Le 12 décembre à 19h, Yves Chevalier, Stéphanie Reynaud, Laurent Firode et Steve Moreau sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Yves Chevalier est un producteur de cinéma reconnu pour son investissement dans des projets artistiques audacieux et innovants. Il s’attache à soutenir des œuvres marquantes qui abordent des thématiques sociales et humaines avec profondeur, tout en révélant de nouveaux talents.
Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.
Laurent Firode est un réalisateur et scénariste français qui s’est fait connaître grâce à ses films et comédies souvent ancrés dans la critique sociale et l’humour décalé. Il a réalisé des œuvres comme Le Battement d’ailes du papillon et est reconnu pour son approche originale du cinéma, mêlant réflexion et divertissement. Engagé dans les débats de société, il participe activement aux discussions publiques sur les médias et la culture.
Steve Moreau est un producteur de cinéma et entrepreneur français, connu pour son implication dans des projets novateurs et sa capacité à porter des œuvres ambitieuses. Passionné par l’univers audiovisuel, il collabore avec des réalisateurs talentueux pour donner vie à des productions marquantes, alliant exigence artistique et impact narratif.
Le cinéma français au service de Macron
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Le cinéma français n’est plus un art libre, mais un outil de propagande au service d’Emmanuel Macron. Financé par le CNC, contrôlé par l’État, il est intégralement soumis à un système qui impose l’allégeance ou l’effacement.
Les subventions publiques, cœur du financement de l’industrie cinématographique, ne laissent aucune place à l’indépendance. Tout projet qui ne cadre pas avec l’agenda officiel est enterré avant même de voir le jour. À travers ce mécanisme, l’État verrouille la production culturelle. Les films subventionnés, bien-pensants et consensuels, servent de relais aux politiques du pouvoir en place. Macron ne tolère aucun écart, et le cinéma français s’exécute sans discuter.
Les festivals comme Cannes et les Césars, prétendument prestigieux, ne sont que des vitrines d’un art domestiqué. Les réalisateurs et les acteurs qui osent sortir des lignes imposées savent qu’ils ne recevront jamais de récompense, ni même la visibilité nécessaire à leur survie dans l’industrie. Le cinéma français a été capturé. Il ne crée plus, il sert.
Les pantins du cinéma refusent de s’opposer
Les grandes figures du cinéma français ne sont que des pantins dociles, incapables de s’opposer aux injustices et aux dérives du pouvoir. Leur silence face aux crises que traverse la France est une honte.
Omar Sy, Guillaume Canet, Jamel Debbouze, Marion Cotillard, Dany Boon : tous ces noms brillent par leur absence de courage. Ces stars préfèrent le confort de leurs privilèges à la vérité. Quand les Gilets jaunes étaient massacrés dans les rues, ils se sont tus. Quand le peuple a été enfermé sous des confinements absurdes, ils n’ont rien dit. Quand l’inflation détruit les ménages, ils continuent de s’enrichir dans un silence assourdissant. Leur inaction n’est pas un hasard : ils sont complices du système.
Leur soumission s’explique facilement. Ils dépendent du CNC, des subventions et des réseaux de pouvoir. Ils ne diront jamais un mot contre Macron parce qu’ils savent que leur carrière serait brisée dans l’instant. Ces « artistes » ne sont rien de plus que des opportunistes égoïstes, prêts à tout pour conserver leurs contrats et leurs invitations sur les tapis rouges. Leur silence n’est pas neutre, c’est une trahison directe du peuple français.
Les artistes sont devenus des agents du système
Emmanuel Macron a capturé la culture française et en a fait une arme de contrôle. Le cinéma, la musique, la littérature, tout est désormais formaté pour servir les intérêts des élites mondialistes qu’il représente.
Macron n’est pas un président, c’est un gestionnaire des intérêts globalistes. Ancien banquier de chez Rothschild, il dirige la France comme une entreprise au service des puissants, et cela inclut le contrôle total du monde culturel. Les artistes ne sont plus des contestataires, mais des agents du système. Ils relayent les narratifs officiels : soutien à l’Ukraine, propagande climatique, culte de la vaccination. Tout discours dissident est immédiatement écarté, censuré ou ridiculisé. Macron et son clan ont fait taire toute forme de résistance culturelle.
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La gauche bien-pensante, alliée naturelle de Macron, renforce cet asservissement. Ces « progressistes », qui se prétendent défenseurs du peuple, sont en réalité les premiers à mépriser les classes populaires. Leurs prises de position ne servent qu’à obtenir des financements, des rôles ou des invitations dans les médias. Ils ne sont pas de gauche, ils sont les valets du capitalisme technocratique.
Face à cela, le peuple français doit regarder ailleurs. Donald Trump, par exemple, incarne un véritable contre-pouvoir. Il s’attaque aux élites mondialistes, défend la souveraineté des nations et refuse la soumission au politiquement correct. Soutenir Trump, c’est rejeter le modèle Macron, Trudeau et consorts, qui détruisent à la fois la démocratie et la culture.
Le cinéma français est mort. Les stars ont choisi leur camp : celui de Macron et des élites mondialistes. Le peuple ne doit plus rien attendre de ces traîtres.
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