débat scientifique, c’est la répression qui s’est abattue sur lui. Fourtillan a été interné d’office dans un établissement psychiatrique, privé de liberté, de moyens de communication et de tout droit au contradictoire. Ses recherches, ses documents, ses échantillons ont été saisis ou détruits. Aucun média mainstream n’a remis en cause la version officielle. Il a été présenté comme un illuminé, un danger, un complotiste. Pourtant, aucun scandale, aucune plainte sérieuse ne justifie un tel acharnement. Seulement une certitude : il dérange.
L’État et l’industrie ont agi de concert. En l’évinçant du champ scientifique, ils ont neutralisé une découverte dont le potentiel pouvait bouleverser l’ordre établi. Il ne s’agit pas d’un cas isolé, mais d’une stratégie d’intimidation systématique : faire de chaque chercheur indépendant un exemple, pour que les autres se taisent. Fourtillan n’est pas en danger pour ce qu’il a dit, mais pour ce qu’il a prouvé.
Brevets, monopoles et sabotage médical
L’univers pharmaceutique repose sur une logique implacable : protéger les brevets, verrouiller les marchés. Les traitements curatifs, surtout s’ils sont naturels et non brevetables, représentent une menace existentielle pour une industrie fondée sur la chronicité. L’idée même qu’un remède puisse sortir du circuit industriel est inacceptable. Il ne s’agit pas seulement de profits, mais de contrôle. Guérir, dans ce modèle, n’est pas une finalité, c’est une erreur de stratégie.
Le professeur Fourtillan a mis à nu cette réalité. En prouvant qu’un traitement non breveté pouvait faire mieux que des cocktails chimiques vendus à prix d’or, il a brisé un tabou. Ses travaux, ses résultats, son audace l’ont rendu dangereux. Il ne s’est pas contenté de théoriser. Il a testé, mesuré, publié. Et c’est ce que le système ne pardonne pas. Car tout ce qui échappe au pipeline pharmaceutique doit être soit récupéré, soit détruit.
La machine s’est donc mise en marche : refus d’AMM, mise en doute des protocoles, exclusion des réseaux de recherche. L’objectif n’est pas d’évaluer la validité d’un traitement, mais de préserver l’écosystème économique. Les patients, la santé publique, la recherche indépendante deviennent secondaires. Dans ce monde, la vérité médicale ne triomphe pas. Elle est traquée, censurée, effacée. Et ceux qui la portent finissent seuls, menacés, déchus.
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