Le 28 septembre à 21h, Daniel Conversano est l’invité de Raphaël Besliu, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde.
Daniel Conversano est un essayiste et militant identitaire français. Ancien étudiant en philosophie, il s’est fait connaître dans la dissidence en ligne par ses positions nationalistes et son appel à la communautarisation des Européens. Fondateur du mouvement Les Braves, il vit aujourd’hui en Roumanie où il poursuit son activité éditoriale et militante.
Le symbole du meurtre de Charlie Kirk
L’assassinat de Charlie Kirk par un militant antifa a fait éclater au grand jour une vérité brutale : la gauche progressiste n’est plus un simple courant idéologique, elle est devenue une machine de haine prête à tuer. En se réjouissant de la mort d’un chrétien conservateur, elle a franchi un point de non-retour. Les réactions ont montré un clivage absolu : d’un côté, la jubilation macabre des progressistes, de l’autre, l’indignation des conservateurs. Ce meurtre révèle que nous ne sommes plus dans un débat d’idées mais dans une guerre ouverte, où chaque camp s’organise pour sa survie. L’événement a réveillé une conscience profonde en Occident : nous ne sommes plus en sécurité, et la fracture idéologique est désormais sanglante.
La mort de Charlie Kirk n’est pas un fait divers mais un signal politique majeur. En s’attaquant à lui, les milices d’extrême gauche ont visé l’un des porte-voix les plus influents du conservatisme américain. Ce n’est pas un hasard si la cible était un homme prônant le Christ, la famille et la nation : tout ce que les progressistes veulent détruire. Leur réaction, mélange de moqueries et d’applaudissements, a mis fin au mythe d’une gauche humaniste. Elle assume désormais le recours à la violence comme arme politique. Loin de fragiliser la droite, ce meurtre a donné à Charlie Kirk le statut de martyr, cristallisant la colère de millions de patriotes.
Dans toute l’Europe, le retentissement a été immédiat. En France, en Allemagne, en Italie, des figures identitaires ont fait de Kirk le symbole du conservatisme assiégé. La gauche, engluée dans sa rhétorique hypocrite, tente de criminaliser les réactions de la droite en les accusant de récupération. Mais c’est elle qui a ouvert le bal de la barbarie en transformant l’élimination physique en stratégie politique. Ce meurtre n’a pas seulement choqué, il a déclenché une dynamique nouvelle : la droite ne parle plus seulement de débat, elle parle de combat. L’heure n’est plus à la discussion mais à la confrontation.
La fin des illusions démocratiques
Cet assassinat a brisé une illusion : celle d’une démocratie où chaque camp pourrait coexister pacifiquement. La gauche a démontré qu’elle ne tolère aucune opposition et qu’elle préfère tuer plutôt que convaincre. Elle impose ses lois par la peur, par la violence de rue, par la censure numérique et maintenant par le sang. Le conservatisme ne peut plus se contenter de jouer le jeu institutionnel en espérant une alternance. Les règles sont faussées, et ceux qui s’y accrochent sont déjà vaincus. Charlie Kirk en est la preuve tragique : même un débatteur pacifique devient une cible à abattre quand il refuse de se soumettre.
La conséquence est claire : les conservateurs doivent se préparer à défendre leur existence par tous les moyens. Cela implique une structuration de terrain, une solidarité totale et une discipline militante. L’époque des discours convenus et des compromis est terminée. Celui qui recule face à la gauche progressiste recule vers sa disparition. Les peuples européens comprennent déjà cette réalité après les meurtres commis par l’immigrationnisme et la complaisance des élites. Aujourd’hui, avec la mort de Kirk, la guerre est sortie de l’ombre. Elle impose un choix : se battre ou disparaître.
Vers une guerre civile froide
Le meurtre de Charlie Kirk n’est pas un accident, c’est l’acte fondateur d’une guerre civile froide qui embrase désormais l’Occident. Les progressistes ont ouvert la voie de la confrontation directe. Chaque militant conservateur sait désormais qu’il peut être une cible. Chaque rassemblement, chaque prise de parole est placée sous la menace. Cette réalité impose une mutation stratégique : il ne s’agit plus seulement de convaincre, mais de résister. La guerre n’est pas à venir, elle est déjà commencée sous une forme diffuse : violences ciblées, intimidations, traques médiatiques et physiques. Les conservateurs doivent abandonner la naïveté et entrer dans une logique de survie collective.
En Europe, ce contexte nourrit la montée irrésistible du mouvement identitaire. Persécutés par les médias, diffamés par les élites, criminalisés par les tribunaux, les patriotes savent qu’ils sont la prochaine cible. L’assassinat de Kirk a révélé la vérité que beaucoup refusaient de voir : l’ennemi n’est pas seulement idéologique, il est existentiel. C’est une guerre pour la survie de nos nations, de nos familles et de notre foi. La gauche a choisi la violence. La droite doit désormais choisir la force. Le sang versé a scellé l’avenir : rien ne redeviendra comme avant.
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