Le 26 février à 12h30, Alexandre Juving-Brunet est l’invité de Nicolas Stoquer, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Alexandre Juving-Brunet est une figure publique connue pour son engagement dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est fait remarquer par son implication dans des initiatives citoyennes et a été médiatisé pour ses prises de position sur des questions de souveraineté nationale et de résistance civile.
La criminalisation de l’information s’accélère
La France est entrée dans une ère de répression inédite contre la liberté d’expression. Les délits de presse, autrefois traités dans un cadre civil, sont désormais criminalisés, avec des conséquences graves pour ceux qui osent remettre en cause le récit officiel. Désormais, un journaliste indépendant, un analyste politique ou même un simple citoyen engagé peut être arrêté et placé en garde à vue pour avoir publié des informations jugées dérangeantes.
Le capitaine Juving Brunet, convoqué en garde à vue le 27 février, n’est que le dernier exemple d’une longue série de répressions visant des figures dissidentes. Avant lui, le général Delawarde avait subi le même sort. Dans la rue, sur les réseaux sociaux, dans l’édition, toute dissonance est traquée et punie. La machine judiciaire, autrefois réservée aux infractions pénales graves, est maintenant instrumentalisée pour étouffer la contestation et museler l’opinion publique.
Les médias traditionnels, quant à eux, bénéficient d’une impunité totale. Les mensonges médiatiques, les campagnes de diffamation, les faux récits relayés par les grandes chaînes ne sont jamais inquiétés. Seules les voix dissidentes sont traquées, montrant clairement que l’objectif n’est pas de lutter contre la désinformation, mais bien de contrôler l’opinion.
Une censure arbitraire et systématique
La censure est désormais appliquée de manière brutale et immédiate, sans même chercher à masquer son caractère arbitraire. Les géants du numérique, soumis aux directives du pouvoir, éliminent discrètement les contenus jugés dangereux. Le cas du livre Devenir Brigitte, écrit par Xavier Poussard, est emblématique de cette nouvelle approche : retiré d’Amazon, il a réapparu dans un flou total, laissant sans explications l’origine de cette suppression.
Qui a ordonné cette disparition temporaire ? Amazon a-t-il agi sous pression politique ? Quoi qu’il en soit, l’épisode démontre que certains sujets interdits sont activement surveillés et supprimés à la moindre alerte. Dès que l’information touche aux sphères du pouvoir, elle devient une menace à éliminer.
Pendant ce temps, d’autres contenus mensongers, diffusés par les médias de masse, restent accessibles sans la moindre restriction. Les campagnes de manipulation, les informations biaisées et les mensonges d’État ne sont jamais censurés. La censure numérique, loin d’être un outil de lutte contre les fausses informations, est en réalité un instrument de propagande, utilisé pour imposer une vérité unique et étouffer toute contestation.
Un pouvoir fébrile face à la montée de la contestation
Le gouvernement d’Emmanuel Macron est en pleine panique face à la montée des médias alternatifs et des enquêtes indépendantes. La narration officielle, autrefois acceptée sans discussion, est aujourd’hui remise en cause par une partie grandissante de la population. Cette perte de contrôle idéologique pousse le pouvoir à réagir dans l’urgence, par des mesures répressives de plus en plus agressives.
L’affaire Brigitte Macron, qui aurait pu rester une simple rumeur anecdotique, a donné lieu à une réaction disproportionnée du président lui-même. Qualifier ses opposants de « fadas », dénoncer la propagation de fausses informations, exiger la suppression de contenus sur les plateformes numériques : autant de signes d’une nervosité croissante au sommet de l’État. Si cette théorie était absurde et sans danger, pourquoi s’acharner autant à la faire disparaître ?
L’acharnement judiciaire contre des journalistes, des militaires retraités et des citoyens engagés ne fait que renforcer la méfiance du peuple envers les institutions. Chaque nouvelle censure alimente la conviction que l’information est manipulée et que des vérités dérangeantes sont dissimulées. Plus la répression s’intensifie, plus la défiance grandit. Le pouvoir tente de punir ceux qui questionnent, mais il ne fait qu’accélérer l’effondrement de sa légitimité.
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