Autisme, troubles, TDAH : le mensonge de Big Pharma sur la santé des enfants

Big Pharma et médicalisation de la jeunesse : enquête sur une stratégie globale de contrôle par les médicaments dès l’enfance. Big Pharma et médicalisation de la jeunesse : enquête sur une stratégie globale de contrôle par les médicaments dès l’enfance.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 17 mai à 9h, Jean-Luc Robert, auteur de « Neuro divers +« , invité de Mike Borowski pour discuter des dérives sociétales et de la santé mentale.
  • Le système éducatif et culturel crée une jeunesse désarmée, soumise aux algorithmes, incapable de penser sans écran.
  • Big Pharma impose une médicalisation massive, transformant les comportements en pathologies et les enfants en marché captif.
  • La déconstruction de l’autorité parentale mène à des enfants-rois et des parents culpabilisés, fragilisant les familles.

Le 17 mai à 9h, Jean-Luc Robert est l’invité de Mike Borowski pour Le Libre Journal de Géopolitique Profonde !

Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, NeuroVibe: NeuroDiversité de A à Z, est une plongée critique et documentée dans le phénomène de la neurodiversité, entre avancée sociétale et risque de fragmentation sociale, à travers les prismes du TDAH, TSA, HPI, HPE, DYS et LGBTQIA+.

La fabrique du crétin moderne : quand la jeunesse est programmée pour la dépendance

Le système n’a jamais autant investi dans la neutralisation mentale de la jeunesse. École, médias, divertissement, tout converge vers une réduction drastique de l’effort intellectuel et du sens critique. L’école n’est plus un lieu d’élévation mais un dispositif d’abrutissement progressif, où la transmission des savoirs est remplacée par une obsession de la « bienveillance » et de l’égalité émotionnelle. La mémoire est méprisée, l’exigence bannie, et l’autorité disqualifiée.

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Résultat : une jeunesse désarmée, soumise aux algorithmes, incapable d’articuler une pensée cohérente sans l’appui d’un écran. Le système produit des consommateurs passifs, coupés de leur culture, déracinés, et rendus dépendants des structures mêmes qui les maintiennent dans l’ignorance.

L’industrie culturelle complète cette entreprise de destruction cognitive. Séries au format TikTok, musiques répétitives, starification de la vulgarité : tout est fait pour désintégrer l’attention et l’effort. Les modèles proposés sont ceux de l’inconséquence, de la surconsommation et de l’émotion pure. Le temps long est éradiqué, la lecture marginalisée. Le jeune citoyen devient un sujet programmable, docile, hyper-connecté et dépourvu de repères solides. Derrière cette stratégie, un impératif : empêcher toute forme de révolte structurée. Une population amorphe ne se lève pas contre ses maîtres.

Big Pharma et médicalisation de la jeunesse : un contrôle par les médicaments

Le désarmement intellectuel ne suffit pas. Il faut l’accompagner d’une médicalisation massive des comportements. Big Pharma infiltre les écoles, les cabinets de pédopsychiatrie et les médias, en imposant une lecture biomédicale des difficultés éducatives. L’enfant distrait devient « TDAH », l’ado triste est « dépressif », le timide « autiste Asperger ». Chaque écart à la norme devient une pathologie à traiter chimiquement. Cette médicalisation à outrance n’est pas une réponse thérapeutique : c’est une stratégie de contrôle.

Les molécules comme le méthylphénidate (Ritaline) ou les antidépresseurs infantiles explosent. Ces produits altèrent durablement le cerveau en construction et rendent l’enfant dépendant dès le plus jeune âge. Les effets secondaires sont minimisés, les études biaisées, et les médecins transformés en prescripteurs industriels. Les firmes pharmaceutiques prospèrent sur un marché en pleine expansion, avec la complicité des pouvoirs publics. Leur objectif n’est pas de soigner, mais de formater. Un enfant sédaté est plus facilement contrôlable. Big Pharma ne soigne pas la jeunesse, elle la transforme en marché captif.

Culpabilisation des parents et destruction de l’autorité

L’autre levier du système est la déconstruction méthodique de l’autorité parentale. Le discours dominant impose une nouvelle norme éducative : l’enfant au centre. L’adulte n’éduque plus, il négocie. Il ne transmet plus, il s’adapte. La verticalité est remplacée par une horizontalité désastreuse. Résultat : des enfants-rois tyranniques, incapables de frustration, hypersensibles, narcissiques. Et des parents culpabilisés, constamment sommés de se remettre en question, accusés de la moindre contrariété ressentie par leur progéniture.

Ce glissement idéologique n’est pas neutre. Il permet au système de prendre la place des parents. L’école prescrit, l’État surveille, les psychologues diagnostiquent, et Big Pharma médicamente. L’éducation devient un enjeu technocratique, où l’expertise remplace le bon sens. Les familles sont progressivement dépossédées de leur rôle, reléguées à un simple accompagnement affectif. En culpabilisant les parents, le système les fragilise et impose sa propre norme : un enfant standardisé, malléable, sans attache, prêt à intégrer la machine.

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