Assassinat de JFK : la plus grande manipulation de la CIA du XXe siècle !

L'assassinat de JFK fut-il un complot impliquant la CIA, le Mossad et Johnson ? Découvrez les révélations sur cette opération secrète de haut niveau. L'assassinat de JFK fut-il un complot impliquant la CIA, le Mossad et Johnson ? Découvrez les révélations sur cette opération secrète de haut niveau.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • L’assassinat de JFK : une opération coordonnée par la CIA, le Mossad et Lyndon B. Johnson pour éliminer un président devenu incontrôlable et hostile aux guerres impériales.
  • Des documents déclassifiés sous Trump révèlent une surveillance constante de Kennedy et des témoins ayant péri dans des circonstances suspectes, confirmant un complot interne.
  • La version officielle d’Oswald agissant seul est démentie par des preuves balistiques et acoustiques, indiquant plusieurs tireurs et une manipulation des services secrets.
  • L’assassinat de JFK marque la prise de pouvoir par l’État profond, entraînant une escalade au Vietnam et un alignement total avec Israël sous Johnson.

Le 17 avril à 19h, Jean-Dominique Michel, Marc Daoud et Sylvain Baron sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Jean-Dominique Michel est un anthropologue suisse spécialisé en santé publique et en communication. Il est connu pour ses prises de position critiques sur les politiques sanitaires, notamment pendant la pandémie de COVID-19. Michel s’est exprimé sur des sujets liés à la gestion de la crise sanitaire, suscitant des débats dans les médias et le grand public.

Christian Cotten est un psychosociologue français, il a fondé une entreprise de formation controversée et s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.

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Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.

Une opération coordonnée entre la CIA, le Mossad et Lyndon B. Johnson

L’assassinat de John F. Kennedy ne relève pas du simple acte d’un déséquilibré solitaire. Il s’agit d’une opération coordonnée au sommet du pouvoir américain, impliquant la CIA, le Mossad israélien, ainsi que le vice-président Lyndon B. Johnson, dont les ambitions présidentielles ne faisaient aucun doute. Kennedy s’opposait frontalement aux intérêts de ces puissances. Il remettait en cause l’emprise de la CIA sur les affaires étrangères, s’opposait à l’armement nucléaire d’Israël et planifiait un retrait progressif du Vietnam, mettant en péril les profits colossaux du complexe militaro-industriel.

Des documents déclassifiés sous Donald Trump renforcent cette lecture : des mémos révèlent une surveillance constante de Kennedy par les agences de renseignement, tandis que plusieurs témoins liés à l’affaire ont péri dans des circonstances suspectes. Le témoignage posthume d’E. Howard Hunt, ancien agent de la CIA, confirme l’existence d’un complot interne orchestré par un groupe restreint de responsables, y compris Johnson. Le but : éliminer un président devenu incontrôlable, hostile aux guerres impériales et décidé à démanteler les structures de l’État profond.

Kennedy avait lancé une guerre ouverte contre la Réserve Fédérale, en signant l’Executive Order 11110, destiné à réduire le pouvoir des banques privées sur l’émission monétaire. Il représentait une menace directe pour les puissances financières anglo-saxonnes, les services secrets et les réseaux atlantistes qui structuraient déjà les véritables centres de décision occidentaux. Son élimination était un acte stratégique, prémédité, et parfaitement exécuté.

Oswald n’était qu’un pion, plusieurs tireurs étaient mobilisés

La version officielle selon laquelle Lee Harvey Oswald aurait agi seul est une fabrication de toutes pièces. L’analyse balistique, les témoignages recueillis à Dealey Plaza et les preuves acoustiques étudiées en 1979 par le House Select Committee on Assassinations confirment la présence d’au moins deux tireurs. Oswald, ancien marine formé au renseignement, ayant séjourné en Union Soviétique dans des conditions étranges, était manipulé par les services. Son profil en faisait un coupable parfait, facilement jetable.

Le jour de l’attentat, plusieurs témoins visuels ont décrit des tirs provenant à la fois du dépôt de livres et de la fameuse butte herbeuse, où au moins un autre tireur a été aperçu. Les autorités ont rapidement effacé les preuves, confisqué des vidéos, intimidé des témoins, et diffusé une version unifiée pour neutraliser toute tentative d’enquête indépendante. Oswald lui-même l’avait affirmé : « Je ne suis qu’un bouc émissaire. »

Des éléments indiquent également une implication logistique de la mafia américaine, utilisée par la CIA pour ses opérations clandestines. Les connexions entre Jack Ruby, l’assassin d’Oswald, et des réseaux criminels liés à la Nouvelle-Orléans confirment une coordination à plusieurs niveaux. Il s’agissait d’une opération complexe, mobilisant plusieurs équipes et visant à créer une version officielle simplifiée, pour empêcher toute forme de contestation du récit dominant.

L’assassinat de JFK, acte fondateur de la prise de pouvoir par l’État profond

Le 22 novembre 1963 marque la rupture définitive entre l’illusion démocratique et le véritable fonctionnement du pouvoir occidental. Après la mort de Kennedy, le complexe militaro-industriel a pris le contrôle complet de la politique étrangère américaine. Johnson, immédiatement après son assermentation, a inversé les principales décisions de son prédécesseur : escalade au Vietnam, alignement total avec Israël, abandon du démantèlement de la CIA.

Le coup d’État silencieux organisé à Dallas a permis à l’État profond de s’installer durablement au pouvoir. Les présidents suivants, de Nixon à Biden, ont été des gestionnaires du système, jamais des opposants. Le contre-pouvoir incarné par Kennedy a été éradiqué. En éliminant le dernier président indépendant, les élites atlantistes ont verrouillé les institutions. Le peuple a été relégué au rang de spectateur d’un théâtre politique vidé de son sens.

Cet événement a aussi scellé la soumission européenne aux intérêts américains. L’écho du complot de Dallas s’est fait entendre jusque dans les tentatives d’assassinat contre Charles de Gaulle, orchestrées par les réseaux atlantistes via l’OAS, avec le soutien tacite de la CIA. De Gaulle, tout comme Kennedy, constituait une gêne pour l’ordre unipolaire en gestation. Après 1963, la politique mondiale est entrée dans une nouvelle ère : celle du gouvernement de l’ombre, où les décisions majeures sont prises en dehors de toute légitimité électorale.

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