Le 4 novembre à 19h, Marc Daoud, Romain Pauc, Estelle Brattesani et Lauriane Bernard sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.
Romain Pauc est un politologue et essayiste reconnu, spécialisé dans l’étude des mouvements sociaux et des mutations économiques en France. Il est apprécié pour sa capacité à décrypter les tendances sociopolitiques et économiques, en apportant un éclairage unique sur les politiques publiques et leurs impacts sur la population. Avec une vision engagée, il n’hésite pas à aborder des sujets complexes avec une clarté qui rend ses analyses accessibles au grand public.
Estelle Brattesani est une journaliste française collaborant avec le magazine Nexus, où elle couvre divers sujets d’actualité, notamment politiques. En mai 2024, elle a rédigé un article sur le Traité pandémies et le Règlement sanitaire international à l’OMS, soulignant les préoccupations d’un syndicat de professionnels de la santé quant à la souveraineté nationale en matière de santé publique. En parallèle de son activité journalistique, Estelle Brattesani est également comédienne, auteure et chanteuse.
Lauriane Bernard est une journaliste indépendante française spécialisée dans les questions agricoles et européennes. Elle a également produit des vidéos d’analyse politique, comme celle sur la loi concernant les dérives sectaires.
Big Pharma dans nos assiettes
Les grandes firmes pharmaceutiques imposent aujourd’hui une vaccination de masse aux animaux d’élevage, influençant directement la composition de nos aliments. Sous le prétexte de la prévention sanitaire, cette stratégie conduit à l’introduction de composants chimiques dans notre chaîne alimentaire, dont certains sont interdits pour les humains. Les consommateurs, souvent mal informés sur les pratiques de l’industrie alimentaire, ignorent que ces substances se retrouvent dans leur assiette. Loin de n’être qu’un bienfait sanitaire, ces vaccins et additifs répondent surtout à des logiques financières colossales, plaçant les laboratoires au cœur de la production alimentaire mondiale.
Ce modèle, qui privilégie les intérêts de Big Pharma et de l’agro-industrie, est permis par des réglementations publiques étonnamment souples, qui facilitent la diffusion de produits controversés dans notre alimentation. Le consommateur subit donc, sans le savoir, les effets de résidus chimiques présents dans les produits de consommation courante, compromettant leur qualité et leur sécurité. Derrière cette situation, se dessine un système lucratif, où le bien-être de la population est relégué au second plan au profit d’objectifs financiers.
Vaccination animale : un monopole lucratif
L’industrie pharmaceutique, jadis cantonnée au domaine de la santé, s’invite désormais dans les systèmes alimentaires globaux en y imposant ses règles. Les géants de la pharmacie, sous couvert de prévenir les maladies animales, se positionnent en fournisseurs uniques de solutions vaccinales pour les élevages. Avec la mise en place de vaccins supposés prévenir des maladies telles que la fièvre catarrhale, les laboratoires garantissent leur monopole, s’assurant des revenus conséquents tout en renforçant leur influence sur les normes sanitaires mondiales.
En utilisant la vaccination animale comme levier, Big Pharma obtient un contrôle croissant sur la chaîne alimentaire et les pratiques d’élevage. Ce système, largement encouragé par les pouvoirs publics, garantit aux laboratoires un monopole qui va bien au-delà du secteur médical, s’étendant désormais à l’agroalimentaire. En outre, les coûts astronomiques de ces programmes de vaccination profitent directement aux firmes, qui placent leurs profits avant la santé publique et l’environnement. Ce modèle représente ainsi un système de domination globale de l’alimentation, les laboratoires ayant la possibilité d’orienter le contenu de nos assiettes à leur guise, sans réelle opposition.
Une stratégie de contrôle alimentaire
La présence de résidus chimiques dans notre alimentation n’est pas le fruit du hasard. Derrière ces pratiques, se trouve une politique permissive vis-à-vis des grands groupes pharmaceutiques et des industries agroalimentaires, facilitée par les régulateurs publics. Les injections administrées aux animaux contiennent des substances dont la toxicité est avérée pour l’humain, mais qui sont malgré tout tolérées dans la chaîne alimentaire. Cette permissivité de l’État, loin d’être accidentelle, expose directement les consommateurs à des produits aux effets néfastes, compromettant la santé publique sur le long terme.
L’impact de ces substances toxiques sur la population est inévitable. En intégrant ces résidus issus de la vaccination animale dans l’alimentation, les laboratoires imposent une nourriture modifiée et potentiellement dangereuse. Cette politique, qui semble délibérément permissive, laisse penser que l’État joue un rôle dans la diffusion de ces produits, au détriment de la santé des citoyens. Plus qu’une simple stratégie sanitaire, cette approche contribue à la mainmise des élites sur les ressources alimentaires, sous couvert de santé publique. La logique de contrôle de l’alimentation mondiale devient de plus en plus apparente.
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