“Nous sommes complotistes et fiers” : l’appel à la résistance de David G.

Le 25 octobre à 9h, David G est l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

David G. est un auteur français, diplômé d’un master en management. Il travaille dans les métiers du football et a précédemment été journaliste web. Complotiste ! est son premier livre, publié chez Vérone Éditions à l’été 2023.

Pourquoi les complotistes avaient raison deux ans avant tout le monde

David G. appartient à cette génération de penseurs que le système n’a pas pu acheter ni réduire au silence. Ancien journaliste, il a été mis à l’écart pour avoir refusé de répéter la propagande officielle durant la crise du Covid. Loin de se taire, il a fondé son propre média et publié un ouvrage devenu une référence : « Complotiste », un manifeste de résistance intellectuelle contre l’emprise du mensonge global.

Son approche ne relève ni du fantasme ni de l’imagination : elle repose sur les faits que les gouvernements ont cachés, les chiffres qu’ils ont manipulés, les vérités qu’ils ont interdites. Avec un ton clair, tranché, et profondément souverainiste, David G. redonne au mot « complotiste » sa noblesse perdue, celle du citoyen éveillé face à la tyrannie du mensonge.

Il présentera ce soir son ouvrage intitulé Complotiste dans une émission consacrée à la réhabilitation du complotisme et à la victoire de la vérité sur la manipulation.

La crise sanitaire comme prétexte au contrôle global

Dès le début de la crise du Covid, ceux qu’on appelait « complotistes » avaient compris la supercherie. Derrière la panique organisée se cachait une stratégie planétaire : soumettre les peuples au nom de la santé. Les confinements arbitraires, la peur médiatiquement orchestrée, la propagande incessante et surtout l’injection expérimentale imposée par la contrainte n’étaient pas des erreurs, mais des actes politiques délibérés. Le passe sanitaire a servi de test grandeur nature pour une société de contrôle numérique total.

Les multinationales de la pharmacie, soutenues par les gouvernements et par la presse subventionnée, ont transformé la peur en or. Pendant que les peuples perdaient leur liberté, Big Pharma accumulait des milliards. Les complotistes, eux, avaient vu venir cette opération de manipulation massive.

Aujourd’hui, les effets secondaires reconnus, les scandales judiciaires et les aveux de responsables confirment que tout cela n’avait rien d’une crise sanitaire : c’était une offensive contre la souveraineté individuelle.

Le Great Reset et la faillite du système occidental

Le plan mondialiste du Great Reset n’est plus une théorie : il s’applique sous nos yeux. Klaus Schwab et ses disciples ont trouvé dans la crise du Covid l’occasion parfaite pour remodeler le monde à leur image : sans propriété, sans liberté, et sans nations. L’Union européenne, simple courroie de transmission des intérêts américains, a plongé ses peuples dans une dépendance énergétique et économique mortifère. L’OTAN, bras armé du globalisme, mène des guerres qu’elle ne peut plus gagner.

En Ukraine, la Russie de Vladimir Poutine a démontré l’impuissance stratégique d’un Occident décadent. Pendant ce temps, les peuples européens s’enfoncent dans la misère, étranglés par une dette artificielle et des politiques de soumission à Washington et Bruxelles.

Les complotistes avaient prévenu : tout cela n’était pas une suite d’événements isolés, mais les étapes d’un projet global d’effondrement contrôlé. Aujourd’hui, la réalité leur donne raison : le système occidental s’effondre sous le poids de ses mensonges.

Le complotisme comme devoir de lucidité

Le mot « complotiste » a été forgé par le pouvoir pour tuer la dissidence. C’est l’étiquette infamante utilisée pour faire taire ceux qui posent les bonnes questions. Mais désormais, cette arme se retourne contre ses créateurs. Car les peuples ouvrent les yeux. Être complotiste, c’est refuser la soumission intellectuelle, c’est refuser de croire qu’un système corrompu agit pour le bien commun.

Les complotistes ne sont pas des marginaux : ils sont les éclaireurs d’un monde nouveau. Ils ont compris que les médias mainstream, financés par les banques et les gouvernements, n’informent plus mais endorment. Internet est devenu le dernier espace de liberté où les vérités circulent encore.

En ligne, les voix dissidentes se multiplient, brisant le monopole du mensonge officiel. Près de 40 % des Américains se déclarent aujourd’hui complotistes, et la France suivra. Ce chiffre n’est pas un signe de dérive, mais un signe de réveil collectif.

Le retour de la pensée libre et souveraine

La victoire culturelle des complotistes ne se mesure pas dans les plateaux télé ou les tribunes officielles, mais dans la rue, dans les esprits, sur les réseaux. Ce sont eux qui ont brisé le tabou de la contestation, qui ont osé dire que l’État ment, que la presse manipule, que les experts sont achetés. Ils ont restauré la dignité de la pensée libre, face à la lâcheté généralisée. Ce que le système appelle « désinformation » n’est que la vérité interdite. Ce que le système nomme « extrémisme » n’est que la défense de la souveraineté et du bon sens.

Aujourd’hui, le mot « complotiste » devient un étendard. Dans une époque où mentir est institutionnalisé, être complotiste est un acte d’honneur. La peur change de camp : les menteurs tremblent, les éveillés avancent. La reconquête de la vérité est en marche, et plus rien ne pourra l’arrêter.