🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy met en lumière l’opacité troublante de l’état civil de Brigitte Macron. Est-elle née femme ou dissimule-t-elle l’identité de Jean-Michel Trogneux ?
- La stratégie du flou et l’absence des parties concernées alimentent les soupçons. Des documents administratifs douteux, comme une photocopie de carte d’identité floue, renforcent le mystère.
- Au-delà de l’énigme identitaire, l’affaire révèle une dynamique de domination au sommet de l’État. Brigitte Macron, conseillère et stratège, incarne un brouillage entre réalité et artifice.
Le 9 juin à 12h30, Nicolas Stoquer et son invité le Colonel Napoléon De Guerlasse vous proposent de découvrir un sujet brûlant d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.
Colonel Napoléon De Guerlasse, personnage satirique de Pierre Dac, résistant aux côtés de De Gaulle et voix de Radio Londres. Son nom est repris par un militant patriote. Fondateur des sites Guerre de France (2017) et Action Patriote (2019), il mène des enquêtes comme le Dossier Brigitte Gate. Réserviste depuis 18 ans, il défend la souveraineté française.Colonel Napoléon De Guerlass, personnage satirique de Pierre Dac, résistant aux côtés de De Gaulle et voix de Radio Londres. Son nom est repris par un militant patriote. Fondateur des sites Guerre de France (2017) et Action Patriote (2019), il mène des enquêtes comme le Dossier Brigitte Gate. Réserviste depuis 18 ans, il défend la souveraineté française.
Brigitte Macron et l’affaire de la double identité : ce que révèle le procès
L’affaire Brigitte Macron–Jean-Michel Trogneux, relancée par le procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy, met à nu l’opacité troublante qui entoure l’état civil de la « première dame. » Depuis des années, une question s’insinue dans les interstices du débat public : Brigitte Macron est-elle bien née femme, ou dissimule-t-elle l’identité de Jean-Michel Trogneux, son frère supposé ?
Si l’accusation semble à première vue grotesque, le comportement procédural des parties concernées ajoute de l’huile sur le feu. Lors du premier procès, Jean-Michel Trogneux ne s’était même pas déplacé, et s’était contenté de produire une carte d’électeur. En appel, le flou ne s’estompe pas : cette fois, c’est une photocopie de carte d’identité, floue, indéchiffrable, qui est versée au dossier.
La qualité médiocre de la pièce fournie ne laisse place à aucune certitude, et renforce les soupçons plutôt que de les dissiper. Qui est réellement sur la photo ? L’hypothèse du « petit gros », identifié comme imposteur dans l’opération Macaron pilotée par le Colonel Napoléon de Guerre Lasse, refait surface.
L’ambiguïté physique et le profil androgyne prêté à Brigitte Macron viennent alimenter l’idée d’un travestissement, d’un camouflage identitaire méticuleusement orchestré. La défense, en refusant de lever le voile une bonne fois pour toutes, valide involontairement la dynamique du doute.
La stratégie du flou permanent
L’élément le plus frappant dans cette affaire reste la stratégie du silence et de l’évitement. Ni Brigitte Macron ni Jean-Michel Trogneux ne se présentent en personne, ni en première instance, ni en appel. Cette absence physique empêche toute confrontation directe et entretient un climat de suspicion entretenu avec brio par les défenseurs de la thèse de la dissimulation.
Ce que les avocats présentent comme une stratégie judiciaire prudente s’apparente de plus en plus à une manœuvre dilatoire. À défaut d’une comparaison physique entre les deux supposés individus, le public reste face à une énigme construite sur le flou, les approximations, et des documents administratifs douteux.
Ce choix de ne pas affronter la justice de face donne un avantage stratégique aux accusées, Natacha Rey et Amandine Roy. Elles n’ont cessé de pointer du doigt les incohérences du dossier Trogneux, et chaque nouvelle étape procédurale leur donne du grain à moudre. L’absence de cartes d’identité nettes, l’invraisemblable recours à une carte d’électeur, puis la piètre qualité d’une photocopie en appel, deviennent des arguments politiques. Ce procès, loin de mettre fin aux rumeurs, les amplifie. Le silence et la dissimulation ne protègent plus, ils accusent.
L’emprise et les symboles du pouvoir
Derrière l’énigme identitaire, une autre dimension se dessine : celle de l’emprise psychologique. L’analyse du colonel Napoléon de Guerre Lasse ne se limite pas à une simple enquête sur l’état civil. Elle décrypte aussi une dynamique de domination au sommet de l’État. L’emprise présumée de Brigitte Macron sur Emmanuel Macron dépasse le cadre privé pour interroger la structuration même du pouvoir. Selon les documents révélés dans le dossier EMPRISE, la « Première Dame » exerce un contrôle bien plus étendu que celui d’un rôle protocolaire. Elle devient stratège, conseillère, mentor, voire marionnettiste.
Ce déséquilibre au sein du couple présidentiel dévoile une verticalité du pouvoir perverse, où l’influence ne repose plus sur des compétences publiques mais sur des liens opaques. Le dossier BIMBO, notamment à travers les fameuses images de « la femme au chapeau », évoque un personnage polymorphe, insaisissable, devenu symbole d’une République gouvernée par le simulacre. Brigitte Macron, au-delà de l’épouse, incarne un brouillage entre réalité et artifice, entre genre et pouvoir, entre légitimité et manipulation. En refusant la clarté, l’Élysée institutionnalise l’ambiguïté. Et avec elle, la défiance.
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