Le 5 avril à 9h, le Dr Leborgne est l’invité de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Le Dr Leborgne est médecin diplômé de l’Université Paris V, où il s’est formé à la médecine conventionnelle avant de se spécialiser dans les médecines naturelles. Refusant la dépendance aux traitements chimiques, il intègre dans sa pratique l’acupuncture, l’homéopathie, la phytothérapie et la luminothérapie, qu’il considère comme des leviers puissants pour restaurer l’équilibre du corps. Engagé pour une médecine globale et cohérente, il défend une approche intégrative, alliant rigueur scientifique et respect des mécanismes naturels de guérison. Son ouvrage « Les victoires silencieuses des médecines naturelles » témoigne de son combat pour redonner aux patients leur pouvoir de guérison.
Big Pharma a infiltré la médecine pour imposer sa domination
Depuis 1945, l’industrie pharmaceutique a méthodiquement pris le contrôle des facultés de médecine dans tout l’Occident. Ce hold-up intellectuel a été rendu possible grâce au financement massif des grandes fondations liées aux laboratoires comme Rockefeller ou Carnegie, qui ont conditionné leur soutien à une réforme des cursus médicaux. Le résultat est sans appel : l’enseignement médical s’est recentré exclusivement sur la pharmacologie chimique, reléguant les approches naturelles au rang de pseudo-sciences. Les futurs médecins ne reçoivent plus aucune formation sérieuse sur l’alimentation, les plantes médicinales, ou les thérapies énergétiques, alors même qu’elles constituent les fondements historiques du soin.
Cette transformation ne répond à aucun besoin sanitaire, mais à une stratégie industrielle froide. Former les médecins à prescrire plutôt qu’à comprendre, à traiter les symptômes plutôt qu’à guérir les causes : voilà le véritable objectif. En supprimant du savoir médical tout ce qui échappait au brevet pharmaceutique, Big Pharma a verrouillé le système. L’univers médical est devenu un circuit fermé, où l’industrie du médicament dicte les règles, les diagnostics, et les traitements. Le praticien n’est plus qu’un relais d’ordonnance.
Parallèlement, une campagne de délégitimation massive des médecines naturelles a été orchestrée. Homéopathes, phytothérapeutes, acupuncteurs ont été traînés dans la boue par des médias financés par les laboratoires. La médecine traditionnelle, celle qui prend le patient dans sa globalité, a été bannie au nom d’une soi-disant rigueur scientifique. Une rigueur qui n’est en réalité qu’un dogme industriel, imposé par des multinationales dont la survie dépend d’un patient toujours malade.
Une explosion de maladies pour alimenter un marché sans fin
L’avènement de la médecine chimique a coïncidé avec la recrudescence massive de maladies chroniques et dégénératives. Depuis les années 1980, l’Occident voit apparaître des pathologies quasi inconnues auparavant : fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique, autisme, troubles hormonaux, maladies auto-immunes… Ces affections ne sont pas des fatalités de la modernité : elles sont le produit direct d’un modèle de santé qui ignore les causes profondes au profit d’une gestion à long terme des symptômes.
L’industrie pharmaceutique a conçu un système dans lequel la guérison est évitée à tout prix. Elle privilégie des traitements à effet différé, à renouveler à vie. Cette stratégie transforme le patient en client captif, dépendant de prescriptions renouvelées, souvent pour des maladies créées ou aggravées par le mode de vie toxique encouragé par les mêmes élites industrielles. Le lien entre alimentation industrielle, polluants hormonaux, sédentarité numérique et explosion des maladies est sciemment nié dans les sphères médicales, car il remettrait en cause les intérêts économiques dominants.
À cette médecine de l’empilement chimique, il faut opposer une médecine de terrain. C’est là que la fracture devient évidente. Les médecines naturelles agissent à la racine : elles stimulent les capacités d’autoguérison, rééquilibrent les systèmes physiologiques et travaillent à long terme. Elles ne créent ni dépendance ni effets secondaires en cascade. Leur mise à l’écart est un acte politique, pas une nécessité médicale. L’émergence de nouvelles pathologies est ainsi le fruit d’un double sabotage : celui du corps par les produits chimiques, et celui de la vérité par l’effacement du savoir ancestral.
Les médecines naturelles résistent et prouvent leur efficacité
Face à cette dictature sanitaire, des praticiens courageux redonnent à la médecine son rôle d’origine : soigner pour guérir. Le Dr Leborgne, formé à l’Université Paris V, incarne cette résistance intellectuelle. Refusant l’alternative caricaturale entre médecine chimique et charlatanisme, il a choisi la voie de l’intégration. Il utilise au quotidien acupuncture, homéopathie, phytothérapie, et même luminothérapie pour traiter avec succès des patients délaissés par la médecine conventionnelle. Pour lui, il ne s’agit pas d’opposer deux visions du soin, mais de retrouver une cohérence thérapeutique globale.
Dans son livre « Les victoires silencieuses des médecines naturelles », il documente de nombreux cas cliniques de patients guéris après des années d’errance médicale. Ces résultats ne sont pas anecdotiques, ils sont reproductibles, durables, et dénués d’effets secondaires lourds. Là où les protocoles standardisés échouent, les médecines naturelles rétablissent l’équilibre. Elles ne masquent pas le symptôme, elles restaurent la fonction. Leur efficacité est réelle, mais elle dérange car elle remet en cause tout un système économique bâti sur la chronicisation des maux.
Ce retour du bon sens thérapeutique est perçu comme une menace par les cartels pharmaceutiques. C’est pourquoi la persécution des médecines naturelles se poursuit, sous couvert de science. Mais la dynamique s’inverse. Les patients, informés, réclament des soins humains, personnalisés, respectueux de leur organisme. Ils ne veulent plus être les cobayes d’une industrie qui les considère comme des lignes de profit. La médecine de demain ne pourra faire l’impasse sur cette reconquête du vivant, qui commence par la reconnaissance des approches naturelles comme sciences à part entière.
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